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• Jus d'Acide et Pimprenelle
► PIMPRENELLE, subst. fém.
BOT. Plante dicotylédone aromatique, de la famille des Rosacées, dont les feuilles tendres, autrefois appréciées pour leurs propriétés médicinales,[...]
BOT. Plante dicotylédone aromatique, de la famille des Rosacées, dont les feuilles tendres, autrefois appréciées pour leurs propriétés médicinales,[...]
Tout cela commence dans un tambour. Les effets moisissant de bas résilles usés par la grâce, par la captive engeance de se vouloir beaucoup trop regardée pour être honnête. Une claque au cul pour un gémissement un poil trop affirmé. Un je t'aime envolé sur des lèvres sourdes, un mensonge offert à des créatures de silicones et de piété volée. Elles n'étaient pas belles. Aucunes d'elles. Elles étaient faites par la chair, dans le vouloir plaire, dans le désir toujours de se faire baiser plus fort par une queue plus forte que ce qu'elles espéraient. Je n'étais pas belle non plus, au détour de mon Cachot, sous la pluie de foutre à baiser qui voulait, sans regarder ni les yeux ni les âmes, que les seins et les fesses, pour croquer la chair qui me manquait. Mordez à l'hameçon un jour de pluie acide, gouttez les plaisirs charnels, le sang sans suite, et les sens abscons.
Sur un verre de beauté, suranné par les années qui passent, surnage un fil que je tend pour toi. Mon arc tout à toi ne vise que d'une flèche, un cœur qui s'émerveille sous la face à lunette, deux de carreaux, propose moi un verre avant que je fasse de tes yeux mes captives ensoleillées. C'est l'ardeur à la tâche, le désir de vouloir essayer, tenter une matriarche qui n'a jamais su que montrer les crocs. M'aider dans ma quête mortelle, mortifère sans âme, baladée par ma tête à droite puis en face, contre un muret charnel. Dis moi oui pour une fois, apporte moi douceur et merveille, que je m'émerveille devant tes jambes nues. Dis moi un peu comme tu m'aimes, quand je vois au travers de tes lèvres, tes dents blanches rougir du sang que ma langue pourfend dans tes joues. Regarde moi, montre moi comme mes jambes te donnent l'envie cruelle de passer aux ébats sans prendre le temps de se connaître. Dis moi tout bas qu'on se connaîtra, murmure moi une douceur cachottière, juste là, sous l'oreille, au creux de mes cheveux électrisés.
Mon fil d'Ariane accroché à ta cheville pour ne pas me paumer. Mon soutient ma dorure, pour parer mes gestes d'un peu plus de vie. Ma sensibilité en berne, j'attends impatiemment de retrouver le lit mortifère de la Liberté. Je ne voulais plus rien. Ni rien faire d'autre que de mourir sans fin, pour trouver toujours plus de sérénité. Retourner à la Terre, pour voir, sentir sous mes coussinets, le sol vibrer à chacun de mes pas. Faire mourir dans un charnier, mon charnier, tout une population, génocide de mes griffes, meurtres de mes crocs, accrocher en croix les sévices de mes pauvres proies détestés. Je voulais détruire, raser, oublier, ceux qui avaient fait mourir la voix de mon aimée. Combler le vide par le silence, n'entendre plus que les battements de mon coeur souffreteux.
