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Le transportage en Aisserre
Satie avait juste eu le temps de faire un câlin à sa maman avant de s'engouffrer dans les souterrains.
En dessous, des bérets apparurent partout, tenant des armes en main, parlant fort.
La première fois qu'elle était descendue, le chauve lui avait demandé de ne pas toucher à l'échelle rebelle où elle faisait Ding Dong et Pistache l'avait chargée sur ses épaules direction l'Ouest.
Cette fois, la Peluche Yuyo l'avait chargée à peu près pareil et l'emportait en direction de l'Est, pour emprunter cette même échelle.
Les rands, y sont copliqués; y vont yamais tous dans le même sens.
Et pis y disent pas toucher, mais eux, y le font !!
Et pis y disent pas toucher, mais eux, y le font !!
De retour à l'air libre elle découvrit une autre ville, aux immeubles plus bas et plus délabrés.
Un groupe s'était formé autour d'eux et les observait.
Les garçons avait franchi le SAS plus tôt dans la journée et paraissaient à leur aise au milieu de tout ces gens.
Sans sa maman, sans Ion ni Andraste pour veiller sur elle ou la filer, Satie sentit la peur l'envahir et elle s'enfuit entre les pattes de tous, plein Est.
Un groupe s'était formé autour d'eux et les observait.
Les garçons avait franchi le SAS plus tôt dans la journée et paraissaient à leur aise au milieu de tout ces gens.
Sans sa maman, sans Ion ni Andraste pour veiller sur elle ou la filer, Satie sentit la peur l'envahir et elle s'enfuit entre les pattes de tous, plein Est.
Avec Emeth, elle visita des bars et des lieux tout nouveaux, fuma, chanta devant la talavision et bu de l'alcool dans une flasque d'un inconnu puis parti mettre la pagaille dans tous les cercles où elle pu entrer.
Le silence retomba bien vite sur la ville et elle erra un long moment jusqu'à ce que meussieur Kambouis lui fit faire une course de fulguro chaise.
Il lui proposa de lui soigner sa plaie toujours saignante dans sa bouche; en échange elle lui montra la cicatrice de son thorax qui maintenant suintait légèrement et ses bleus qui grossissaient au lieu de diminuer.
Il lui proposa de lui soigner sa plaie toujours saignante dans sa bouche; en échange elle lui montra la cicatrice de son thorax qui maintenant suintait légèrement et ses bleus qui grossissaient au lieu de diminuer.
Dans un coin du bar, elle effectua une plongée rapide : ELLE était encore là, mal en point et en colère.
Satie avait peur.
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Projet CRE
01 Juin 2013
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