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Cacher
Dualité
Et si tout commençait par un miroir ? Cette surface lisse, froide, qui semble si banale, mais qui cache en elle un mystère insondable. Un simple regard suffit pour que ce morceau de verre, inanimé et pourtant si vivant, reflète ce que l’on est au plus profond de nous-mêmes. Un instant d’émotion fugace, un contact physique presque involontaire, et soudain, tout devient clair : le miroir ne reflète pas seulement notre apparence, mais aussi notre vérité intérieure, celle que l’on s’efforce parfois de fuir.
."J'ai vu dans ton regard ce que les gens appellent néant, un adieu à chaque au revoir."
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Ces mots résonnent comme un écho dans l’âme, porteurs d'une vérité que l'on peine souvent à accepter. Qui sommes nous vraiment ? Sommes nous cet érudit, riche de savoirs, ou cet abruti qui trébuche sur sa propre ignorance ? À certains moments, nous sommes un bourrin, agissant avec impulsivité et force brute, tandis qu'à d'autres, nous nous efforçons d’incarner une version idéalisée de nous-mêmes, celle que nous espérons être, ou celle que nous souhaitons montrer au monde.
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Mais ce que nous projetons n’est qu’un masque, une illusion façonnée par notre désir de contrôle. L’image que nous offrons aux autres est manipulée, ajustée, perfectionnée pour cacher nos fragilités. Nous avons ce pouvoir : celui de modeler ce reflet, de le rendre acceptable, voire admirable. Et pourtant, face à un miroir, il n’y a pas d’échappatoire. Le miroir, lui, est intransigeant, impassible. Il te rappellera toujours, sans compromis, qui tu es réellement. Chaque ride, chaque ombre dans le regard, chaque détail négligé, il les perçoit et les expose sans retenue.
.
Derrière chaque sourire forcé ou chaque éclat de rire, se cachent les vérités inavouées. Le miroir voit là où les autres ne regardent pas. Il détecte les blessures invisibles, celles que nous gardons enfouies sous des couches d’apparences et de fuites. La douleur, les doutes, les peines, tout ce que l’on tente de dissimuler, il les dévoile avec une implacable objectivité.
."Il n'y a pas assez d'essence dans le réservoir pour aller jusqu'au bout de tes peines car elles se cachent derrière ton miroir."
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Les peines, ces fantômes invisibles, logent derrière ce miroir. Elles sont toujours là, attendant leur moment pour réapparaître. On peut les ignorer, essayer de les enterrer sous un flot d’activités ou de distractions, mais elles nous guettent, tapies dans l’ombre, prêtes à refaire surface à la moindre occasion. Et à chaque regard posé dans ce miroir, cette confrontation avec soi-même devient inévitable. C’est là que la dualité de l’être s’impose. Qui l’on montre et qui l’on est, deux visages souvent en opposition, en perpétuelle lutte pour dominer notre réalité.
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Ainsi, chaque fois que l’on s’observe dans ce miroir, une vérité plus profonde est révélée. Ce reflet que l’on voit n’est qu’une surface, une porte d’entrée vers un abîme beaucoup plus vaste, une invitation à se questionner, à plonger dans l’inconnu pour comprendre qui l’on est vraiment, au-delà des artifices.
."Mais bordel, qui a quelque chose contre vous ? C'est fou ça !"
.
Pourquoi ce miroir semble-t-il s’acharner ? Comme si quelqu’un ou quelque chose voulait à tout prix vous rappeler cette douleur que vous tentez de laisser derrière vous. On dirait presque qu’il y a une conspiration invisible, un complot ourdi par vos propres peurs et vos doutes pour vous ramener sans cesse à ce que vous préférez oublier. C’est comme si la vie elle-même, ou ce foutu miroir, avait décidé de jouer contre vous.
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Ces mots résonnent comme un écho dans l’âme, porteurs d'une vérité que l'on peine souvent à accepter. Qui sommes nous vraiment ? Sommes nous cet érudit, riche de savoirs, ou cet abruti qui trébuche sur sa propre ignorance ? À certains moments, nous sommes un bourrin, agissant avec impulsivité et force brute, tandis qu'à d'autres, nous nous efforçons d’incarner une version idéalisée de nous-mêmes, celle que nous espérons être, ou celle que nous souhaitons montrer au monde.
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Mais ce que nous projetons n’est qu’un masque, une illusion façonnée par notre désir de contrôle. L’image que nous offrons aux autres est manipulée, ajustée, perfectionnée pour cacher nos fragilités. Nous avons ce pouvoir : celui de modeler ce reflet, de le rendre acceptable, voire admirable. Et pourtant, face à un miroir, il n’y a pas d’échappatoire. Le miroir, lui, est intransigeant, impassible. Il te rappellera toujours, sans compromis, qui tu es réellement. Chaque ride, chaque ombre dans le regard, chaque détail négligé, il les perçoit et les expose sans retenue.
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Derrière chaque sourire forcé ou chaque éclat de rire, se cachent les vérités inavouées. Le miroir voit là où les autres ne regardent pas. Il détecte les blessures invisibles, celles que nous gardons enfouies sous des couches d’apparences et de fuites. La douleur, les doutes, les peines, tout ce que l’on tente de dissimuler, il les dévoile avec une implacable objectivité.
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Les peines, ces fantômes invisibles, logent derrière ce miroir. Elles sont toujours là, attendant leur moment pour réapparaître. On peut les ignorer, essayer de les enterrer sous un flot d’activités ou de distractions, mais elles nous guettent, tapies dans l’ombre, prêtes à refaire surface à la moindre occasion. Et à chaque regard posé dans ce miroir, cette confrontation avec soi-même devient inévitable. C’est là que la dualité de l’être s’impose. Qui l’on montre et qui l’on est, deux visages souvent en opposition, en perpétuelle lutte pour dominer notre réalité.
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Ainsi, chaque fois que l’on s’observe dans ce miroir, une vérité plus profonde est révélée. Ce reflet que l’on voit n’est qu’une surface, une porte d’entrée vers un abîme beaucoup plus vaste, une invitation à se questionner, à plonger dans l’inconnu pour comprendre qui l’on est vraiment, au-delà des artifices.
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Pourquoi ce miroir semble-t-il s’acharner ? Comme si quelqu’un ou quelque chose voulait à tout prix vous rappeler cette douleur que vous tentez de laisser derrière vous. On dirait presque qu’il y a une conspiration invisible, un complot ourdi par vos propres peurs et vos doutes pour vous ramener sans cesse à ce que vous préférez oublier. C’est comme si la vie elle-même, ou ce foutu miroir, avait décidé de jouer contre vous.
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◊ Commentaires
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Dianna (115☆) Le 09 Septembre 2024
Je t'offre avec grand plaisir ta première étoile pour ce texte bien sympathique.
[Il faut revoir tes goûts musicaux par contre, ça ne va pas du tout !] -
Opale (0☆) Le 10 Septembre 2024
Tout plein de nuances et de jolis mots ! -