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Deuxième semaine d'une annexion impériale - Folie carcérale
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27/07/2016 - 1h30 – Blood Moon – Secteur Orion
TIC…TAC…
Une soirée affalée dans un canapé soyeux à discutailler dans une ambiance joyeuse, l’alcool est présent en abondance, seul représentant masculin au milieu d’une compagnie de jeunes femmes. Je me délecte de ces délicieuses veillées, m’enivrant des sensations tel l’épicurien que je suis. Les rires et les plaisanteries fusent au gré de conversations envolées et enjouées. Sous le charme de mes hôtesses je m’assoupis délaissant mes tourments dans cette chaleureuse atmosphère.
Le cours du temps s’aplanit, s’écoulant dans une suave lenteur quand mon communicateur vient rompre le charme, terrible sonnerie qui me réveille, me projetant violement dans la réalité, m’extirpant de ce rêve idyllique dans lequel je sombrais. Les nouvelles suggèrent des hostilités à venir, une équipe d’assassins venant de l’empire sévit sur nos terres, répandant le sang rebelle. Ces individus profitant de l’assoupissement nocturne pour perpétrer leurs crimes odieux.
Mes sens se réveillent douloureusement sous la menace, mes muscles se contractent rapidement et mes doigts effleurent mon communicateur dans une vitesse folle, alertant le secteur de la menace, tentant de sortir de leur somnolence les guerriers rebelles. Quelques réponses fusent mais nous demeurons limités en nombre, l’ennemi nous surpassant numériquement et nous ignorons sa localisation exacte. Nous nous préparons néanmoins à défendre notre secteur, nos valeurs… au prix de nos vies.
Le cours du temps s’aplanit, s’écoulant dans une suave lenteur quand mon communicateur vient rompre le charme, terrible sonnerie qui me réveille, me projetant violement dans la réalité, m’extirpant de ce rêve idyllique dans lequel je sombrais. Les nouvelles suggèrent des hostilités à venir, une équipe d’assassins venant de l’empire sévit sur nos terres, répandant le sang rebelle. Ces individus profitant de l’assoupissement nocturne pour perpétrer leurs crimes odieux.
Mes sens se réveillent douloureusement sous la menace, mes muscles se contractent rapidement et mes doigts effleurent mon communicateur dans une vitesse folle, alertant le secteur de la menace, tentant de sortir de leur somnolence les guerriers rebelles. Quelques réponses fusent mais nous demeurons limités en nombre, l’ennemi nous surpassant numériquement et nous ignorons sa localisation exacte. Nous nous préparons néanmoins à défendre notre secteur, nos valeurs… au prix de nos vies.
TIC…TAC…
TIC…TAC…
TIC…TAC…
L’alarme du Frelon résonne, d’une seule impulsion je me dirige vers l’adresse, je distribue les consignes et organise l’équipe. Nous sommes moins nombreux, moins équipés, moins entrainés, moins expérimentés mais nous avons l’effet de surprise. La stratégie d’engagement décidera de notre vie ou de notre mort. Sans médecin, sans soutien, le combat ne pourra qu’être rapide, cuver rapidement ou être cuvés. La stratégie est simple, j’ai pu repérer une faiblesse dans leur organisation, je pourrai aisément passer depuis l’ombre les menottes à leur Colonel. Sans lui ils seront perturbés un instant et nous profiterons de celui-ci pour engager rapidement et cuver leur médecin.
La stratégie s’avère payante, notre pari s’avère fructueux et l’armée ennemie est en déroute. Ils fuient lâchement pour éviter de tomber sous nos puissants coups. Commence alors une longue nuit de poursuites, de chasses endiablées. Le SAS entame un ballet endiablé, entre fermeture et ouverture qui se chevauchent à un rythme effréné. Trois heures après le bilan est mitigé, la moitié de l’escouade impériale a pu nous échapper mais cela demeure une victoire, la première depuis longtemps…
La stratégie s’avère payante, notre pari s’avère fructueux et l’armée ennemie est en déroute. Ils fuient lâchement pour éviter de tomber sous nos puissants coups. Commence alors une longue nuit de poursuites, de chasses endiablées. Le SAS entame un ballet endiablé, entre fermeture et ouverture qui se chevauchent à un rythme effréné. Trois heures après le bilan est mitigé, la moitié de l’escouade impériale a pu nous échapper mais cela demeure une victoire, la première depuis longtemps…
28/07/2016 – 00h30 - Prison Rebelle – Secteur Orion
TIC…TAC…
TIC…TAC…
TIC…TAC…
TIC…TAC…
TIC…TAC…
Le liquide ambré semble briller dans la carafe, s’écoulant trop souvent vers mon verre pour s’oxygéner. Mes lèvres s’entrouvrent avec un frisson pour permettre au Skiwi de s’écouler dans ma gorge. Ils ont entamé de les torturer, nos deux prisonniers impériaux. Ellioth, qui a voulu s’enfuir en éventrant un vautour naïf et sans défense, sera réduit à une marionnette de chair entre les doigts des bourreaux rebelles. Fidelis, ce fanatique qui semble aveugle aura un traitement moins barbare à ma demande.
