En début de soirée, lorsque la ville commence a s'animer, Radium, le visage fermé surfe sur son overboard dans les ruelles du sud remontant vers le nord, slalomant entre les obstacles. Arrivé au coin d'une rue le vautour ralentit, puis s’arrêta devant une banque. Un regard par dessus son épaule, le vautour s'engage et entre dans l’imposant édifice.
Au terminal client il se dirige vers les T-coffres, dépose son over enfourne dans son sac un chapelet de grenades frag. Une fois sortie de l’établissement d'un pas rapide, il reprend la direction du sud, multipliant les détours, jusqu’à ca cave, ça cellule d'homme libre.



Une fois sur place l'être filiforme s'active, prépare son barda, se dirige vers un coffre mural dont il extrait quelques vêtements. Les améliorations intégrés sont reconnaissable entre toutes. C'est un ensemble "du paria" qu'il enfile. Son sourire scintille dans la pénombre. A nouveau il fouille dans le sac et en sort une petite pilule rouge qu'il glisse dans le revers de sa manche.
Le Vautour traine son corps vers l'entrée du repère et ramasse au sol deux lourd étais hydraulique bricolés, acheté le matin chez un ferrailleur. Radium jette le tout au pied d'un canapé avant de s'y vautrer. Le regard fixe au plafond, l'emplumé se perd dans ses pensées... Attendre... Attendre... la routine.

C'est l'heure où trainaient les gars, certains obsédés par des plans foireux, des idées testés mille fois, d'autres désillusionnés attendant la mission qui ne vient pas.
Radium prend son com et parcours les archives, retrouve un contact, lui envoie un com

 "retrouve moi au bar, *adresse ci jointe*"

Une fois au bar il croise Arsene, l'apprenti, lui cause deux mots, puis d'autres personnes arrivent, dont l'invité. Radium tente d'expliquer le job a chacun des gars qui passent. La discution est confuse.
Il s'agirait d'une mission pour gagner du respect. La cible serait une personne qui à appelé les flics pour en sauver un autre d'un petit racket. Alors il la feront payer par le sang ou par les crédits, il fallait y aller molo, c'etait un avertissement, le début d'une série de pressions grandissantes destiner à faire cracher le fric, ou faire payer par le sang si la victime ne lâchait rien.

A l'origine le vautour avait prévu une cuve pour Paloma. Mais inaccessible, portégée par sa corpo au courant du fait divers, il avait du se rabattre sur une stratégie différente l'attaque frontale. Il s'agissait de faire un max de casse a coup de grenade frag en zone publique de la boutique ou elle était employée. Un beau message, un coup de pied dans la fourmilière.

Les criminels n'ont rien sous la dent, c'est sans doute cela qui leur fait accepter le job. Un groupe s'engage, pour rien, pour l'envie d'un futur différant , Radium propose de partir en solitaire détourner l'attention pendant que l'autre groupe s'occupe de la véritable cible. Distribution de grenades. Le coup ce monte, précis, redoutable, archaïque.
Il regarde Arsene qui est tout excité, puis lui confie sa pilule radioactive, si ca tourne mal il se fera péter a la grenade tant pis.
Une dernière fois il tente de réfréner les ardeurs des plus chauds. C'est juste un avertissement, pas une boucherie... La cible c'est Paloma...

Depuis cinquante-deux cycles, Arsene parcourait le dédale matriciel en s'éclatant l'iris à coup de commandes et d'archives baveuses. Brassant l'inutilité des informations récoltées avec un profond malaise et son acerbité naturelle, la nuit précédente avait été d'un profond ennui. Affalé sur un sofa miteux, les genoux sous le menton, les paupières violacées et le souffle sec, les doigts engourdis et les épaules tombantes, il avait fini par attendre que les heures passes, sans grand espoir.

Mais avec le soir, l'ambiance a changé ; une voix a ravivé les braises, une main a armé son bras, un doigt lui a montré une cible... Le groupe a écouté et tout le monde a accepté. Le plan était clair. Fallait juste pas trembler au dernier moment. Et fallait surtout assumer les conséquences, la phase qui allait suivre l'impulsion dévastatrice qu'on allait créer.

