EDC de Séléné

Dites-moi, quelles sont les valeurs de l'empire ?
Apprenez-moi, j'aurais tellement aimé pouvoir tout savoir.
J'aurais aimé être ici, là, partout. Je veux apprendre a vivre l'impérialisme.
Je veux vivre en tant qu'impérialiste.

Nous nous créons des problèmes entre nous, au péril de Ses créations.
Que ce soit vous ou eux, certaines de vos actions agissent contre Sa volonté.
Vous avez tous les deux des atouts et des faiblesses, du moins selon les informations qu'on me donne.
Vous revendiquez la même chose, vouloir le bien du secteur, mais vous dites la même chose de l'autre "ils sont fermés", difficile de savoir qui est réellement fermé sans voir les coulisses malheureusement.

Autocritiquez vous, comprenez ce que l'on dit de vous, cherchez a apprendre, visez le mieux possible pour Le représenter.
Qu'aurait t'Il fait ? Que chercherait t'Il a faire dans cette situation précisément et comment le ferait t'Il Dignement. Mais, je suppose que vous me diriez que vous le faites déjà.

Alors, vous deux, vous devriez vous allier.
Ce serait contre Sa volonté d'avoir un 10-ème secteur, ennemi de Son porte parole.

Selon Alleria, la criminalité serait uniquement néfaste. Moi je n'en sais rien. Quoi qu'il arrive nous ne pourrons pas stopper la criminalité définitivement. Nous pouvons tendre vers cela mais c'est impossible de l'éradiquer. De plus, il faut essayer de la stopper équitablement.
C'est comme l'offre et la demande. Il faut un juste milieu.
On ne peut pas se permettre de payer des conséquences plus graves que ce qu'on construit dans la finalité (Alleria l'a aussi dit).
Plus on essaiera de stopper la criminalité, plus le cout pour la stopper va se multiplier.
Car il sera de plus en plus difficile de rajouter des moyens pour la diminuer.
Plus la criminalité sera stoppée, moins on pourra la stopper.
Donc, le prix à payer sera toujours de plus en plus grand pour de moins en moins d'efficacité.
Il faut le juste milieu pour ne pas perdre plus que ce que l'on essaie de gagner.

Aucune loi, c'est le chaos, aucun droit, c'est le chaos