EDC de Pixelle~42034
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Vers le chemin de la liberté
Je n'ai pas compris où je me trouvais, j'ai juste chercher de la lumière pour sortir de cette effroyable obscurité. J'ai du tomber plusieurs fois avant de pouvoir arriver à me tenir debout. Il y avait des voix qui résonner dans la pièce mais il m'était impossible de les discerner correctement. C'était comme si tous mes sens se réveiller en même temps que moi...
Il fallait que je sorte de là, prendre l'air...j'ai alors vu un peu de lumière dans l’embrasure d'une porte close, j'ai chercher la poignée.
Mais quand j'ai réussi à l'ouvrir je me suis mise à suffoquer ...j'ai bien cru mourir le temps que mes poumons s'habituent au smog
Je me suis mise alors à déambuler dans la rue tenant à peine sur mes jambes en me rattrapant aux murs...
Près d'une vitrine , j'ai pu observer le reflet d'une silhouette...il m'a fallut bien deux minutes pour comprendre que c'était moi que je voyais, c'est alors qu'une voix à raisonner dans ma tête:
....Pixelle...
j'ai cru que mon crane allait se fendre en deux , j'ai glisser le long de la vitrine pour pourvoir reprendre mes esprits. En posant ma tête sur mon bras droit j'ai pu voir une marque...un tatouage en vérité une sorte de trois styliser...
Puis quelqu'un est arrivé derrière moi en me disant:
Je me suis retournée pour voir qui me parlait ….mais je n'ai vu que d'autres gens qui comme moi éraient dans la rue, le regard vide...
Je me suis relevée et j'ai ré-entendu la même voix un peu plus loin formuler la même phrase:
J'ai regarder alors se que j'avais sur moi ...une sacoche un peu trouée avec à l’interrieur une carte, une casquette et un couteau...la suite...
...mon esprit reste un peu flou sur cette journée, je sais pas vraiment comment tout ça est arrivé...après cela je me retrouver à l'université ...y'avait foule ,j'étais pas très à l'aise, tout le monde semblait se connaître...et moi j'avais la nausée . Ça parler dans tout les sens, j'écoutais vaguement observant les gens sans comprendre , seuls quelques mots arrivaient à mes oreilles
....Impérialistes....Rebelles...
Trahison...liberté.....
....Pixelle...
j'ai cru que mon crane allait se fendre en deux , j'ai glisser le long de la vitrine pour pourvoir reprendre mes esprits. En posant ma tête sur mon bras droit j'ai pu voir une marque...un tatouage en vérité une sorte de trois styliser...
Hey toi là nouvelle t'as besoin d'aide, faut que tu te trouve un job, un toit rapido sinon je donne pas chère de ta peau ici...
Je me suis retournée pour voir qui me parlait ….mais je n'ai vu que d'autres gens qui comme moi éraient dans la rue, le regard vide...
Je me suis relevée et j'ai ré-entendu la même voix un peu plus loin formuler la même phrase:
Hey toi le nouveau t'as besoin …
J'ai regarder alors se que j'avais sur moi ...une sacoche un peu trouée avec à l’interrieur une carte, une casquette et un couteau...la suite...
...mon esprit reste un peu flou sur cette journée, je sais pas vraiment comment tout ça est arrivé...après cela je me retrouver à l'université ...y'avait foule ,j'étais pas très à l'aise, tout le monde semblait se connaître...et moi j'avais la nausée . Ça parler dans tout les sens, j'écoutais vaguement observant les gens sans comprendre , seuls quelques mots arrivaient à mes oreilles
....Impérialistes....Rebelles...
Trahison...liberté.....
Et là j'ai encore eu une sorte de flash , je me voyais entrain d'écrire une lettre
Je me souviens avoir mille fois rêvé d'être libre, sans chaînes et sans barrières.
Cette existence sordide qui se complaît dans le rêve, qui une fois les yeux ouverts , se heurt à l'Autorité. Ils nous on dit ce que nous dévirions être , nous enlevant la possibilité de choisir ce que nous voudrions devenir...
Cette existence sordide qui se complaît dans le rêve, qui une fois les yeux ouverts , se heurt à l'Autorité. Ils nous on dit ce que nous dévirions être , nous enlevant la possibilité de choisir ce que nous voudrions devenir...
J'ai étais emprisonnée,mon choix de vie et de penser ne convenait à aucune norme établit par l'Autorité. Être une femme est sans doute encore pire, se soumettre, être fragile ou dépossédée de son corps... J'ai arrêté de vivre dans des rêves, en pensant que rien ne pouvais changer. Le refus de l'ordre établie mène toujours vers d'autre voix, d'autres sens, d'autres vies...
je garde sur ma peau le triangle des femmes libres et le symbole de la destruction pour ne jamais oublier d'où je viens...
je garde sur ma peau le triangle des femmes libres et le symbole de la destruction pour ne jamais oublier d'où je viens...
Je me suis échappée, tout recommence à zéros et je continuerais de me battre ...
Informations sur l'article
Pixellisation
16 Juillet 2013
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