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Cacher
Tome 8 : Libération de l'âme
Le pardon est la forme d'amour la plus simple qui soit. Tu fais un truc de mal, je t'aime, à ma façon, donc, je te pardonne ! Ainsi-soit-il !
Gustav.
Tout avait commencé avec lui. Ce premier contact. Ce petit être que bien des gens ne doivent plus se rappeler mais qui a quand même secoué un peu le secteur avec ses bêtises pour simplement passer aciviste. Haut comme trois pommes, le nez pointu, Gustav avait été mon premier confident, mon premier baiser. Un gobelin… qui l’eut cru ! Je n’appréciais pas nécessairement cette race. Il y avait quelque chose chez eux qui me glaçait le sang, et pourtant, il avait réussi où tous avant lui avait échoué. Puis il m’a dit il y a de ça 38 ans, qu’il allait camper en cryo quelques temps, pas longtemps, pas suffisamment pour que j’ai le temps de l’oublier. J’y ai cru... A tort, il n’est jamais ressorti du congèlo. Mais je lui ai pardonné, même si ça m’a pris un peu de temps.
Tout avait commencé avec lui. Ce premier contact. Ce petit être que bien des gens ne doivent plus se rappeler mais qui a quand même secoué un peu le secteur avec ses bêtises pour simplement passer aciviste. Haut comme trois pommes, le nez pointu, Gustav avait été mon premier confident, mon premier baiser. Un gobelin… qui l’eut cru ! Je n’appréciais pas nécessairement cette race. Il y avait quelque chose chez eux qui me glaçait le sang, et pourtant, il avait réussi où tous avant lui avait échoué. Puis il m’a dit il y a de ça 38 ans, qu’il allait camper en cryo quelques temps, pas longtemps, pas suffisamment pour que j’ai le temps de l’oublier. J’y ai cru... A tort, il n’est jamais ressorti du congèlo. Mais je lui ai pardonné, même si ça m’a pris un peu de temps.
Quirin.
Ce crétin, toujours là ! Je n’avais qu’à envoyer un com, et il était toujours là. Inversement d’ailleurs. Combien de fois aurions-nous pu s’étancher à former un couple tous les deux dans les 30 années de notre amitié ? De trop nombreuses fois. Nous avions toujours pourtant essayé de préserver notre lien unique. Mon meilleur ami. Il était tellement important. Les gens avaient beaux lui reprocher tout et rien, je ne voyais pas claire, il était si différent avec moi, si important. Rien à voir avec un frère, j’en ai déjà un et ce dernier, rien ni personne ne pourrait prendre sa place. Quirin était, tout simplement, particulier. Comme une partie de moi. Une extension de mes pensées, une barrière de mes gestes un peu cinglé. Nous avons tellement vécu jusqu’à ce qu’une idiote nous arracher cette amitié par pure jalousie et machination. Je lui en ai tellement voulu. Et juste avant de faire sauter sa puce, nous avons pu mettre à plat ce gros bordel, je lui ai tout pardonné, comment aurais-je pu faire autrement ? Je l’aimais, à ma façon, mais, je l’aimais !
Ce crétin, toujours là ! Je n’avais qu’à envoyer un com, et il était toujours là. Inversement d’ailleurs. Combien de fois aurions-nous pu s’étancher à former un couple tous les deux dans les 30 années de notre amitié ? De trop nombreuses fois. Nous avions toujours pourtant essayé de préserver notre lien unique. Mon meilleur ami. Il était tellement important. Les gens avaient beaux lui reprocher tout et rien, je ne voyais pas claire, il était si différent avec moi, si important. Rien à voir avec un frère, j’en ai déjà un et ce dernier, rien ni personne ne pourrait prendre sa place. Quirin était, tout simplement, particulier. Comme une partie de moi. Une extension de mes pensées, une barrière de mes gestes un peu cinglé. Nous avons tellement vécu jusqu’à ce qu’une idiote nous arracher cette amitié par pure jalousie et machination. Je lui en ai tellement voulu. Et juste avant de faire sauter sa puce, nous avons pu mettre à plat ce gros bordel, je lui ai tout pardonné, comment aurais-je pu faire autrement ? Je l’aimais, à ma façon, mais, je l’aimais !
Shadows.
Le tout premier amour. Les promesses d’un amour éternel, le début d’une histoire sans fin. Le vautour ténébreux qu’on fige quand il nous sourit, que le cœur se mets à tambouriner juste quand il murmure qu’il t’aime ! Moi qui était novice avec l’amour, il a été le parfait professeur, doux, attentif, aimant. Et puis, il a disparu dans les confins du sommeil. Morphée me l’a kidnappé. Si longtemps je l’ai veillé, si longtemps je l’ai espéré. Je lui en ai voulu de m’abandonner et de me laisser que ce sablier du temps à observer. J’ai fini par lui pardonné, jusqu’au jour où il est réapparu, prêt à faire de nouvelles promesses, celles qu’il m’avait faites jadis, à une autre. Jalousie bien évidemment m’a étreinte. Comment être insensible?! Pour me rendre compte que finalement, tout ça n’était que du vent, pour une autre aussi. Le pardon est d’autant plus facile, maintenant libérée de cet amour qui a une finalité. J’ai de nouveau pardonné.
