EDC de Sylas

Mon réveille sonne, une petite mélodie me tire de mon paisible sommeil, je l'éteins sans plus tarder, je n'ai jamais eut de mal à me lever le matin. Mon appartement est plongé dans un silence complet, personne dans les parages, je doute même que mes voisins pense avoir une voisine.
Je consulte la caméra et les digicodes, les chiffres tournent sous mon regard las.

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La cafetière est en train de chauffer, j'en profite pour prendre une douche, délier ma nuque et mes épaules raides. La veille avait été assez mouvementé, quelques unes de mes planques doivent sûrement être réduit en tas de cendre fumante à l'heure qu'il est.
Quoi qu'il en soit, cette douche me fait le plus grand bien. Je suis détendue, mon peignoir est doux et mon cafey est prêt, mon postérieur se pose sur le canapé, en sirotant ma boisson, je consulte les news du jour et de la veille.
J'allume la TV, dans l'espoir qu'une bonne nouvelle brise ma morosité matinale ; Des incendies, des blablas politiques et des promesses de flic.
Rien de bien rassurant, mais qu'est-ce qui est rassurant par les temps qui court ?

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Mon com' professionnel vibre sur la table basse.
Je dépose soigneusement mon AITL à côté de mon com', j'éteins la TV et je file me vêtir correctement.
Une tenue noir équipé de renforts musculaires pour m'assister dans mes tâches physique, des chaussures à semelle compréhensive pour supprimer les bruits de pas et un module d’invisibilité amélioré pour disparaitre des caméras.
Des lames jumelles trônes entres mes omoplates, un couteau à ma cuisse et une capsule de suicide à croquer.

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Je lis enfin le message envoyé. court, simple, efficace.
Mon client est un habitué.

Je suis un assassin

Mon métier me contraint à vivre dans l'ombre, pas de famille, ni d'ami, seulement des clients et des proies.

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