EDC de Saraï~66021
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ypersecrettext- Bon c'est pas pour ça que j'ai choisi ce pseudo pour le perso, mais quand même -
Teint piqué de taches de son en constellations.
Nez au bout arrondi, l'un des grands responsables de ses airs de femme-enfant.
Regard souvent fébrile, presque toujours franc, aux iris si sombres qu'elles paraissent liquides, ombragé de cils noircis de maquillage. Si sa ligne de mire varie, sans cesse captivée par une nouvelle cible lorsqu'elle est en découverte, son regard se fait sans mal statique, attentif, pour ses interlocuteurs, souvent en pleine cartographie mentale des visages. Cornée droite -œil de visée- assez régulièrement habillée d'une lentille qui permet un 'zoom' modéré.
Lèvres un peu abîmées quand elles sont nues, luisantes de teintes sombres qui jouent avec les rétines dans leurs couleurs changeantes.
Enveloppe qui dépasse à peine le mètre cinquante, menue, tendue de peau aux teintes de sucre cuit, chiffrée à trente-sept kilos en ce moment.
Si le bas du corps est particulièrement callipyge – chute sans le vertige – , cuisses un rien plus étoffées que ne le laisserait penser sa silhouette de liane noueuse, son buste est, lui, étroit. Il est à peine alourdi de rondeurs très loin de l'opulent et s'évade en entonnoir décoré des sillons saillants de ses côtes, la taille trop maigre.
Les attaches, articulations délicates trahissent l'ossature peu dense. La musculature timide, qui affirme quelques lignes, trahit elle l'entraînement léger.
Les attaches, articulations délicates trahissent l'ossature peu dense. La musculature timide, qui affirme quelques lignes, trahit elle l'entraînement léger.
La carrure de poids plume –version sans barbules– est le plus souvent enveloppée dans des tenues chaudes : bottes aux talons compensés alourdies de titane, blouson au cuir pétrole religieusement soigné, chaussettes aux allures de bas colonisant jusqu'à ses cuisses ou leggings soyeux et robes lâches sont parfois remplacées par des tenues plus ajustées, corps enlacé de tissus moins pudiques.
Quand elle se dévêt un peu, ses clavicules creusées se dévoilent, dans les lacunes de ses vêtements, tout autant que les chaînes aux éclats dorés, bijou de corps à demi-dissimulé, accrochent doucement la lumière.
Leurs jointures sont souvent écorchées ces derniers jours, résidus de peau laissés en souvenir à des partenaires d'entraînement par générosité (ou pas).
L'absence de corne protectrice trahit son manque d'activités manuelles. Une bosse sur le flanc gauche de son majeur droit, trahit, elle, l'utilisation régulière d'un stylet.
Intérieur de la joue torturé, pour tout et n'importe quoi, surtout pour contenir un élan, ce qui en fait la plus grande victime de ses dents -elles, à l'occasion lissées du bout de la langue-, quand ce n'est pas la lèvre inférieure qui prend - et qu'elle ne se fait pas déjà triturer par ses doigts dextres-, ou, pire, son pouce droit.
Dites lèvres prises de sourires larges, de sourires mutins, de sourires timides, de sourires contrits, de sourires penauds, de sourires d'excuses, de sourires jaunes, de sourires chauds, de sourires qui lui montent jusqu'aux yeux, de sourires qui vont jusqu'à lui comprimer les poumons ; de sourires.
Tous les gestes du corps sont empreints de quelque chose d'un peu flâneur, éthéré, association étrange quand excès d'enthousiasme ou frénésie passagère vient s'y mêler. Tendance qui s'accentue quand elle a les poumons en pleine envolée, enfumés, tout se ralentissant dans une sorte de danse imprécise.
Sueur aux relents un peu acides, presque d'un végétal désagréable parfois, quand ils ne sont pas neutralisés par des effluves savonneuses. Cheveux parfois empreint d'une odeur âcre et fumée de champignons consumés bien reconnaissable qui couvre sans trop de mal les traces olfactives de shampoing au sucré chimique qui, seul, est le plus régulièrement dans sa signature olfactive.
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xtehypersecrettextehypersecrettextehypersecrettextehypersecrettextehyperPêle-mêle
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*Un AITL à l'écran fissuré dans un coin qui ne crache plus que de la neige auditive quand on essaye de lancer un son.
*Un terminal portable flambant neuf, poussière de farin déjà incrustée dans ses sillons.
*Des écouteurs intra-auriculaires sans fil d'un doré un rien écaillé, en ce moment mal-aimés, au profit d'un casque V2 couvrant qui la pousse à une fréquente autarcie auditive.
*Des plaquettes de crédit-puces vierges, souvent retrouvées en fond de sac avec une pléthore de tickets de t-cast religieusement sauvegardés.
*Un terminal portable flambant neuf, poussière de farin déjà incrustée dans ses sillons.
*Des écouteurs intra-auriculaires sans fil d'un doré un rien écaillé, en ce moment mal-aimés, au profit d'un casque V2 couvrant qui la pousse à une fréquente autarcie auditive.
*Des plaquettes de crédit-puces vierges, souvent retrouvées en fond de sac avec une pléthore de tickets de t-cast religieusement sauvegardés.
* Deux paquets de yeheyuans, un briquet en plastique rose bonbon un peu sale, un sachet de substance -poudre de filaments grossiers- au parfum terreux et capiteux.
* Un étui solitaire pour lentille "Zoom+" modèle premium.
* Une boîte de capsules de fumée dentaire (Dentofraich' : faites fuir les rats avec votre agri, pas avec votre haleine ! )
* Un étui de rouge à lèvres, coloris "Pétrole", un tube de laque à lèvres, coloris "Flaque d'huile", profond turquoise à l'iridescence violette et bleue, un liner mat "Smog de Nuit" et le mascara assorti.
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