Je surveille les actions depuis mon fauteuil, via les caméras et mon communicateur. Les scènes horribles s’enchainent depuis des heures, ajoutant à l’indicible sentiment de malaise qui monte en moi, me submergeant petit à petit, tentant de me noyer dans la boisson. Noll vient arracher les bras du Colonel pour se fabriquer une ceinture vivante, BadGoneGoat décide de se lancer dans la sculpture murale, Lenn donne des cours d’apnée dans les hygiènes bouchées… pendant que je m’absous en avalant ces petites pilules qui facilitent l’oubli, me plongeant dans un état second.
Je surveille les actions depuis mon fauteuil, via les caméras et mon communicateur. Les scènes horribles s’enchainent depuis des heures, ajoutant à l’indicible sentiment de malaise qui monte en moi, me submergeant petit à petit, tentant de me noyer dans la boisson. Noll vient arracher les bras du Colonel pour se fabriquer une ceinture vivante, BadGoneGoat décide de se lancer dans la sculpture murale, Lenn donne des cours d’apnée dans les hygiènes bouchées… pendant que je m’absous en avalant ces petites pilules qui facilitent l’oubli, me plongeant dans un état second.
TIC…TAC…
TIC…TAC…
TIC…TAC…
TIC…TAC…
TIC…TAC…
TIC…TAC…
TIC…TAC…
Une jeune chatte elfe entame d’avancer vers moi, nue et à quatre pattes, se déhanchant à chaque mouvement, minaudant, miaulant, quémandant une punition. Terminant mon verre je me demande si l’alcool ne me joue pas des tours, je reprends une dose de drogue, cherchant si cela est bien réel. Elia s’immobilise au milieu de la pièce, attendant un ordre, attendant que je sois disposé à la punir, à abuser d’elle. Les caméras continuent de diffuser en fond les sévices subis par les impériaux, les cris de souffrances venant contraster avec la fragile nudité devant moi… mon esprit s’emballe, drogue, alcool, tortures, sexes…
BOOOOM
… la folie s’empare de moi et mon âme explose en mille morceaux. Je serre dans mon poing le fouet, le cuir collant à ma peau pendant que mon esprit embrumé se dérobe à toute raison. Dans une furie sexuelle nous rivalisons en sordide avec les scènes de tortures qui parsèment les écrans de contrôle, qui inondent cette prison. Les hurlements d’Elia se superposent à ceux de Fidelis et Ellioth, se chevauchant dans une cacophonie encline à la rupture mentale.
Finalement j’entre dans les cellules, découvrant un Ellioth amputé de tous ces membres qui a été clouté au mur. Ses larmes se mêlent au sang qui goute sur le sol poussiéreux pendant que ces gémissements cognent dans ma tête. Je le frappe à plusieurs reprises, exprimant une rage viscérale, une brutalité gratuite et inutile. Des dents choient, la mâchoire de l’humain se fracasse dans un bruit sec pendant que mon esprit continu de sombrer. Je l’exhorte à avouer les noms de ses complices en secteur Orion, le menaçant de le violer à plusieurs reprises.
La deuxième cellule est emplie d’un silence inquiétant, la tête de Fidelis immergée dans l’eau nauséabonde des toilettes semble inerte sous la poigne solide de Lenn. Nous conversons un moment sur une manière de les amener à avouer le nom de la taupe quand l’elfe revient toujours nue nous apporter de l’alcool fort, soirée totalement folle. Pendant que je serre de près notre serveuse, BadGoneGone démembre notre impérial fidèle et Lenn entame de forcer l’orifice du Colonel à la hallebarde. La barbarie est à son apogée quand l'un craque, dévoilant les secrets enfouis, mentant pour détourner nos actions.