Le regard accroché par le scalpel qui brillait devant lui, Arsene en aurait presque oublié qu'il tenait deux grenades dans ses mains. Les reflets moirés qui se brisaient en éclairs sur sa rétine l'hypnotisaient et, ni le froid qui courait au sol, ni l'appréhension qui crispait ses mâchoires ne semblaient plus avoir d'importance. Son corps agissait de lui-même, comme par réflexe... courir, glisser, dégoupiller, jeter, se cacher, fuir... il lisait sur la lame scintillante la trame des événements à venir, incapable de ressentir la moindre émotion. Ce grand enfermement, à l'intérieur de son corps, et si c'était ça, la peur ?

Soudain, un froissement, une vibration, des voix... le signal, c'est le signal. La respiration du vautour s'éparpille dans la course qu'il entame, les yeux rivés au sol. Rapidement, la première vague est passée et les portes sont entravées par des étais hydrauliques. Tout est calme, aucun bruit, juste les semelles qui claquent et le cœur qui frappe. Il entre en courant, enjambe les étais, cherche des yeux un abri et s'y laisse glisser dans un frôlement étrange. Un dernier coup d’œil vers la sortie et, à peine dégoupillée, une première grenade rebondit sur quelques mètres avant de se coincer sous un meuble, au bout du couloir.

L'explosion dévaste violemment les tympans et allume d'un nuage de débris l'étroit hall où le groupe s'est abrité. D'autres assaillants ont imité le geste, dans chacune des directions cardinales. Reprenant vaguement ses esprits, Arsene se déplace et court vers l'ouest, se planquant dans une glissade nerveuse, les traits tirés et les yeux humides, la poitrine agitée par une vive émotion intérieure. Deux autres boules de métal incandescents s'échappent de ses paumes et ravagent les murs de projections fuligineuses. Les lieux croulent sous une poussière aveuglante mais la sortie est proche. Des silhouettes apparaissent, des voix s'élèvent. Vite ! Jamais le vautour n'aurait cru souhaiter si intensément inhaler l'aride acidité du smog.

Du fond de son lit d’hôpital zyeutant VoltayaValenthia et Djoogo veiller sur elle, Paloma se remémore intérieurement les événements.



« Bon je faisais quoi ce jour la ? Et j'allais ou ? J'sais plus...Enfin ce que je sais c'est que je me baladais discrètement en ville et que j'ai vu au loin la silhouette de Calypso et du vieux roux...J'entendais pas ce qu'ils se racontaient mais je savais que c’était pas normal.
Comme il m'avait déjà attaqué une fois en pleine rue avec Gally parce qu'on fouillait dans un coin qu'il s'était approprié avec sa bande je me suis approchée...Parce que je suis rancunière et qu'un combat ça fait jamais de mal..J'avais envie de le faire chier et par la même de jouer la protectrice.
Bref, je le connais pas assez pour savoir si il était complètement défoncé ou si c'était son état habituel toujours est-il qu'il était vachement agressif, il réclamait un kanuf à l'elfe et du fric j'crois...Il faisait son spectacle c’était assez drôle même si je restais sur mes gardes bien sur..Puis Mey est arrivé , je sais pas ce qu'il est passé par la tête du Radiuss mais il a voulu lui piquer ses katanas.
On a parlementé comme ça pendant longtemps jusqu'à ce que le coup parte ..Un coup de boule au commandant.
C'est à partir de la que j'ai décidé d'appeler le CdO pendant que Mey mettait le vautour au sol.Parce qu'on rigolait mais faut pas non plus dépasser les bornes !
J'ai pris mon comm cherchant les noms des agents...Bon ya qui déjà...C'est toujours quand je dois les appeler que je sais plus qui y bosse...Ah..Elenya..Ethayel..Harlinde...Bon j'envoie t'façons elles dorment jamais.
Je suis pas certaine d'avoir eu le temps de terminer mon message que Shadows était déjà sur place d'ailleurs.
Les autres agents ont suivis et le Radius s'est fait transporter en prison.
C'est âpres que j'ai reçu un comm de sa part « C'est toi qu'a appelé les flics?T'as pas une batte a me filer? »
Bon je sais plus ce qui s'est dit dans les messages suivants précisément mais le gars voulait que je lui file de l'argent pour le dérangement causé...En gros.
Mais moi j'allais JAMAIS payer !! Alors je lui ai dit « Hey Radius faut que tu choisisses une autre cible ! »
Menace sur menace sérieusement j'pensais pas qu'il allait vraiment passer à l'acte ce con..Et encore moins prendre Arma pour cible.
Je faisais attention sans plus c'est vrai qu'il fait pas peur physiquement le vautour fin...Je veux dire pour un combat âpres ses cheveux roux son teint blafard et tout ça peut surprendre c'est sur..
J'ai passé ma soirée tranquillement à la Domus puis je suis passée au Dojo et c'est la que les alarmes ont sonné.
On a fait un petit tour des boutique avec les amis puis on a chopé Radium au dojo seul...Proie facile...Trop facile..
Une fois KO Chéra a précipité le groupe dehors sentant le mauvais coup arriver...Sûrement.
J'crois que j'étais trop concentrée à regarder Agramf arracher le bras du vautour ..Je devais penser aux futurs cours de cuisine..Fin j'ai pas été assez réactive quoi.
Ce qui fait que je suis la aujourd'hui à rêvasser sur un lit au lieu de lui faire mordre la poussière...Heureusement que les autres s'occupent de tout comme toujours..Efficaces.
Pff tout ça pour ça ! Il est susceptible quand meme...Tous ses efforts pour me choper..Je me demande si il serait pas amoureux de moi ?...

