EDC de Zark~34425
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1. Le réveil... sanglant
Jour 1 - Arrivée au centre
Alors que dehors des rafales de vent tournoyaient et faisait s'agiter la poussière, la lourde porte d'acier se referma et un homme presque abattu en sorti.
Il était couvert de sang et son état n'était pas beau à voir.
Il tenta de reprendre connaissance.
Il était couvert de sang et son état n'était pas beau à voir.
Il tenta de reprendre connaissance.
Je .. Mais.. où suis-je ? pensa-t-il difficilement
Il observa autour de lui et il se trouvait dans une pièce obscure accompagné d'autres nouveaux visiteurs. La douleur était atroce. Son corps lui faisait si mal. Puis la mémoire lui revint peu à peu. Des flash saccadés.
Ces hommes...
Ils étaient rentrés chez lui. Il ne savait où, comment ni pourquoi mais il revoit certains de leurs visages.
Ils étaient rentrés chez lui. Il ne savait où, comment ni pourquoi mais il revoit certains de leurs visages.
Linda...
Sa femme. Et sa fille. Il revoit clairement le visage de l'ordure au sourire carnassier, les mains pleines de sang, se retournant lentement pour le fixer dans les yeux au moment où il venait d'égorger sa famille, tout ce qu'il avait au monde.
Oui les souvenirs lui reviennent. Il s'était alors lancé tête baissée et sans armes décidé à tuer celui qui avait démoli sa vie. La lutte fut intense et cruelle. Il se prit plusieurs coups de lame presque fatals, mais au moment où il parvint à retourner le couteau contre son adversaire et presque à le tuer, il reçut un violent coup derrière la nuque.
A partir de là c'est le trou noir.
Oui les souvenirs lui reviennent. Il s'était alors lancé tête baissée et sans armes décidé à tuer celui qui avait démoli sa vie. La lutte fut intense et cruelle. Il se prit plusieurs coups de lame presque fatals, mais au moment où il parvint à retourner le couteau contre son adversaire et presque à le tuer, il reçut un violent coup derrière la nuque.
A partir de là c'est le trou noir.
L'homme mal à en point continue à observer autour de lui.
Bizarrement la douleur ne venait pas de l'endroit où il avait reçu les coups de couteau. Il posa alors ses yeux sur son corps.
Bizarrement la douleur ne venait pas de l'endroit où il avait reçu les coups de couteau. Il posa alors ses yeux sur son corps.
Je.. Ah.... AArrrrgh !!! Auu !
Il tenta de crier et exprimer son horreur mais son souffle était coupé. Il vit le le spectacle terrible et macabre de son corps déchiré en lambeaux et couvert de sang.
Des pièce de métal étaient greffées sur de nombreuses parties de son corps : jambe, bras, épaule, main...
Les tueurs qui s'étaient introduits chez lui devaient certainement être des vendeurs d'organes, des esclavagistes clandestins ou quelque chose comme ça. Pour lui avoir fait ça ils ne devaient certainement pas être des professionnels mais plutôt des monstres !
Ton son corps était meurtri et ouvert de plaies infectées. Par endroits les coutures et les soudures étaient inachevées ou bâclées.
Sur cette vision d'horreur il eu soudainement envie de vomir et il perdit finalement connaissance.
Des pièce de métal étaient greffées sur de nombreuses parties de son corps : jambe, bras, épaule, main...
Les tueurs qui s'étaient introduits chez lui devaient certainement être des vendeurs d'organes, des esclavagistes clandestins ou quelque chose comme ça. Pour lui avoir fait ça ils ne devaient certainement pas être des professionnels mais plutôt des monstres !
Ton son corps était meurtri et ouvert de plaies infectées. Par endroits les coutures et les soudures étaient inachevées ou bâclées.
Sur cette vision d'horreur il eu soudainement envie de vomir et il perdit finalement connaissance.
