EDC de Oline~44029

( fiction hrp alternative o1 ) Ambiance Sonore

* la jeune femme se tiens assise quoique affaiblit par la fin et la fatigue, elle garde sa stature gracieuse mais sa superbe en a pris un sacré coup. assise dans une tente miteuse et vêtus d'un chaperon taillé dans la toile déchirée de cette même tente, Oline est assise a une table construite de bric et de broc et griffone quelques lignes à la lueur d'une lampe à plasma sur le point de mourir. elle tousse par moment et renifle. il fait froid, sombre et de très nombreuse voix se font entendre dehors, comme si un marché avait lieu *

j'ai oubliée la quiétude, le faste du confort et l'amour de la perfection.. nous avons échouer..
le secteur a échouer, même si je ne croyais pas beaucoup en nos dirigeant et plus personnellement encore moins dans le combat contre le secteur parjure comme on l'appelait autrefois, il n'empêche que nous avons échouer.

Il y a 2 ans maintenant, une attaque.. ou devrais je dire, une invasion sans précédant a eus raison du SI. De nouvelle armes mise au point par la rebelion avaient complètement anéantie la ville et ceux, en quelques minutes a peine. ils appelaient ça des Missiles Solsol... je n'ai eus le temps que d'entre apercevoir l'un de ses objet avant que tout s'enflamme.

* la jeune femme se gratte le crâne, ayant la tête rasé pour cause sanitaire. son bras artificiel dépouillé pratiquement jusqu'aux chassie émettait de petit grincement. malgrés tout son regard maternel animait toujours ses yeux en amandes *

quand je me suis réveillée, ici dans ce camp, je n'ai rien comprise. Véritable cauchemards éveillé, j'ai immédiatement cherchée des membres de ma famille. Mais les 4 mètres de barricades barbelé se dressant autours de mon camp ne pus jamais me laisser partir.

je survie dans le district 14 parmis la centaine d'enclot présent aussi loin que mon regard me permet de voir.
là nous sommes parqué comme des bêtes, sans aucun espoir d'en sortir.
Chaque jours de maigre ration nous sont délivrés par les gardiens. quand je dis ration je parle de carcasse d'écureuil balançaient du haut des clotures.
l'ordre et la loi définissant chaque impérialiste, avaient laissés place à l'individualisme et la barbarie. il faut dire, qu'il y a tellement de monde dans nos enclos et si peux a manger ... d'ailleurs je dois vous laisser, c'est bientot l'heure de l'évacuation des morts. Même si je ne le connaissait que peu, Valmont m'a fait promettre que je veillerais sur ça dépouille et éloignerait les charognard le temps de son évacuation. Lui et un NI nous on quittait hier soir, le froid ayant fauchée leurs corps amaigris et malade.
je crois avoir aperçue le visage de djino et celui d'Ella dans le camp d'en face il y a deux jours mais je n'en suis pas sur, les véhicules mortuaires passe si vite entre chaque sections de prisonniers..

* un immense faisceaux de lumière balaye les environs et la tente de la jeune femme semble irradier de lumière un bref instant avant que l'obscurité redonne un semblant de but à la petite lampe vacillante.
l'ancienne DG se lève lentement étourdie par les carences alimentaires. elle enfile une paire de botte trouée et referme le mieux possible son chaperon en toile de tente décrépie. comme seul vêtement qu'elle a pus troquer contre des pièces de son bras, sont constitué d'un vieux pantalon militaire recousus mainte fois et un pull épais et crasseux. elle passe la capuche décoloré sur sa tête et sort de son "abris". *

aussi loin que porte son regard usé, il y'a des kilomètres de tente alignées et de bidon ville dans des enclot grillager au milieu des ruines du SI.
par moment des petits éboulement de bétons se produisent depuis les lointains et Haut-building ravagés par le bombardement. le son de ce phénomènes d'érosion, émit par l'agonie des anciennes super-structure impérial donnaient l'impression que le tonnerre grondait dans un écho lointain et sourd. Ce vacarme naturel étouffait pendant quelques secondes, le bruit des foules agonisante, des tirs et bagarres d'émeutes alentours.
autrefois véritable raison de vivre de la bureaucratie impérial, des milliers de papiers volaient dans le ciel chargé de cendre. parfois Oline les observait planer au quatre vent. cette imitation grotesque des oiseaux, lui permettant d'oublier pendant quelques temps la faim et la maladie qui rongeait son corps.

le numéro de prisonnier 44o29 marcha au milieu de la foule et disparu rapidement dans la masse grouillante et grisâtre du district pénitentiaire 14.