EDC de Sanya

“Il n'est pas vrai que rien soit jamais effacé, Le passé n'est jamais tout à fait le passé.”

Les jours, les heptades, les années, les décénnies passent mais rien ne changent réellement au fond.
on a beau dire qu'on va bien et sourire a tous le monde.
Même a celui qui partage notre lit, mais une fois que tu es face a ton miroir,
tu ne peux plus mentir.. se regard vide de réelle sentiments, ce reflet qui ne montre que dégout.
Quand tu le regarde et les souvenirs qui revienne a chacune des cicatrices.
Tu es seul devant se miroir qui ne peut mentir, car il est ton reflet, celui de ton âme que tu peux apercevoir dans se regard brillant.

Tu frappes ton poing dans se reflet que tu déteste voir,
le miroir se brise et éclate dans tous les sens sous la force du coup
et ce n'est plus une mais des dizaines de toi que tu observes.

*Je te souhaite tout le malheur du monde
Que mes douleurs te suivent jusqu'à la tombe
Pour payer tout le mal que tu m'as fait*

Encore une nuit seul, elle sera longue et froide.
Tant de cycle a t'enfermer avec seul compagnie tes pensées et permettre a tes angoisses les plus intense te submerger et te noyer.
a l'aube tu reprends le dessus alors que le sang aura encore couler,
la mission a présent est de caché cela. beaucoup ne remarqueront pas ou peu.
Il n'y a que lui qui remarque toujours la moindre marque il n'y a que son regard que j'éviterai quand il me verra car je sais qu'il ne dira rien..
Mais que cela le dérange. Je l'ai tellement déçu, pourtant il est toujours là.

je ferme les yeux pour faire le vide et rester souriante, discuter comme si de rien était.
Mais une fois les yeux fermer, je ne suis plus là,
Je regarde autour de moi et je suis totalement ailleurs.
je leve ma main pour toucher se tableau devant moi, je regarde ma main humaine puis je sens une présence dans mon dos, des bras m'enlace,
un souffle chaud dans mon cou, une plume écarlate, une douce chaleur m'envahi, une douce plénitude dans ses bras.
Puis comme un tourbillon je me sent inspirée dans cette tourmente.

“L'amour se passe de cadeaux, mais pas de présence.”

Un sourire sombre m'apparait et brise en mille morceau se bonheur que je ne mérite pas.
Tu n'a pas le droit de l'aimer. tu es un monstre et tu le détruiras avec toi...
et oui je nous ai détruit en le repoussant puis le réclamant..

*Pourtant si tu savais combien moi je t'aimais
Oui pourtant si tu savais
Oui pourtant si tu savais
Oui pourtant si tu savais
Si tu savais combien moi je t'aimais
Oui pourtant si tu savais
Oui pourtant si tu savais
Oui pourtant si tu savais
Pour payer tout le mal que je t'ai fait*

Ma main se porte a mon visage du bout des doigts caressant ma balafre qui me défigure

“Vivre dans le passé, c'est mourir.”

Tu sais que tu es morte depuis longtemps.. juste un clone vide.
Juste une ombre qui erre l'âme en peine, qui entretient sa souffrance pour se croire encore vivante.
Pourtant tu ne peux oublier ton passé, tu le regarde, il a changé, il a grandi, il a souffert aussi...
tu veille sur lui mais tu es invisible, mais cela te suffit, un monstre tu étais, un monstre tu es et un monstre tu seras toujours.
Imbattable pour faire souffrir et détruire tous se que tu touches. surtout toi...

“Faire l’amour passe le temps. Et le temps fait passer l’amour.”

*Non mais qu'est-ce que tu t'embêtes
Tu te prends la tête, ce gars-là n'est pas net
Et il est fauché, aller viens sois pas bête
Je t'en prie arrête
Je suis sûr qu'il ne reflète pas vraiment ce qu'il est
Ainsi bas la vida, ainsi bas la vida
Ainsi bas la vida, ainsi bas la vida*

Personne ne comprends mon choix et pourtant je l'ai fais.
je suis liée par une promesse malgré que je vous entends autour de moi.
j'ai promis a quelqu'un de ne pas le faire souffrir alors je veillerai sur lui.
ma douleur est sans importance....

La Chips me fout une droite que je n'ai pas vu venir et qui dans un nouveau tourbillon me ramene les pieds sur terre, je regarde autour de moi,
Je suis là.
Mais j'ai pris ma décision, beaucoup de choses risquent de changer. Se soir je le fais...