Le tout premier amour. Les promesses d’un amour éternel, le début d’une histoire sans fin. Le vautour ténébreux qu’on fige quand il nous sourit, que le cœur se mets à tambouriner juste quand il murmure qu’il t’aime ! Moi qui était novice avec l’amour, il a été le parfait professeur, doux, attentif, aimant. Et puis, il a disparu dans les confins du sommeil. Morphée me l’a kidnappé. Si longtemps je l’ai veillé, si longtemps je l’ai espéré. Je lui en ai voulu de m’abandonner et de me laisser que ce sablier du temps à observer. J’ai fini par lui pardonné, jusqu’au jour où il est réapparu, prêt à faire de nouvelles promesses, celles qu’il m’avait faites jadis, à une autre. Jalousie bien évidemment m’a étreinte. Comment être insensible?! Pour me rendre compte que finalement, tout ça n’était que du vent, pour une autre aussi. Le pardon est d’autant plus facile, maintenant libérée de cet amour qui a une finalité. J’ai de nouveau pardonné.
Minh-su.
Je ne suis pas branchée nanas. Je ne l’ai jamais été. Qu’une seule dans tout ce secteur aurait pu prétendre avoir réussi où tellement d’autres se sont casser les dents. Elle n’est plus pour le dire, Nimah, une petite pensée pour toi ! Mais Minh… alors elle… toujours à me faire vaciller entre… un jour cette gonzesse je la ferais crier ou un jour je la détesterais… Par-dessus tout, une amie, une confidente, une présence. Elle a toujours été là, une vraie amie. Pas le genre de nana qui te pique ton mec quand t’as le dos tourné… Et elle aussi, elle s’est envolée, sans donnée de nouvelles, pour un jour, allé dans un des tombeaux au froid. Elle me manque ! Son conseil avisé me manque. Ce ‘’ sans jugement ‘’ dont elle seule avait le secret me manque. Mais je lui ai également pardonné de m’avoir laissé ainsi, alors qu’encore aujourd’hui, j’aurais besoin d’elle.
Je ne suis pas branchée nanas. Je ne l’ai jamais été. Qu’une seule dans tout ce secteur aurait pu prétendre avoir réussi où tellement d’autres se sont casser les dents. Elle n’est plus pour le dire, Nimah, une petite pensée pour toi ! Mais Minh… alors elle… toujours à me faire vaciller entre… un jour cette gonzesse je la ferais crier ou un jour je la détesterais… Par-dessus tout, une amie, une confidente, une présence. Elle a toujours été là, une vraie amie. Pas le genre de nana qui te pique ton mec quand t’as le dos tourné… Et elle aussi, elle s’est envolée, sans donnée de nouvelles, pour un jour, allé dans un des tombeaux au froid. Elle me manque ! Son conseil avisé me manque. Ce ‘’ sans jugement ‘’ dont elle seule avait le secret me manque. Mais je lui ai également pardonné de m’avoir laissé ainsi, alors qu’encore aujourd’hui, j’aurais besoin d’elle.
Rin
J'ai été sous le charme de cette fille. Elle me ressemblait tellement à mon arrivée. La tête pleine d'idée, de changement, de renouveau ! Un caractère bien trempée, qui savait ce qu'elle voulait. Prête à tout saccager pour prendre sa place. J'ai pris mon temps mais en même temps, je me suis hâtée. J'ai fais d'elle ma fille ! Rhin Laesis. J'en était si fière, elle était magnifique ! Je lui aurais tout donné sauf ce qu'elle voulait. ¸Être le centre de mon univers. Être l'un d'eux certes mais, l'exclusivité était beaucoup trop intense. Même moi qui si possessive ne l'était pas autant. Une dispute à éclatée et elle ne m'a jamais pardonné. Elle a fait sauté sa puce, me laissant dans une culpabilité sans borne. Je ne suis qu'une mère insensible. Elle est partie avec une partie de moi, de ma dignité mais également de mes ambitions d'avoir une grande famille. L'adoption n'était pas pour moi. Bien que je lui ai pardonné son geste, je resterais marqué sans doute éternellement par elle.