Jour 3 - Sortie du centre et mise en péril
Ses yeux s'ouvrirent. L'homme était allongé sur un lit et une jeune femme en blouse blanche vint à son chevet.
Il était dans une pièce tout aussi lugubre que la première fois.
Il tenta de regarder son corps à nouveau et craint de perdre à nouveau connaissance.
Heureusement l'infirmière avait pansé les plaies les plus graves et caché ses horribles protubérances métalliques par des bandages de premiers secours.
Il la regarda.
Il était dans une pièce tout aussi lugubre que la première fois.
Il tenta de regarder son corps à nouveau et craint de perdre à nouveau connaissance.
Heureusement l'infirmière avait pansé les plaies les plus graves et caché ses horribles protubérances métalliques par des bandages de premiers secours.
Il la regarda.
Je... Où suis-je ?
A l'Impérium Monsieur, dans le centre d'accueil des visiteurs. Vous êtes en état critique. On ne peut cependant pas vous transférer à l’Hôpital central étant donné que vous n'êtes pas citoyen.
Mais... Que s'est-il passé ? Est-ce.. ah !
La douleur est atroce.
Est-ce ces.. hommes... qui.. fait ça ?
La douleur est atroce.
Est-ce ces.. hommes... qui.. fait ça ?
Euh... Je ne sais pas Monsieur. Mais vous n'allez pas pouvoir rester ici.
Le médecin de service du centre a statué sur votre cas. Ils ont beaucoup hésité à vous faire rentrer, mais la Loi Impériale nous oblige à vous porter assistance.
Le médecin de service du centre a statué sur votre cas. Ils ont beaucoup hésité à vous faire rentrer, mais la Loi Impériale nous oblige à vous porter assistance.
M.. Merci.
Je dois cependant vous prévenir. Il ne vous reste pas plus que quelques jours à vivre.
Vous êtes privé d'importants organes vitaux et d'autres ont été gravement endommagé pendant votre... opération. De plus votre système génétique présente des anomalies pour la sauvegarde.
Vous avez des hallucinations régulières et êtes sujet à la paranoïa.
Nous sommes désolés et ne pouvons rien faire. Surtout du fait que vous ne semblez pas avoir d'argent pour tenter quoi que ce soit.
Sur ce je dois vous laisser. Vous sortez aujourd'hui. Aurevoir.
Mais ... Mais ... Attendez !!!
Vous ne pouvez.. Je.. Me laissez pas comme ça ! Attendeeez !!!
Vous êtes privé d'importants organes vitaux et d'autres ont été gravement endommagé pendant votre... opération. De plus votre système génétique présente des anomalies pour la sauvegarde.
Vous avez des hallucinations régulières et êtes sujet à la paranoïa.
Nous sommes désolés et ne pouvons rien faire. Surtout du fait que vous ne semblez pas avoir d'argent pour tenter quoi que ce soit.
Sur ce je dois vous laisser. Vous sortez aujourd'hui. Aurevoir.
Mais ... Mais ... Attendez !!!
Vous ne pouvez.. Je.. Me laissez pas comme ça ! Attendeeez !!!
A la déclaration l'homme ne se souvenait plus de son nom et le fonctionnaire cru entendre par erreur "Zark" et l'inscrivit dans le registre officiel.
Les heures qui suivirent Zark tenta d'appeler à l'aide et mendia pour qu'on l'assiste et l'emmène à l’hôpital. Sans le sou il se traîna difficilement jusqu'à l'agence pour l'emploi où l'on ne su pas quoi faire de lui.
Zark vit cependant un emploi de technicien très simple dans une usine de production High-Tech.
La.. Mach.. Armacha... Comment on prononce ça ? Se dit-il
Il se présenta alors à l'entreprise Armacham Factories dans l'espoir d'y gagner suffisamment d'argent dans un délai très court et qu'ils puissent éventuellement l'aider eux-aussi. Après tout, il est maintenant à moitié robot ! Il lui faut un docteur ... ou un mécanicien !
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Récits
21 Novembre 2012
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