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Sous l'étreinte d'acier d'une armure aux moult implants informatiques s'abrite un vautour discret au caractère quelque peu matois. Tel un inlassable fouineur, ses decks l'accompagnant au poignet ronronnent éperdument, épiant la moindre signature matricielle des pucés qui l'entourent.
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Ce moineau reste fréquemment ancré dans la protection de son armure. Le support mécanique de celle-ci, agrémenté de nombreux vérins hydrauliques émettant de fins sifflements lors de ses mouvements, lui confère une démarche mécanique et une posture de repos guindée. Le vautour semble y être confortable, profitant de ce soutien pour ne pas mettre trop de poids sur son corps rongé par la cryogénie.
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Le clone s'y cachant est relativement simple. Vierge d'implant, gabarit moyen, des plumes qu'il cache avec une grande pudeur et une constante odeur de peaux calcinées qui viendra chatouiller les odorats des races plus sensibles.
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Ce vautour a perdu sa candeur et n'est plus le même tartarin. Son passé a laissé place à un voile froid et métallique de pudeur pour cacher un regard hagard. Néanmoins, il gâte ses lubies furtivement, toujours adroit sur un code de l'honneur quelque peu modifié. À huis clos, ses proches et instigateurs sentiront qu'il dégage une aura de sincérité et de loyauté.
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Ce curieux personnage cultive une paroi sociald à deux vitesses. Adepte de la quiétude dès potron-minet, ce vautour croise d'autant plus de monitorés, les dénigrants allègrement. Par ailleurs, il entretient une relation particulière, voire priviligiée, avec les fantoches de la cité, ces automates apathique qui s'anime au murmure de la Mère.
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