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Ecrits lambda
Avec toi inconnu(e) je partage ces quelques mots.
.
Aujourd'hui je me sens bizarre, l'entrainement lorsqu'il est si machinal permet à l'esprit de vagabonder.
Je me trouve entre quatre murs, bien trop rapprochés, bien trop étriqués, on pourrait y voir une image réduite du secteur.
Des années que j'erre dans ma tête comme les passants se perdent dans le smog de la ville.
.
Et si... tout n'était qu'illusions, la vie qu'une simple fiction, alors que serait-on ?
Là n'est pas la question. Si... c'était le cas que ferait-on ?
Un script ne peut-il pas évoluer, être modifié ? Mais dans quelles conditions ?
Dernière ligne droite dans cette ascension, les paliers sont presque glanés il ne reste plus qu'a trancher.
Que restera t-il de cette nouvelle ambition ? La folie ou la raison ?
.
Ne vous êtes vous jamais dit que la vie était une grande pièce de théâtre où chacun joue, sans s'en rendre compte, le rôle qui lui a été écrit.
Mais quel est le sens de ce jeu de rôle, pourquoi s'amusent t-ils à nous manipuler ? Pourquoi nous font ils exister ? Qui sont nos Dieux ?
.
Tant de question et si peu de réponses.
.
Et si... rien de cela n'avait d'importance, à défaut de sens (confus)
.
Confusion : manque de clarté, d'ordre.
"Jeter la confusion dans les esprits"
.
Un patchwork ! Beurk !
J'aurai dû être un elfe pour cet attrait pour le texte, j'aurai dû être un troll ou un gobelin pour cet apparence feint(e), j'aurai dû être un rat pour cette queue d'apparat mais je suis un kobold dans ce monde et je vous emmerde !
.
.
Je me livre, tu me délivre de tout ces maux qui deviennent mots.
.
.
Exercice solitaire, compagne douce-amère, tu m’envoie des mots plus ou moins beaux.
D'où viens tu, que cherche tu ? La réponse tu la connais mais tu la tait.
Tu reste donc sans voix et rejette nos ébats ; quoi qu'il en soit, je suis à toi.
.
Aujourd'hui tu as décidé de m'accompagner, de m'enlacer.
De te présenter, de m'apprivoiser.
Tu m'offre ton corps, en posant le décor.
Je t'offre mon âme, cet amalgame.
.
Une composition rare, car,
Elle continu de s'exercer sans se trouver.
Un jour viendra le temps, où en fusionnant,
Nous ne ferons plus qu'un, c'est certain.
.
En attendant je continuerai à te chercher, semblant d'épopée.
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Aujourd'hui je me sens bizarre, l'entrainement lorsqu'il est si machinal permet à l'esprit de vagabonder.
Je me trouve entre quatre murs, bien trop rapprochés, bien trop étriqués, on pourrait y voir une image réduite du secteur.
Des années que j'erre dans ma tête comme les passants se perdent dans le smog de la ville.
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Et si... tout n'était qu'illusions, la vie qu'une simple fiction, alors que serait-on ?
Là n'est pas la question. Si... c'était le cas que ferait-on ?
Un script ne peut-il pas évoluer, être modifié ? Mais dans quelles conditions ?
Dernière ligne droite dans cette ascension, les paliers sont presque glanés il ne reste plus qu'a trancher.
Que restera t-il de cette nouvelle ambition ? La folie ou la raison ?
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Ne vous êtes vous jamais dit que la vie était une grande pièce de théâtre où chacun joue, sans s'en rendre compte, le rôle qui lui a été écrit.
Mais quel est le sens de ce jeu de rôle, pourquoi s'amusent t-ils à nous manipuler ? Pourquoi nous font ils exister ? Qui sont nos Dieux ?
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Tant de question et si peu de réponses.
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Et si... rien de cela n'avait d'importance, à défaut de sens (confus)
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"Jeter la confusion dans les esprits"
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Un patchwork ! Beurk !
J'aurai dû être un elfe pour cet attrait pour le texte, j'aurai dû être un troll ou un gobelin pour cet apparence feint(e), j'aurai dû être un rat pour cette queue d'apparat mais je suis un kobold dans ce monde et je vous emmerde !
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Je me livre, tu me délivre de tout ces maux qui deviennent mots.
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Exercice solitaire, compagne douce-amère, tu m’envoie des mots plus ou moins beaux.
D'où viens tu, que cherche tu ? La réponse tu la connais mais tu la tait.
Tu reste donc sans voix et rejette nos ébats ; quoi qu'il en soit, je suis à toi.
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Aujourd'hui tu as décidé de m'accompagner, de m'enlacer.
De te présenter, de m'apprivoiser.
Tu m'offre ton corps, en posant le décor.
Je t'offre mon âme, cet amalgame.
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Une composition rare, car,
Elle continu de s'exercer sans se trouver.
Un jour viendra le temps, où en fusionnant,
Nous ne ferons plus qu'un, c'est certain.
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En attendant je continuerai à te chercher, semblant d'épopée.
Informations sur l'article
Délirium
15 Juillet 2019
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6☆
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