J'ai été sous le charme de cette fille. Elle me ressemblait tellement à mon arrivée. La tête pleine d'idée, de changement, de renouveau ! Un caractère bien trempée, qui savait ce qu'elle voulait. Prête à tout saccager pour prendre sa place. J'ai pris mon temps mais en même temps, je me suis hâtée. J'ai fais d'elle ma fille ! Rhin Laesis. J'en était si fière, elle était magnifique ! Je lui aurais tout donné sauf ce qu'elle voulait. ¸Être le centre de mon univers. Être l'un d'eux certes mais, l'exclusivité était beaucoup trop intense. Même moi qui si possessive ne l'était pas autant. Une dispute à éclatée et elle ne m'a jamais pardonné. Elle a fait sauté sa puce, me laissant dans une culpabilité sans borne. Je ne suis qu'une mère insensible. Elle est partie avec une partie de moi, de ma dignité mais également de mes ambitions d'avoir une grande famille. L'adoption n'était pas pour moi. Bien que je lui ai pardonné son geste, je resterais marqué sans doute éternellement par elle.
Kaluku.
Remplacé un amour par un autre. La solitude que Shad’ avait laissé en moi, cet elfe vieux, sournois, avec toujours réponse à tout l’a habilement fait s’évanouir. Il m’obsédait. J’en étais si amoureuse. C’était violent, imprudent, tenace, toxique ! Notre relation n’a été qu’éphémère mais si marquante, les quelques années qu'elle a durée. Je lui en ai tellement voulu de cette sensation qu’il avait fait naître en moi après notre rupture. Il m’a brisée ! Ni plus, ni moins ! J’ai eu du mal à m’en remettre. J'ai été une loque et sans Oslow, Melo et Quirin, je ne m'en serais sans doute jamais remise ! Je lui ai sans doute fait aussi bien du mal, également. J’ai regretté après avoir pris connaissance de tout ce que j’avais moi-même fait. Et c’est peut-être pour ça, que je lui ai pardonné, ne pouvait plus lui en vouloir alors que sa puce n’existe plus. Ça fait mal d’haïr le fantôme de quelqu’un.
Remplacé un amour par un autre. La solitude que Shad’ avait laissé en moi, cet elfe vieux, sournois, avec toujours réponse à tout l’a habilement fait s’évanouir. Il m’obsédait. J’en étais si amoureuse. C’était violent, imprudent, tenace, toxique ! Notre relation n’a été qu’éphémère mais si marquante, les quelques années qu'elle a durée. Je lui en ai tellement voulu de cette sensation qu’il avait fait naître en moi après notre rupture. Il m’a brisée ! Ni plus, ni moins ! J’ai eu du mal à m’en remettre. J'ai été une loque et sans Oslow, Melo et Quirin, je ne m'en serais sans doute jamais remise ! Je lui ai sans doute fait aussi bien du mal, également. J’ai regretté après avoir pris connaissance de tout ce que j’avais moi-même fait. Et c’est peut-être pour ça, que je lui ai pardonné, ne pouvait plus lui en vouloir alors que sa puce n’existe plus. Ça fait mal d’haïr le fantôme de quelqu’un.
Shull.
Un amant, un ami, une conscience dans l’ombre. Il a porté tellement de casquette. Une vraie girouette et pourtant, un ami fidèle bien que nous n’avions pas du tout les mêmes idéaux. Tous n’étaient toujours que contraste d’idéologie. J’étais pour, il était contre. Je disais oui, il disait non ! Combien de fois je lui ai fait la gueule ? Combien de fois il m’a fait sourire. Je n’ai jamais pu lui résisté et lui en vouloir plus de 24 cycles. C’était ainsi entre nous. Et un jour, il m’a dit qu’il en avait marre, de retour de cryo, il y retournait et ne pensait pas revenir. Je lui en veux, encore un qui m’abandonne. Les gens ne sont que de passages dans la vie de ceux qui persévère. Et l’espoir demeure, à chaque fois, de les voir revenir. Je ne le déteste pas, je comprends sa fatigue, ne partage pas ses idées et ses trop grandes conneries mais, j’aimais cet ami, notre lien fort et il me manque. Je lui en veux mais, je lui ai pardonné son choix de laisser s’écouler le temps pour les autres et de figer le sien.
Un amant, un ami, une conscience dans l’ombre. Il a porté tellement de casquette. Une vraie girouette et pourtant, un ami fidèle bien que nous n’avions pas du tout les mêmes idéaux. Tous n’étaient toujours que contraste d’idéologie. J’étais pour, il était contre. Je disais oui, il disait non ! Combien de fois je lui ai fait la gueule ? Combien de fois il m’a fait sourire. Je n’ai jamais pu lui résisté et lui en vouloir plus de 24 cycles. C’était ainsi entre nous. Et un jour, il m’a dit qu’il en avait marre, de retour de cryo, il y retournait et ne pensait pas revenir. Je lui en veux, encore un qui m’abandonne. Les gens ne sont que de passages dans la vie de ceux qui persévère. Et l’espoir demeure, à chaque fois, de les voir revenir. Je ne le déteste pas, je comprends sa fatigue, ne partage pas ses idées et ses trop grandes conneries mais, j’aimais cet ami, notre lien fort et il me manque. Je lui en veux mais, je lui ai pardonné son choix de laisser s’écouler le temps pour les autres et de figer le sien.