Paloma s'interrompt dans ses divagations dérangée par son comm qui ne cesse de sonner..


Elle marmonne ... « T'as peut être un grain Radius mais t'as des couilles..Enfin t'as frappé au mauvais endroit tu l'sais »

23CH00,Sud du Secteur Impérial

"On va ..."
"Grenade ..."
"Armacham ..."

Endormi depuis la veille sur un canapé du bar clandestin,le vautour est réveillé par la discussion qui semble animé autour de lui,quelques mots retiennent son attention,il fini par se lever,curieux d'en savoir plus.
Le visage encore gonflé,les yeux a moitié ouvert il salue l'assemblée et file sans un mot dans un coin,tout en écoutant l'affaire qui s'prépare.

Après avoir passé plus d'une héptade a dormir le vautour essaye de suivre tant bien que mal,trop compliqué pour lui,il décide quand même de suivre le groupe.

Armure de dreadball,grenade frag dans le caleçon,visière abaissée,le plumé et son petit groupe prêt a en découdre, prennent la direction du Nord pour se retrouver dans une baraque abandonnée au mur sombre.

Le vieux part en premier faire diversion,les attaquants attendent le signal accompagné d'un gros bras,qui ne prendra pas par au feu d'artifice,préférant resté dans l'ombre et intervenir au besoin pour laisser les artificiers prendre la fuite.
Mais les choses ne se déroulant jamais comme prévu,plusieurs d'entre eux resteront sur le carreau.

23CH45,Nord du Secteur Impérial

GO !

Le signal est lancé,le trio s'engage dans Armacham Bullets,pendant que l'humaine bloque les accès à l'aide de barres métalliques,un des vautours,le plus jeune et surement le plus nerveux ouvre malgré tout le bal.
Sous l'effet de l'adrénaline il prend ses collègues de vitesse et balance sa grenade,première explosion qui retentit dans le bâtiment luxueux.
Alors que l'humaine s'empresse de balancer le stock de grenade récupérer un peu plus tôt,Visa sans pression dégoupille la petite boule rouge,d'un coup de dent rapide et la balance dans l'entrée sans même regarder où il envoi le projectile,prenant directement la fuite sans se soucier de ses nouveaux camarades.

Fidèle à lui même et voulant adresser un clin d'oeil à la sécurité qui visionnerait surement les vidéos surveillance,le Sudiste lance son éternelle insulte :
"NIQUE ARMACHAM !".

Les explosions retentissent dans la rue,de la fumée s'échappe du bâtiment ... sans se retourner le vautour reprend la direction de son Sud chéri pour y suivre l'affaire sur son com'.

Thème

Et voilà, c'est reparti pour moi. Un taff' ce soir, un peu à l'improviste, mais après de longues années à me faire chier, ça fait du bien.