Je n'en ai rien fait. Enfouis sous la terre, cachée sous les effets de couvertures amères, de pleurs voilés. Au creux de la tempête des basses et des saturations du cœur, des battements sordides de danses solitaires, à jouer de la corde pour s'arrimer au dessus du vide. Rencontrer une femme, encore, la chercher jusqu'au creux de ses seins pour jouer de la langue à se vouloir aimer. Je te veux. Donne moi ton cœur que je tisse une autre fable, une autre tapisserie rendrait Pénélope jalouse, que Perséphone se garde de son jolie méfait, d'être trop belle, emportée par l'ardeur enivrée d'un Dieu trop pédant pour assouvir ses rêves. Je te veux encore, encore une fois pour savoir si je te mérite, d'une lèvre embarquée sous mes crocs à percer l'épiderme, sentir ton sang couler jusque dans mon cœur, vivre un peu plus sous le concours de ton propre tambour, ma symphonie est la tienne, je ne vis que sur le fil sincère , d'un ciboire inexistant, unijambiste délétère croquemitaine endolorie, marque moi là, au plus profond du cœur, que j'y inscrive encore un poème, gravé dans le feu violet de tes deux plus beaux horizons, montre moi l'espoir, donne moi ton cœur, que j'y inscrive la vie au sens le plus terne, que je monte ma pièce, moi et mes sœurs n'iront pas bien loin, pas plus loin que ce que tu permets, donne moi l'ardeur, donne moi la fougue que je me permette. Apprends comment l'on fait, assises toute deux, à regarder le lieux de nos envies. Ce serait la dernière fois, le serait-ce d'ailleurs, combien de fois j'ai dit, que pour une dernière fois j'aimerais. Aimerais-je toujours, à en crever encore, de n'être plus qu'un tas fétide de chair et de sang, de pleurs et de merde, à vouloir qu'on aime comme j'aimerais qu'on me fasse l'amour. Mais je t'aime putain, à en crever la gueule ouverte, à ouvrir les fléaux muets de cette vie putride. Un couteau dans la terre, pour ouvrir les volcans que je ne connais pas, qu'ils jaillissent jusqu’à l'astre que je ne peux pas voir, je l'inventerais ce sale type, masculin au possible, enculé de lumière, à mourir pour sa Lune. Aime moi encore un instant, dis moi, dis moi encore un peu comme c'est bon.
Je me souviendrais de tout à jamais, des premiers ébats qui n'étaient pas les miens, jalouses de tant d'amour, jalouse de toujours à ne vouloir que pour moi. Si belle dans un carcan de sel, jalouse d'un carcan de suie, à courir tout derrière ce que je ne peux attraper, carriole sans roues, tirée par des chiens de guerres, qui ne croquent que la cendre et la brûlure de cannibales engeances. Une tempête au creux des reins, une boursouflure aux seins, mais toujours, toujours, toi à en crever. Encore. Encore. Encore, crie encore sous les frondaisons paradisiaques de tes cheveux comme parasols. Je ne partirais pas. Et la mort pour seule compagne, jalonnerais mes pas, comme une vieille amie. Nombreuses à vouloir, aucune à savoir, jamais à pouvoir étreindre la sapience de mon unique espoir. Je t'aime. Voilà. Tu l'as en mille, juste pour toi, ou pour tous, mais partout je l'écrirais sans savoir ,que mon exutoire se trouve entre deux lys dans ta bouche. Que le son sépulcrale est ma destinée. Il n'y a plus rien, il y a Toi. Au centre d'un univers trop petit. Moi. Toi. Nous. J'érigerais un royaume en ton nom, je façonnerai les mondes qui n'existent pas, j'adorerai les dieux pour mieux les tromper, leur voler leurs biens et te les donner, une rivière de diamant, des milliers de mondes à tes yeux, des arceaux pour couvrir ta tête de couronnes de milles feux ardents sans limites.
Sur un verre de beauté, suranné par les années qui passent, surnage un fil que je tend pour toi. Mon arc tout à toi ne vise que d'une flèche, un cœur qui s'émerveille sous la face à lunette, deux de carreaux, propose moi un verre avant que je fasse de tes yeux mes captives ensoleillées. C'est l'ardeur à la tâche, le désir de vouloir essayer, tenter une matriarche qui n'a jamais su que montrer les crocs. M'aider dans ma quête mortelle, mortifère sans âme, baladée par ma tête à droite puis en face, contre un muret charnel. Dis moi oui pour une fois, apporte moi douceur et merveille, que je m'émerveille devant tes jambes nues. Dis moi un peu comme tu m'aimes, quand je vois au travers de tes lèvres, tes dents blanches rougir du sang que ma langue pourfend dans tes joues. Regarde moi, montre moi comme mes jambes te donnent l'envie cruelle de passer aux ébats sans prendre le temps de se connaître. Dis moi tout bas qu'on se connaîtra, murmure moi une douceur cachottière, juste là, sous l'oreille, au creux de mes cheveux électrisés.
Ma rencontre.
Mon fil d'Ariane accroché à ta cheville pour ne pas me paumer. Mon soutient ma dorure, pour parer mes gestes d'un peu plus de vie. Ma sensibilité en berne, j'attends impatiemment de retrouver le lit mortifère de la Liberté. Je ne voulais plus rien. Ni rien faire d'autre que de mourir sans fin, pour trouver toujours plus de sérénité. Retourner à la Terre, pour voir, sentir sous mes coussinets, le sol vibrer à chacun de mes pas. Faire mourir dans un charnier, mon charnier, tout une population, génocide de mes griffes, meurtres de mes crocs, accrocher en croix les sévices de mes pauvres proies détestés. Je voulais détruire, raser, oublier, ceux qui avaient fait mourir la voix de mon aimée. Combler le vide par le silence, n'entendre plus que les battements de mon coeur souffreteux.