Quasar.
L’amour d’une vie. Moi qui ne croyais plus à l’amour, il a réussi à me faire changer d’avis. Malgré des hauts et des bas, des moments à couper le souffle, ou des disputes dignes de sauter dans le cratère, on traversaient tout ensemble. Nous avons malheureusement écorchés certaines personnes au passage, involontairement pour la plupart. Mais en 18 ans de vie commune, il ne pouvait pas y avoir aucun dommage collatéraux. Mais j’y croyais.Dur comme fer, j'y croyais ! Il était l'amour de ma vie ! Il a tout fait pour me le faire croire également. J’avais confiance, il avait changé. Il était à moi, j’étais à lui. Rien ni personne ne pourrait briser ça...Sauf lui. Et c’est ce qu’il a fait. Trahit de la plus violente des façons, alors que j’étais à concevoir notre fils, la douleur des mensonges ont eu raison de moi. Jamais je n’ai eu l’impression de toucher le fond que lorsqu'il m’a enfin avoué ses fautes, que je savais déjà. Le choc fut terrible, dévastateur et ça même si je connaissais au fond de moi la vérité. Le mensonge est cruel mais le visage de la vérité est horrible ! La déchéance était si brutale. De mon petit nuage que j’avais un couple parfait malgré ses difficultés venait de s’évanouir à mes pieds. Pouf, disparu ! Il ne restait plus rien, que de la colère, des pleurs, des sentiments destructeurs. Et la pluie, le temps, à tout nettoyé bien que rien ne s'est évaporé. Les conversations plus sereines sont revenus, ce visage que j'ai vu pendant ces 18 années avant ce moment fatidique était de nouveau de moi, à me sourire, à faire battre ce coeur qui jamais n'avait cessé ce l'aimer. Le tourbillon de cet orage s’est désormais apaisé. L’amour ne s’est pourtant pas effacé mais, saurais-je seulement pardonné ?
L’amour d’une vie. Moi qui ne croyais plus à l’amour, il a réussi à me faire changer d’avis. Malgré des hauts et des bas, des moments à couper le souffle, ou des disputes dignes de sauter dans le cratère, on traversaient tout ensemble. Nous avons malheureusement écorchés certaines personnes au passage, involontairement pour la plupart. Mais en 18 ans de vie commune, il ne pouvait pas y avoir aucun dommage collatéraux. Mais j’y croyais.Dur comme fer, j'y croyais ! Il était l'amour de ma vie ! Il a tout fait pour me le faire croire également. J’avais confiance, il avait changé. Il était à moi, j’étais à lui. Rien ni personne ne pourrait briser ça...Sauf lui. Et c’est ce qu’il a fait. Trahit de la plus violente des façons, alors que j’étais à concevoir notre fils, la douleur des mensonges ont eu raison de moi. Jamais je n’ai eu l’impression de toucher le fond que lorsqu'il m’a enfin avoué ses fautes, que je savais déjà. Le choc fut terrible, dévastateur et ça même si je connaissais au fond de moi la vérité. Le mensonge est cruel mais le visage de la vérité est horrible ! La déchéance était si brutale. De mon petit nuage que j’avais un couple parfait malgré ses difficultés venait de s’évanouir à mes pieds. Pouf, disparu ! Il ne restait plus rien, que de la colère, des pleurs, des sentiments destructeurs. Et la pluie, le temps, à tout nettoyé bien que rien ne s'est évaporé. Les conversations plus sereines sont revenus, ce visage que j'ai vu pendant ces 18 années avant ce moment fatidique était de nouveau de moi, à me sourire, à faire battre ce coeur qui jamais n'avait cessé ce l'aimer. Le tourbillon de cet orage s’est désormais apaisé. L’amour ne s’est pourtant pas effacé mais, saurais-je seulement pardonné ?
J’ai si souvent pardonné. Pour des amis, pour des amoureux. Un petit rien, même malgré ma successibilité. Des trucs parfois difficiles avec mes valeurs. À eux. À moi-même également. Je suis loin d’être parfaite. Chieuse ou petite peste pour les intimes, garce pour les victimes. J’ai toujours assumée qui je suis, haut et fort mon caractère s’est implanté dans le secteur. Droite dans mes bottes je suis, la tête haute et le nez bien droit quand je marche. