EDC de Sigmar~2569

« L’un d’eux doit devenir ce pourquoi il est né, lorsque d'autres sont déjà ce pourquoi ils sont nés et, sous une forme ou une autre, se révéler et exister. Il se nourrit de la vie des hommes lâches. Leur corruption est âpre à ses narines. Le sang qu'ils font couler n'a d'éclatant que la couleur en tant que...couleur. Les rayons du soleil deviennent noirs, les a-t-il seulement vus un jour ?
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Les vents sont empoisonnés et la ville électrique. Chaque odeur est une épopée de souvenirs plus précis les uns que les autres, de sensations et de voies à emprunter ou à méditer.
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De loin je vois venir le crépuscule des dieux, les champs de la guerre, en somme mon prochain combat. La dévorante corruption déverse ses apôtres noirs, les liens se brisent et l'Impérial Blanc se précipite, son pas plus assuré, sa poigne plus forte, le regard plus acéré encore. Il se précipite à l’est, à travers les vallées pleines de poison, de tourbe et de fange.
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Elle vit dans un Temple Noir loin du soleil, sur le rivage des cadavres, ses portes sont tournées au nord. Des gouttes de poison y ruissellent à travers les soupiraux. Le sol est pavé de mauvaises intentions. Les douves remplies de corps d'enfants des Enclism. La noirceur de l'hérétique.
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Là elle vit marcher dans des torrents nauséabonds, les parjures, les meurtriers, les tortionnaires et ceux qui séduisent les âmes en peines, les âmes perdues, ceux qui en abusent et s'en délectent.
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Là l'homme brulé cherchait les corps des trépassés, le fidèle traînait les cadavres. Comprenez-vous ceci ? Savez-vous ce que je veux dire Sigmar ou votre esprit est trop embrumé par l'Impérial Blanc qui aveugle votre âme à longueur de pensées ?
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Alors les frères ennemis combattront, et l’un tuera l'Aura de l’autre. Les enfants brisés s'en mêleront et seul Hujan poseras les yeux sur la fresque de leurs desseins. Alors il est dur d’être dans le monde. L’adultère y règne. C’est l’âge des wolfers dans l'échine, l’âge des perfidies politiques, les égides ont été touchées et elle n'auront pas survécu au tumulte, à la tension du choc.
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Pourtant le fracas des lames et le vrombissement des armes énergétiques n'a pas encore eu lieu, nous n'en sommes pas encore la que déjà le champ de vision de l'Impérial Blanc s'agrandit et devient plus clair. Le rat Primus premier non premier-né du nom à déjà quitté la terre-sainte. Son ignominie de détritus de progéniture non biologique et pourtant si ressemblante, traître et renégate, à traversé la rivière des mensonges, quelques morts accrochés à son sillage, pour rejoindre l'est, une terre promise, qui ferait passer le Temple Noir pour l’éden acceptable.
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C’est l’âge des tempêtes, l’âge des meurtres, l'âge des règlements et de ce tumulte, Son empire renait. Une paire de Runners à la taille en guise d'esprit. Une paire de Rédemption et de Miséricorde sous la taille en guise d'attribut et paire de yeux d'Impérial céleste au dessus de la taille pour décrypter la folie, le geste, la stratégie le phénomène, nom de code, Fay-nomène.
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Jusqu’à ce que leur monde soit détruit, aucun homme n’épargnera un autre homme. Les enfants de l'Adjudicateur jouent, ils sont immergés d'une eau presque pure, immergés dans l'action et le devoir, l'Impérial blanc est tenté d'unir les bonnes personnes. L’arbre sec et sans vie du monde reverdit. Kendal déverse son code dans la matrice antique nom de code Rebirth, ses annonces remplissent l’air. Sigmar converse avec Cirius.
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Les puissants s’agitent, pour s'agiter. Les Nodash gémissent quand les Runes sont déchaînés; tous les êtres tremblent dans les routes de la mort, jusqu’à ce que le feu de la Forge Impériale purifie les dévoreurs de mondes. Puisque c'est l'épée qui porte le coup fatal.
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Le dévorant rugit sur le smog sa hargne de non-vivre et donc de douter d'autrui, donc de trahir autrui, donc de corrompre sans succès autrui, porte sur lui une douce lumière dévoilant la véritable longueur de ses crocs, le manque d'épaisseur de son cuir intoxiqué. Encore l'Impérial, s'enchaine, se flagelle,brise ses chaînes et se précipite.
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Et elle est la, qui entoure la terre se roule, possédée de la furie des géants sans en comprendre la danse, elle y est au promontoire des Héros de la bravade, armés de leurs boucliers de synthé-bois, son affect presse les vagues aussi vite que sa langue ment et suinte le poison, l'Impérial blanc râle de douleur sous les morsures et les offenses mais c'est une agonie salvatrice.
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Où en sont les éveillés ? où en sont les passionnés ? L'un se complait quand l'autre se perds. Comprenez-vous ceci ? Savez-vous ce que je veux dire Sigmar ou vous n'êtes qu'un humainement diminué de plus ?
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Alors elle vit la terre, admirablement verte, de nouveau sortir du sol corrompu; elle vit les cascades se précipiter, et, au-dessus, voler l’hermatodonte resplendissant, qui guette la proie du haut des rochers. Mais voila elle rêve. Dire qu'elle rêve est en fait un mensonge, elle anticipe, elle calcule afin de construire un nouveau Temple Noir dans sa vision. L'Impérial Blanc pour un siège au grand firmament devait l'aider à accomplir son noir dessein. Comme si la dignité s'achetait. Comme si son âme ne valait pas mieux que cela. Comme si il était l'Impérial à acheter.
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Alors les moissons hydroponiques seront semées, car il n'a jamais quitté ses pas, pas l'ombre d'une seconde. Tout malheur sera détruit: Cirius viendra et bâtira avec Elric la belliqueuse demeure d'Hujan, le palais sacré des dieux. Comprenez-vous ceci ? Savez-vous ce que je veux dire ? Ou vous allez vous complaire dans les runes, les inscriptions sur papier et la gestion des astres Sigmar ? Combien de temps que vous avez cessez de croire avec votre foi et non votre pragmatisme redondant ?
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Elle vit s’élever un palais plus beau que le soleil, sur la haute-ville, ce n'était que l'illusion de son propre reflet dans les yeux de Sigmar.»