Après un briefing interminable pour cette mission, nous voilà partis vers la cible. J'installe les étais contre la porte de la boutique pour bloquer une grille éventuelle, j'envoie mes grenades après mes coéquipiers, et c'est là que l'enfer commence.

Un premier enfoiré d'Arma' se ramène et directement, me saute dessus. Je ne lui en veux pas, à choisir entre un orc puant et une humaine élégante, le choix est vite fait.
Ses potes arrivent en masse quelques instants plus tard, les coups de feu retentissent, et me voilà tâchant de tenir face à la multitude, soûlée par le bruit de métal contre métal et les cris des protagonistes. Je regarde rapidement autour de moi, et je croise le regard de l'orc. Nous sommes deux contre.... ouais, ils sont nombreux.

Je me dis que bah... au moins le bleu est sauf, je me retourne vers la porte, essayant de rejoindre l'orc quand, dans un éclair, je me retrouve à terre, paralysée par la douleur. Je grimace, essayant de bouger, ce qui m'arrache un gémissement. L'orc se retourne, flingue à la main et croise mon regard. Cet instant me semble durer une éternité, il n'y a plus que moi, le vacarme de la bataille et l'oeil noir du canon dans sa main.

Un éclair, et c'en est fini. J'essaie de lui hurler de fuir, envahie par l'obscurité, mais les mots ne parviennent pas à quitter mes lèvres. Et je sombre dans l'oubli, ma conscience envoyée au Centre de Clonage.

Opération réussie Rad'. Ha ha.

Un com' indiquant un besoin de surveillance accru, plusieurs cibles en mouvement, cachées, les deckeurs faisait bien leurs boulot, comme toujours, tellement précis et efficace qu'il arrivait à l'elfe de ce demander si ce n'était pas eux qui tiraient les ficelles, mais le deckeur de ce soir était une elfe, impossible qu'un deuxième congénère de son génotype ne le trahisse.

L'elfe suivait les événements, marmonnant déjà à l'idée de devoir lâcher son skiwi lorsque le com' sonna, cette fois pour une alerte concrète, comme toujours, il fallait déchiffrer l'info, un simple lieu, et sans la surveillance précédente l'intervention aurait été un flou total.

Fusil armé, module activé, premier arrivé, comme souvent, son fusil ne fut pas aussi diplomate que l'elfe, crachant du plomb pour permettre rapidement à son maître de retourner à son verre, un peu trop prompte à vider le chargeur même, le troll arrivant en renfort en prenant quelques une dans la couenne.

Une fois le vaut' encerclé de gros bras l'elfe prit la direction de la sortie sans attendre la fin du combat... Une vraie chance pour lui sûrement, puisqu'en croisant un nain en passant la porte il entendit crier: "Grenade!"

Le smog, son com' qui sonnait... Comment ce portaient ceux moins rapide et chanceux que lui? Il n'avait pas le temps de s'en occuper, les combats continuait et la soif de revanche commençait à grimper dans son propre camp. Les combats physiques terminés un autre commença, une guerre d'information, de talents de diplomatie et de gestion, un service de sécurité aussi large, ça à ses avantages, mais aussi ses inconvénients, on arrive à en calmer un en sortant la bonne phrase, mais ça en énerve un autre!

Un autre com', au milieu des vingtaines reçu par minute; "Ché' passera pas la nuit, et Palo, rien n'est certain." Cette fois, il n'était plus question de calmer les esprits, on venait de toucher à leur mère et les répercussions s'en feront ressentir jusqu'à la prochaine ère. Dans ces cas là l'elfe savait s'y prendre, "Monte le ton mais pas trop, t'es qu'un elfe, ferme mais offre leur un cadeau pour les calmer"

Et le cadeau lui fut tendu sur un plateau. Il faut dire aussi que l'elfe avait discuté avec un vautourde, lui disant qu'il avait presque envie d'offrir de l'argent au drogué, préférant voir un criminel impérialiste survivre que de voir un rebz prendre sa place dans les bas fonds, mais voilà, tout changeait, et après un simple com':Le vaut' à fait le con, oubli que je t'ai parlé de crédits", la réponse fut immédiate:"Je sais je soigne un des leurs." L'info était suffisante, le cerveau de l'elfe tournant déjà à plein régime le skiwi évacuant petit à petit son crâne, ce qui ne l'aida pas à garder son calme pour la suite de l'échange.