Je n'en ai rien fait. Enfouis sous la terre, cachée sous les effets de couvertures amères, de pleurs voilés. Au creux de la tempête des basses et des saturations du cœur, des battements sordides de danses solitaires, à jouer de la corde pour s'arrimer au dessus du vide. Rencontrer une femme, encore, la chercher jusqu'au creux de ses seins pour jouer de la langue à se vouloir aimer. Je te veux. Donne moi ton cœur que je tisse une autre fable, une autre tapisserie rendrait Pénélope jalouse, que Perséphone se garde de son jolie méfait, d'être trop belle, emportée par l'ardeur enivrée d'un Dieu trop pédant pour assouvir ses rêves. Je te veux encore, encore une fois pour savoir si je te mérite, d'une lèvre embarquée sous mes crocs à percer l'épiderme, sentir ton sang couler jusque dans mon cœur, vivre un peu plus sous le concours de ton propre tambour, ma symphonie est la tienne, je ne vis que sur le fil sincère , d'un ciboire inexistant, unijambiste délétère croquemitaine endolorie, marque moi là, au plus profond du cœur, que j'y inscrive encore un poème, gravé dans le feu violet de tes deux plus beaux horizons, montre moi l'espoir, donne moi ton cœur, que j'y inscrive la vie au sens le plus terne, que je monte ma pièce, moi et mes sœurs n'iront pas bien loin, pas plus loin que ce que tu permets, donne moi l'ardeur, donne moi la fougue que je me permette. Apprends comment l'on fait, assises toute deux, à regarder le lieux de nos envies. Ce serait la dernière fois, le serait-ce d'ailleurs, combien de fois j'ai dit, que pour une dernière fois j'aimerais. Aimerais-je toujours, à en crever encore, de n'être plus qu'un tas fétide de chair et de sang, de pleurs et de merde, à vouloir qu'on aime comme j'aimerais qu'on me fasse l'amour. Mais je t'aime putain, à en crever la gueule ouverte, à ouvrir les fléaux muets de cette vie putride. Un couteau dans la terre, pour ouvrir les volcans que je ne connais pas, qu'ils jaillissent jusqu’à l'astre que je ne peux pas voir, je l'inventerais ce sale type, masculin au possible, enculé de lumière, à mourir pour sa Lune. Aime moi encore un instant, dis moi, dis moi encore un peu comme c'est bon.
Je me souviendrais de tout à jamais, des premiers ébats qui n'étaient pas les miens, jalouses de tant d'amour, jalouse de toujours à ne vouloir que pour moi. Si belle dans un carcan de sel, jalouse d'un carcan de suie, à courir tout derrière ce que je ne peux attraper, carriole sans roues, tirée par des chiens de guerres, qui ne croquent que la cendre et la brûlure de cannibales engeances. Une tempête au creux des reins, une boursouflure aux seins, mais toujours, toujours, toi à en crever. Encore. Encore. Encore, crie encore sous les frondaisons paradisiaques de tes cheveux comme parasols. Je ne partirais pas. Et la mort pour seule compagne, jalonnerais mes pas, comme une vieille amie. Nombreuses à vouloir, aucune à savoir, jamais à pouvoir étreindre la sapience de mon unique espoir. Je t'aime. Voilà. Tu l'as en mille, juste pour toi, ou pour tous, mais partout je l'écrirais sans savoir ,que mon exutoire se trouve entre deux lys dans ta bouche. Que le son sépulcrale est ma destinée. Il n'y a plus rien, il y a Toi. Au centre d'un univers trop petit. Moi. Toi. Nous. J'érigerais un royaume en ton nom, je façonnerai les mondes qui n'existent pas, j'adorerai les dieux pour mieux les tromper, leur voler leurs biens et te les donner, une rivière de diamant, des milliers de mondes à tes yeux, des arceaux pour couvrir ta tête de couronnes de milles feux ardents sans limites.
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[HRP] Rebond
11 Juillet 2019
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Minori (116☆) Le 11 Juillet 2019
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