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[Au détour d'une rue, d'un bar, d'un baril vous pourrez trouver des feuilles photocopiées, signées "L'Imperial Blanc - S.R.V"]

Lorsque le choix s'est offert à toi, tu as choisi le chaos général,
Lorsque le choix s'est offert à toi, tu as choisi le pouvoir gouvernemental,
Lorsque le choix s'est offert à toi, tu as bâti ton empire du mal...
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"Moi qui te croyais simplement vénale."
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Lorsque tes frères ont combattu la corruption, tu arborais de l'Ordre noir, le fanion,
Lorsque tes frères ont combattu la corruption, tu as comme toujours préféré ton ambition,
Lorsque tes frères ont combattu la corruption, votre blasphème et votre cruauté, étaient ta seule vision...
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"Et pourtant tu te clamais être une femme pragmatique avec pour l'Empire de belles visions."
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Lorsque la lumière te brulait les yeux et que tu complotait, ta bêtise,
Lorsque la lumière te brulait les yeux et que tu complotait, ta fainéantise,
Lorsque la lumière te brulait les yeux et que tu complotait, ta lâcheté que rien ne déguise...
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"On eu raison du voile que tu as posé, de tes tentatives de me manipuler, voit comme avec ma foi, je te brise."
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Tu utilisais l'innocent, pour mieux me conforter.
Tu louais Cirius notre Imperator pour faire semblant de me ressembler.
Tu te parjurais, envers et contre tout, tant qu'en coulisse tu pouvais torturer.
Tu servais le puissant, l'homme brulé car au final c'est lui qui t'a toujours manipulée.
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...et pour cela traitre Impériale, je te fais chuter mortellement, de ton piédestal.
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L'Impérial Blanc, S.R.V