Un deck, une commande, il avait tapé juste, dernière consigne donnée par l'elfe à cet instant, ne pouvant prendre part à l'intervention: "On est pas des clochards du sud ou des rebz, j'veux pas d'cuves civiles sauf si celles ci menace vos clones, la cible c'est l'orc, un peu de sang, vous lui explosez les rotules puis vous attendez l'CdO, si le sud débarque ils auront l'choix entre assistance sur personne sous AR ou juste gueuler et me faire chier par com' pour la diplomatie, quand ils sont là, courbette, remerciement, et vous laissez la suite, du boulot vous attend"

Une seule chose était certaine, l'année allait être longue. Et l'elfe lui? Déjà à son skiwi, à recevoir des compliments pour sa gestion exemplaire malgré un risque d'incident diplomatique. Il pianota toutefois trois derniers com' "On retrouve son calme, on a gagné sur tout les fronts ce soir, demain, ils ce sentirons acculés mais j'veux pas d'Vendetta" Faudrait pas qu'au réveil la liste des cuvés ce soit allongé et gâche la préparation de la suite, "La sécurité veille" histoire que les jeunes comprenne que ce n'était que le début, et enfin, le plus important pour lui: "J'vais dormir, j't'aime ma fille" Mettant fin au jonglage pour la sécurité de ses deux familles pour la soirée.

Le vautour pénètre dans le cercle armach puis désactive son module. Il porte sa main à sa poche et sort une grenade. Il la dégoupille, la conserve dans sa main, le déclencheur en pression. Ensuite il se dirige vers un boitier de commende bien en évidence devant une porte, braqué par deux camera et commence à la latter. L'IA détecte une agression et envoie le message d'alerte aux personnes concernée. Radium s'appuis en suite contre un mur, sert la grenade dans son poing. Des qu'il y aura du monde, il les ralentira avec sa grenade, en menaçant de la leur faire péter au visa, puis s'enfuira et si ca tourne mal....

"Merde, les voila."

Le vautour n'a meme pas le temps de distinguer les visages qu'il se fait engager. Ces gars la ne sont pas venu causer, ils sont sur les dents. Radium met son bras gauche devant son visage par reflexe et de son autre main il sert fort son engin de mort. Les coup pleuvent Il encaisse mal et se retrouve rapidement au sol. Sa tete heurte le sol, juste avant de perdre connaissance, il ouvre sa main et laisse la grenade rouler au sol.

L'explosion ne le tue pas, il perd connaissance...



Autour de son corps inerte l'agitation est grandissante, il y a deux victime, l'alarme d'Armacham bullets envoie des notifications d'alerte aux corporatistes. La nuée de combattant sort du bâtiment et se dirigent vers la boutique attaquée, Chérachum blessée reste près de radium, le surveille.
Les combattants reviennent maculés de sang. Agramf prenant conscience de la blessure mortelle de sa naine contrôlant tant bien que mal sa rage repousse Shadows sur le point d’arrêter le vaut au sol et coupe l'avant bras droit de Radium puis le laisse à disposition de l'agent du cdo

Calée contre le large torse de son troll, la naine grise se prépare à annoncer la nomination de deux nouveaux cadres du groupe.
Remontant ses binocles sur son nez, communicateur en main, les mots fusent tout seuls du bout de ses doigts quand soudain, une alerte hurle par les hauts parleurs de l'engin.

Attention - Risque attaque boutique -

Le service sécu, rodé, lâche ses agents dans toutes les entreprises et les rapports tombent.

 Radium en furtif au nord du quartier arma - 

Lucretia devant le gun, est entrée

- Visa là

Banque, Dread, Plaza, Gun, Bullets, Shop, Tech.. les quadratiques sont reparamétrés, chacun sa place, qui caché, qui visible pour servir de proie, qui surveille....
Et les rapports continuent inlassablement, fusant sous les doigts fins de la scruptrice

Arsene rien 5sec - Radium cache 1min - #### Repos 23 sec - #### repos 2 min - Lucretia rien 0sec

Tapie au Gun, la naine sourit rapidement, les écrans bleus de l'agent de renseignement se reflétant sur sa hallebarde. Elle se souvient de cette petite, il y a longtemps maintenant. Ses yeux ronds de surprise "Quoi ? moi ? Vous voulez que je devienne une espionne ?!!"
L'exclamation qui claque à haute voix, résonnant entre les murs de l'agence, la naine qui grommelle "Moui, enfin, si tu commences à le gueuler, on est pas rendu coté discrétion !"