La fin de la soirée se termine par la descente dans les souterrains du corps totalement démembrés d’Ellioth, au milieu des rats ce tronc se contorsionne pour ramper sur le sol. Nos rires gras contrastent avec les larmes qui coulent le long des joues de l’humain se débattant pour survivre, pour nous échapper. Nos âmes se repaissent de cette souffrance, noircissant un peu plus nos êtres, notre douce folie nous faisant succomber à la barbarie. Nous nous félicitons allégrement avant de remonter en secteur Orion, la fatigue commence à dissiper les effets de l’alcool et de la drogue, le dégout commence à remplacer l’euphorie.
Qu’ai je fais… cette guerre me détruit… mais ais je seulement le choix… courber l’échine devant l’envahisseur impérial ou plonger dans les abysses ténébreuses pour y puiser la force de les repousser…
Finalement j’entre dans les cellules, découvrant un Ellioth amputé de tous ces membres qui a été clouté au mur. Ses larmes se mêlent au sang qui goute sur le sol poussiéreux pendant que ces gémissements cognent dans ma tête. Je le frappe à plusieurs reprises, exprimant une rage viscérale, une brutalité gratuite et inutile. Des dents choient, la mâchoire de l’humain se fracasse dans un bruit sec pendant que mon esprit continu de sombrer. Je l’exhorte à avouer les noms de ses complices en secteur Orion, le menaçant de le violer à plusieurs reprises.
La deuxième cellule est emplie d’un silence inquiétant, la tête de Fidelis immergée dans l’eau nauséabonde des toilettes semble inerte sous la poigne solide de Lenn. Nous conversons un moment sur une manière de les amener à avouer le nom de la taupe quand l’elfe revient toujours nue nous apporter de l’alcool fort, soirée totalement folle. Pendant que je serre de près notre serveuse, BadGoneGone démembre notre impérial fidèle et Lenn entame de forcer l’orifice du Colonel à la hallebarde. La barbarie est à son apogée quand l'un craque, dévoilant les secrets enfouis, mentant pour détourner nos actions.
La fin de la soirée se termine par la descente dans les souterrains du corps totalement démembrés d’Ellioth, au milieu des rats ce tronc se contorsionne pour ramper sur le sol. Nos rires gras contrastent avec les larmes qui coulent le long des joues de l’humain se débattant pour survivre, pour nous échapper. Nos âmes se repaissent de cette souffrance, noircissant un peu plus nos êtres, notre douce folie nous faisant succomber à la barbarie. Nous nous félicitons allégrement avant de remonter en secteur Orion, la fatigue commence à dissiper les effets de l’alcool et de la drogue, le dégout commence à remplacer l’euphorie.
Qu’ai je fais… cette guerre me détruit… mais ais je seulement le choix… courber l’échine devant l’envahisseur impérial ou plonger dans les abysses ténébreuses pour y puiser la force de les repousser…
Y a-t-il pour l’âme plus de noblesse à endurer les coups et les revers d’une injurieuse fortune, ou à s'armer contre elle pour mettre frein à une marée de douleurs ?
William Shakespeare
Informations sur l'article
Journal d'une annexion
04 Août 2016
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◊ Commentaires
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Ellioth~49862 (0☆) Le 04 Août 2016
Au moins je sais que son corps plait... -
Zartam (916☆) Le 04 Août 2016
Pour le coup je n'aurais pas cité Shakespeare, mais plutôt De Sade. -
Stellijah (292☆) Le 04 Août 2016
*Jouit* -
Ragnarøk~40828 (37☆) Le 05 Août 2016
Surement Zartam, quoique si j'avais peaufiné la citation j'aurai été chercher ailleurs que Sade ou Shakespeare. Mais relire tout est long.
Sincérement un énorme remerciement pour ce RP qui m'a amené à une nuit blanche. Souvenir d'Ellioth demandant HRP qu'on continu encore ^^
La prison SR propose du jeu. Amen! -
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Stellijah (292☆) Le 05 Août 2016
On touche pas au frangin!! -
Brume~52251 (2☆) Le 05 Août 2016
“En mélangeant un garçon rouge d'excitation avec une fille bleue de peur vous obtenez du violé.” De Régis Hauser / Les Murs se marrent.
Les rebelles sont gays et joyeux, ok.
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Shull (47☆) Le 08 Août 2016
Et apres on dit que sab est un taré... xD *