EDC de Woll-E~29490

Les glaçons font plus de mort qu'un Valstik en manque d'action. Trop d'amis sont au congélo et je ne sais si ils reviendront un jour. L’académie reste éperdument vide, même les sacs de frappe se sont fait la malle. Où sont nos NI que l'on pouvait corrompre avec un bubble gomme? La ville se vide de sa synergie. Les emplumés ne veulent plus se faire déplumer et me voilà, moi, entrain d'écrire un texte mélancolique. Moi qui suis pourtant si ludique, je traîne ma plume sur ce texte sans image, froid et glacial. La déprime des un fait suite à celle des autres et je ne sais où l'on va. Je cherche, il cherche nous cherchons... mais rien ne se trouve, perdue au milieu de nul part voilà où nous somme. Les jours s’enchaînent et se ressemble, combien passeront encore avant que tu ne sois plus là. J'aurais bien versé une larme mais les droïdes ne pleurent pas, alors je reste là, sur mon atelier à me demander si il est bien utile de réparer ce que de toute façon personne n'utilisera. Où sont les fêtes d’en temps, les chansons qui faisaient rire et les poivrots qui faisaient sortir les armes. Et dire qu'ils sont foutue d'étoiler ça, comme si ils en redemandaient encore et encore, de cette tristesse dont se monde se fait. Des divagations d'une fin de nuit que les déprimés ont finis par corrompre. Je sais ça ne veux plus rien dire mais c'est dramatiquement jolie, pour un peu je prendrais presque une corde pour me pendre, mais la encore faut-il en trouver une. Ma conserve à un goût de raviolis, encore et toujours, à quand ce cassoulet qu'on nous à promis. A croire que l'évolution stagne ou que l'on n'évolue pas les bonne choses, si seulement on pouvait passer au V6. Oui on en est là aux métaphores bancales qui se dérobent sous nos pieds. A l'image de cette ville qui sans se presser disparaît petit à petit. Serions nous arrivé à la fin, ou somme nous à l’approche d'une nouvelle vie et si pour une fois ce perpétuel recommencement laissait place à rien. A ce petit rien de Gail qui m'a foutue le cafard et me fait pondre ce monologue aussi indigeste que la tambouille de la moule. Alors arrêtons nous là comme ça sans fin, juste par ce que