RAS à la banque - Arsene rien 5sec - Radium cache 1min

Ouaip, elle a bien maturé la petite, depuis. Efficace, précise, agissant avec sang froid

Scan à répétition :####  repos 1 min - 

Radium cache 12 sec - Lucretia repos 3 min...

RADIUM DOJO 

Extrait enregistrement

Radium neutralisé - Deux types en fufu je rescanne

Extrait enregistrement

####repos 1 min - #### repos 4 min - Lucretia repos 3 min

....

Extrait enregistrement

Combat au Gun - Combat au Plaza

Extrait enregistrement

#### repos 6 min - ####SOIGNE 2min - Lucretia CUVE 13 min - Arsene repos 15 min

Visa repos 14 min

Extrait enregistrement

[Radio]Si je les repère, je les abats, leur coupe les couilles ou les ovaires et j'appelle le CDO"
"Appelle nous d'abord !
Des nouvelles de Paloma ?


[Radio]Les docs sur Palo', nous sur leurs labo, ils voulaient pas perdre d'argent? On va leur en faire perdre"
"Je veux adresses et début de digi.

Sud, à la C #### ID ####, 3 présences

[Radio] On peut pas s'y pointer sans incident diplomatique, 'Gramf, tu tentes de voir avec le CdO si y'a un AR qui justifirait du coup une intervention de leur part dans les locaux?
Au boulot, discrètement

Rappel 933***

[Radio]On ouvre tout les bunkers/labo/ planques de Radium
j'veux pas qu'il lui reste le moindre taudis où se mettre à sa sortie de cellule,
et plus aucun caleçon dans ses dressings.

Son Carpaccio d'avant bras (droit, en espérant que la proie soit droitier!) était près ! Oeuf d'écureuil, synthé-ciboule et un avant bras de vautour. Agramf aurait bien bouffé le clone entier pour étancher ses contrariétés !

Une attaque était signalée au cercle Arma, la sécu est là en moins de temps qu'il ne faut pour envoyer un com, comme d'habitude. Mais le vautour bien connu qu'on sèche en trois coup de griffe, l'a une grenade !!
Pas une grenade pour tuer des gens non non une grenade pour au cas où, dissuader l'ennemi et péter du mobilier de notre cercle, allez savoir.

Toujours est-il que le vautour assommé lâchât sa grenade.
Bilan, une grande brulée, ma femelle Chérachum qui est blessée mortellement et le coupable en charpie mais encore vivant.

Avant de constater la violence des dégâts, Agramf, à porté du clone, tranche un avant bras et le fourre dans son sac.
Mais le Major Shadows veut mettre le plumé en taule "bla bla bla reculez civis Agramf..." à moi Agramf, dans le hall de la maison familiale.

La situation est agaçante et je devrais en discuter avec lui d'autant plus qu'il appartient à la Garde. Si je veux pas perdre mon sang froua !

Chérachum succombe de ses blessures, le petit veinards est emmené à l’Hôtel Impérial au lieux de finir bien rangé dans mon frigo !

Cette attaque était une diversion, le hall du Bullets est tout défoncé, des hommes de Radium sont traqués pendant la soirée.

L'équilibre, respect des codex, gestion des pulsions vengeance de l'équipe sécu, lâcher du lest, pas trop! se met en place, les com de rigueurs sont envoyés au hostiles pour rappeler une fois de plus qu' "On ne touche pas à Armacham".
Les échanges qui suivent, deux cycles de paperasse par com???

Trois jours plus tard, la ville est occupée à autre chose, un sandwich à la terre géant, de 25 individus clodos comme habitants de l'Empire, à 40 m sous terre.
Agramf sort son avant bras un peu rassit, comme il aime et le passe au broyeur troll, os compris. Il prépare sa délicate collation, s'enfonce dans son canapé et gobe le contenu du bol, fermant les yeux, savourant.

IL M'EN FAUT PLUS !!!!