EDC de Oline~44029

Oline apparaissait a coté d'alexander, chacun équipé d'armures et portant tout un barda d'armes et de matériel d'exploration. de l'eau jusqu'aux genoux et faiblement éclairé.
Ils se trouvaient au bout d'un couloir très long sombre et inondé, devant eux une porte blindée de taille respectable. le couloir était illuminé par des petits tubes chimiques fluorescent flottant un peu partout, baignant l'environnement de lueurs vert, ondulant au grès des remous.
par moment on pouvait apercevoir des amorces de pièces effleurer la surface de l'eau.
La jeune femme éclairait rapidement la porte et tendit une petite clés qu'elle sortis au préalable d'un compartiment de son bras artificiel.
L'homme la glissa dans la serrure et la tourna, produisant ainsi un lourd cliquetis résonnant autours d'eux.

le bruit des remous de l'eau étaient omniprésent et des tremblements animaient les murs par moment.
Des filets de poussières tombaient des plafonds indiquant qu'il ne faudrait pas s'attarder.
les deux explorateurs trempés touchaient au But !

le Librarius entra dans la pièce le premier, équipé d'un masque a vision infra-rouge il balaya la pièce et fit signe a Oline que tout était clean. La chambre forte était en piteuse état, des rangés de casiers aux allures inébranlable occupaient les cotés de la salle sinistre.
Au bout de cette dernière trônait l'antique terminal principal de ce lieu oublié de tous et sur le point de se rompre.

Alexander se pencha immédiatement sur la console et lança la vieille machine.

Oline - alors ça dit quoi ?! dit elle couvrant l'entrée. Elle tenait une arme méconnaissable, on pouvait l'assimiler à un T-31 dans les grandes ligne mais complètement modifier. ça lampe éclairait tantôt la pièce tantôt le couloir. les va et vient lumineux témoignant du mélange de stresse, d'angoisse et d'excitation qui l'animait.

Alexander - "ça s'allume" le visage de l'homme perlait, non pas de stresse, mais de l'eau qui pleuvait du plafond et des parois. il se mit a pianoter rapidement, ses doigts crispés sur le clavier. Son visage concentré était illuminé par les lignes bleutés d'information qui s'affichaient lentement.

Oline entra et se plaça a coté de lui, passant une main sur son visage pour essuyer l'eau et la crasse. elle avait tentée de forcer les casier sans succes. Son visage prit aussi une teinte bleuté, en lisant l'écran qui affichait lentement ce pourquoi il avait fait tout ce chemin périlleux. l'homme lui, continuait a pianoté rapidement. essayant plusieurs mot de passe, un brun de stresse dans le regard mais le maitrisant totalement.
les lampes de leurs fusils éclairant l'eau qui grimpait, faisant refléter partout dans la pièce des ondes lumineuses et douces.

Oline stressait de plus en plus a mesure que l'humain avançait dans les menus du terminal ancestral. là ils trouvèrent un dossier confidentiel et un enregistrement se lança.

la jeune femme écoutait, mais l'eau se faisait de plus en plus envahissante. Au loin les grondements des canalisations en peine et les plaintes des murs porteurs de bétons armés résonnaient de leurs râles sinistres. la bête de pierre n'allait plus mettre bien longtemps a pousser son dernier souffle.
les murs poreux suintaient a grande eaux, la dépression qu'avait engendré l'ouverture de se tombeaux, précipitait la bâtis et ses occupants a une mort certaine. on ne compter plus qu'en minute et la jeune femme l'avait bien sentit.

- allez alexander !! tout va nous tomber dessus !

l'eau mencaçait d'atteindre dangereusement la prise d'alimentation et au bout d'une minute a peine de l'enregistrement tout se mit a griller. les deux visiteurs encaissèrent une électrocution. leurs armures absorbant le gros de la charges. Dernières piqûres de rappel !

d'abord par suintement, à présent par flot plus franc, l'eau envahissait la pièce, la jeune femme avait eux beau chercher une buse ou un conduit de maintenance, rien n'aurait permis d'évacuer l'eau assez vite.
des gerbes d'étincelles traversaient la pièces sonnant le glas des systèmes électriques.

le vacarme de l'eau commençait a gronder et les deux intrus durent hausser le ton pour s'entendre
Oline "FAUT QU'ON PARTE !!"
alenxander "ESSAYONS LES CASIERS ENCORE UNE FOIS !!"

a contre coeur la jeune femme recommença a frapper les serrures avec la crosse de son arme puis son épée quantique issu de son bras artificiel.
L'homme frappait de toute ses forces le terminal pour en extraire le disque dur.
Oline - "P'TAiN MEME PAS UNE CARTE RIEN !" elle frappait sans s'arrêter la colère au ventre, la peur aussi. " CA VEUT RIEN SAVOIR ! 'SONT BLINDES "
l'homme perdit patience et réussis a forcer la coque du terminal mais se dernier se brisa sous sa lame.
la femme quand a elle ne pus venir a bout des casier trapus et blindés.

Trop tard ! ils avaient trop tiré sur le chrono, les murs commencèrent a se fissurer violemment et des plaques de ciment tombèrent du plafond. L'humain esquiva ces dernières et se précipita pour aider la jeune femme qui s'épuisait a maintenir la lourde porte ouverte malgré les flots qui se déversaient partout autour d'eux.

"ALLEZ ON DEGAGE !" l'homme empoigna l'épaule de sa voisine et ils se mirent a courir dans l'eau aussi vite qu'ils le purent alors que tout s'écroulait autours d'eux. Le son des éboulement et de l'eau déchaînée faisant caisse de résonance dans tout le batiment.
Dans un effort surhumain ils sortirent du long dédale et grimpèrent les marches de l'escalier quatre par quatre, suivit de prêt par des vagues d'eaux pour atterrir dans le hall des escaliers ou se trouvaient soweto et un gobelin.

"TIRONS NOUS VITE !" hurla la jeune femme tout en courant, quand Alexander passa lui aussi en trombe leurs ordonnant de partir.
Oline empoigna son fusil et ouvrit le feux sur le murs Sud créant ainsi un large passage en le faisant éclater. Elle enjamba les gravats tout en courant et continua d'ouvrir le feux sur chaque murs qui lui barrait la route. A chaque fois un son assourdissant se produisait soulevant ses cheveux et la poussières environnante. les Mur et les portes métalliques volèrent en éclat a chaque coup de feux.
tout l'édifice tremblait, les tableaux, les meubles, tout s'écroulait sous le sols qui s'effondrait a son tour. tous coururent sans s'arrêter pour atteindre et sortir in-extremis du bâtiment qui leurs tombait dessus.