EDC de Phylène
Bienvenue sur les EDCs de Dreadcast
Vous trouverez ici tous les articles rédigés par Phylène
Cacher
Essai à L'impérialisme. -Pensée Alpha-
L'impérialisme a ses déboires. Et si le ciboire est autocrate, n'oublions pas, que peut-être par le passé, il fut altruiste.
Je suis sans doute mal placée pour écrire un pamphlet, mais de ma plume, j'abjure, et te promets lecteur, de me garder vierge de mes colères et de mes égoïsmes.
Si notre civilisation est ce qu'elle est aujourd'hui, c'est bien grâce aux héros, qui se donnèrent corps et âmes pour construire notre confort autant que nos idées. Je suis certaine qu'eux aussi, enjoués et promue par ces êtres qui me paraissent si grand qu'étaient Cyrius et Hujan, contribuèrent au feu de la foi.
Mais, au passé les grandes oeuvres, l'altruisme et surtout, l'envie, le don de soi.
Je ne rejette pas les plaisirs égoïstes, l'amour, ces sentiments propices qui aident à aimer, sans aucun doute, nos différents, nos tendresses. Mais, à l'osmose sociétale, nous recherchons celle subtile, celle personnelle, nous oubliant peut-être pour ne pas regarder par dessus le balcon.
Mais, où sont -ils, les utopiques, les meneurs, les généraux, tous ceux qui, de leurs grandes idées nous grandirons, nous, les nouveaux, les endimanchés, les suiveurs de basse cours, enhardit par notre foi éclairé de ces lumières.
Il nous manque à tous l'amour, pas l'amour au sens stricte, mais l'Amour de Sa tâche, de Leurs tâches, émoussés par nos esprits aigris.
N'avions-nous pas cette indicible curiosité, ce besoin de découverte, à chérir partout ces grandes oeuvres, les nôtres.
Je ne m'explique pas encore cette tristesse ambiante, si ce n'est par ce manque d'étonnement, qui me fait découvrir chaque pièce, chaque personnage, chaque délire comme faisant partis d'un tout resplendissant.
Au milieu du Smog, nous sommes tous ces écrous, ces moteurs rouillés abandonnés à l'inutilité entre la poussière et les détritus.
Et pourtant, tous ces noms encore, resplendissent, ne quittent nos lèvres qu'à l'instant de notre cercueil.
La méritocratie a du bon, mais, je crois que nous avons besoin d'actes de foi.
Par là j'entend, tous ceux silencieux tous ceux qui, réels, s'impriment non pas dans la survie mais bien dans la vie elle-même.
Mais je ne suis qu'une utopique mal avertie, circoncit par ma jeunesse, mais, j'ose croire que mon espoir vivace puisse renouer les anciens à leurs rêves oubliés, et les nouveaux à leurs rêves futur.
Ainsi, je ne dirais qu'une chose. Vivez. Vivez avec amour, cette tendresse, combattez sans cesse, et ne vous véhiculez pas de fausses harmonies, car, à la toute fin, ne restera que Lui, et de Son regard vous saurez, si avez bien fait.
Mais, au passé les grandes oeuvres, l'altruisme et surtout, l'envie, le don de soi.
Je ne rejette pas les plaisirs égoïstes, l'amour, ces sentiments propices qui aident à aimer, sans aucun doute, nos différents, nos tendresses. Mais, à l'osmose sociétale, nous recherchons celle subtile, celle personnelle, nous oubliant peut-être pour ne pas regarder par dessus le balcon.
Mais, où sont -ils, les utopiques, les meneurs, les généraux, tous ceux qui, de leurs grandes idées nous grandirons, nous, les nouveaux, les endimanchés, les suiveurs de basse cours, enhardit par notre foi éclairé de ces lumières.
Il nous manque à tous l'amour, pas l'amour au sens stricte, mais l'Amour de Sa tâche, de Leurs tâches, émoussés par nos esprits aigris.
N'avions-nous pas cette indicible curiosité, ce besoin de découverte, à chérir partout ces grandes oeuvres, les nôtres.
Je ne m'explique pas encore cette tristesse ambiante, si ce n'est par ce manque d'étonnement, qui me fait découvrir chaque pièce, chaque personnage, chaque délire comme faisant partis d'un tout resplendissant.
Au milieu du Smog, nous sommes tous ces écrous, ces moteurs rouillés abandonnés à l'inutilité entre la poussière et les détritus.
Et pourtant, tous ces noms encore, resplendissent, ne quittent nos lèvres qu'à l'instant de notre cercueil.
La méritocratie a du bon, mais, je crois que nous avons besoin d'actes de foi.
Par là j'entend, tous ceux silencieux tous ceux qui, réels, s'impriment non pas dans la survie mais bien dans la vie elle-même.
Mais je ne suis qu'une utopique mal avertie, circoncit par ma jeunesse, mais, j'ose croire que mon espoir vivace puisse renouer les anciens à leurs rêves oubliés, et les nouveaux à leurs rêves futur.
Ainsi, je ne dirais qu'une chose. Vivez. Vivez avec amour, cette tendresse, combattez sans cesse, et ne vous véhiculez pas de fausses harmonies, car, à la toute fin, ne restera que Lui, et de Son regard vous saurez, si avez bien fait.
A mon Orgueil,
A Toi,
A Eux, A Vous,
A Toi,
A Eux, A Vous,
Phylène Venter Faciunt.
Spoiler (Afficher)
Informations sur l'article
[HRP] Casquette Noire.
02 Octobre 2017
1174√
23☆
3◊
Partager l'article
Dans la même categorie
◊ Commentaires
-
Phylène (1945☆) Le 05 Octobre 2017
Merci -
Sigmar~2569 (176☆) Le 05 Octobre 2017
J'aime beaucoup ce genre d'écrits, quand un personnage explore son propre intérieur, ses vraies pensées, se retrouve avec lui-même à écrit ce qu'il penses tout simplement. ☆