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EDC de Sana_Peli~68695

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Cacher

L'alcool ça me rend poète [RP]

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conte rp trouvable sur la matrice, commentaires rp autorisés, commentaires hrp à mettre (en parenthèse)Appuyez pas sur cacher sinon ça devient moche

Dans le monde des temps anciens, dans le monde des premiers nés, où la technologie était avancée.. mais pas tant que ça, que les métas n'existaient pas...
vivait simplement des humains, festoyant à la vie, festoyant à la mort, la vie était simple et les cœurs étaient humbles, la ville était en joie, les âmes étaient en fête.
parmi tout cela résidait un pouilleux, un mendiant, un nécessiteux ou taiseux, qu'importe le mot le désignant, l'on se fait une idée du personnage, qui, comble du hasard, avait reçu une somme relativement humble, d'un riche marchand, en liquide, alors que le pauvre se morfondait sur son sort sur les marches menant à la taverne, bar, cantina, de la ville.
L'homme s'y rendit sur au don de l'homme plus aisé et doté de générosité, présentant tout son bien au tenancier, lui demandant ce qu'il pourrait avoir pour une telle somme.
Le tenancier, avide mais peu partageur, lui convient "pour cela ce sera soupe claire et synthé-pain"

qu'à cela ne tienne, l'homme prit son dût.. et.. doucement, se faufila, dans la foule et les festivités, évitant chaque remous, économisant chaque gouttes du repas, il se faufila, oui, jusqu'à la cheminée (relique ancienne), se prenant une place, il était seul, mais réchauffé, et.. bientôt nourri.
alors qu'il allait se repaître de la soupe qui consistait à une eau aromatisé aux synthé-légumes et quelques bouts de champignons, il se tourna vers le feu, où grillait des viandes diverses et délicieuses.. pas seulement d'écureuil, mais aussi d'espèce que le commun des immortels de nos jour n'a jamais connu et ne connaîtra sans doutes jamais..
L'homme était nécessiteux mais de cœur pur, dans son esprit limité mais droit naquit une idée.
Il planta au bout d'un pic un morceau de son pain, qu'il alla faire voleter au dessus du fumet dégagé par les vandaisons, la mie s'en imprégnant... et.. parfois, il osa poser sous celle ci, les gouttes de graisse tombant sur la mie et la rendant d'autant plus délicieuse..
il mie la mie en bouche, et, hmmm... un délice, la larme aurait pu couler si l'alcool n'avait pas prit lieu et place de son sang, combien d'années étaient passées sans qu'il ne puisse goûter à de la viande ? ça l'homme, jamais ne le saura.

"AU VOLEUR ! MECREANT !" s'écria, alors, le tenancier.
Le bar se mit au silence, alors qu'il s'exclama en avisant le mendiant.
"VOLEUR ! AAAH ! JE TE TIENS, FAQUIN !"
alors qu'il accusa l'homme le silence se fit dans la salle.. et un homme se leva.
c'était le marchand qui fit don d'un tribu au mendiant, en début de soirée.
"alors l'ami... que se passe-t'il donc ?"
le tenancier se fit alors plus courtois, au jugé des drapés de l'homme, il le devina plus noble d'esprit, et, la bourse bien remplit...
"oh.. noble sir... ce coquin se complaisa à voler le doux fumet de MA viande !"
Le noble, alors.. brandis sa bourse, dont il sorti une monnaie d'un temps oublié de tous.. mais dont la valeur était toujours notifiable, le tenancier en bavant alors, entendant les pièces tatillonner à ses oreilles.
"et bien.. dit-moi l'ami.. je vais payer pour lui à combien considère-tu la valeur du fumet de ta viande ?"
le tenancier n'en pouvait plus, l'avidité toujours plus grande, il proposa un prix toujours plus fort, car il pensait l'homme riche et voulait en profiter.

"d-deux sous.. non.. tr-Quatre sous d'or !!" qu'il s'écria, donnant valeur à sa fumée;
le noble sorti alors quatre sous d'or, remplaçant la maigre monnaie prétendante.
"alors.. ces pièces te suffisant vilain ?"
"oh oui sire.. oui oui oui ! donnez les moi !"
Le marchand sourit, tandis qu'il répliqua, faisant sonner ses sonnantes et trébuchantes entre ses doigts, faisant pâlir d'envie le tenancier.
"te les donner.. mais enfin.. si le fumé de ta viande à de la valeur... le son de ma monnaie pourra largement payer ton bien."

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