EDC de Vycodin~20176
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L'AGORA...phobie...REBELLE
Une des plus "belles" institutions, s'il est encore possible d'appeler cela comme ça, se trouvant en SR est sans nul doute l'AGORA REBELLE...
Lieu de liberté par excellence opposé par son essence même à ce que représente la censure Impérialiste, lieu où tout peut se dire, s'entendre, se lire... Mais quand je dis tout c'est tout, je veux dire faut y être pour le savoir, c'est une expérience rare et fort intéressante...
J'en arrive même à penser qu'il faut être Rebelle que pour cette chance unique d'être à l'AGORA...
Lieu de liberté par excellence opposé par son essence même à ce que représente la censure Impérialiste, lieu où tout peut se dire, s'entendre, se lire... Mais quand je dis tout c'est tout, je veux dire faut y être pour le savoir, c'est une expérience rare et fort intéressante...
J'en arrive même à penser qu'il faut être Rebelle que pour cette chance unique d'être à l'AGORA...
Seulement voilà, tout ne peut pas être si simple, il faut bien un revers à la médaille et comme dans toute forme d’excès des complications peuvent survenir... Alors lecteur de cet écrit, lis ces quelques lignes :
L'agoraphobie touche de 2 à 4 % de la population. Sous sa forme mineure (agoraphobie simple) elle se développe entre la fin de l'adolescence et la trentième année environ. La forme majeure s'accompagne généralement de troubles paniques et survient entre 30 et 45 ans.
Si l'origine de cette névrose diffère selon les sujets, elle survient le plus souvent suite à un traumatisme psychique (accident, deuil, chômage…) récent ou éloigné. Ainsi, cet état — que de nombreux spécialistes différencient d'une « maladie » — peut être développé à tout moment par tout individu. Il peut aussi s'accompagner d'autres syndromes, phobies ou troubles compulsifs (dépression, claustrophobie…).
L'angoisse générée par cette manifestation phobique peut être de différente ampleur selon la réceptivité du sujet. Les individus les plus exposés peuvent alors présenter des crises de spasmophilie, appelées aussi « crise d'angoisse » ou « attaque de panique ». À l'exception des personnes présentant des pathologies particulières (déficients cardiaques, asthmatiques…), les crises de spasmophilie ne présentent au demeurant aucun danger pour la santé ou la vie du sujet. Néanmoins, les victimes comparent ces épisodes à une sensation de mort imminente.
L'angoisse générée par cette manifestation phobique peut être de différente ampleur selon la réceptivité du sujet. Les individus les plus exposés peuvent alors présenter des crises de spasmophilie, appelées aussi « crise d'angoisse » ou « attaque de panique ». À l'exception des personnes présentant des pathologies particulières (déficients cardiaques, asthmatiques…), les crises de spasmophilie ne présentent au demeurant aucun danger pour la santé ou la vie du sujet. Néanmoins, les victimes comparent ces épisodes à une sensation de mort imminente.
Ces attaques de panique présentent une ou plusieurs caractéristiques psychologiques et manifestations physiques :
palpitations, tachycardie (accélération du rythme cardiaque) ;
tremblements ou secousses musculaires (d'où vient le nom de spasmophilie) ;
douleur, gênes thoraciques ;
sensation d'étranglement, souffle court ;
parfois, déréalisation ou dépersonnalisation.
Les patients subissent une forte peur de plein fouet, les sensations de vertige, d'étouffement, de perte de contrôle, accompagnées des manifestations physiques d'une angoisse intense, ce qui les amène à redouter les situations dans lesquelles ils craignent d'avoir peur (peur d'avoir peur = phobophobie). Ils peuvent alors élaborer par opposition un processus dit d’« évitement », consistant à éviter toute situation représentant l'objet de leur phobie.
Dans ce dernier cas, l'agoraphobe risque ainsi d'entrer progressivement dans un processus de dé-sociabilisation et présenter à terme un syndrome dépressif majeur.
palpitations, tachycardie (accélération du rythme cardiaque) ;
tremblements ou secousses musculaires (d'où vient le nom de spasmophilie) ;
douleur, gênes thoraciques ;
sensation d'étranglement, souffle court ;
parfois, déréalisation ou dépersonnalisation.
Les patients subissent une forte peur de plein fouet, les sensations de vertige, d'étouffement, de perte de contrôle, accompagnées des manifestations physiques d'une angoisse intense, ce qui les amène à redouter les situations dans lesquelles ils craignent d'avoir peur (peur d'avoir peur = phobophobie). Ils peuvent alors élaborer par opposition un processus dit d’« évitement », consistant à éviter toute situation représentant l'objet de leur phobie.
Dans ce dernier cas, l'agoraphobe risque ainsi d'entrer progressivement dans un processus de dé-sociabilisation et présenter à terme un syndrome dépressif majeur.
Si toi aussi tu ressens ces même symptômes alors nul doute tu abuses trop de l'AGORA...
◊ Commentaires
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Odul (692☆) Le 31 Octobre 2013
Reste plus qu'à donner un cours à l'université sur cet état! (dont le nombre d'atteint est je pense sous évalué dans ce rapport ^^)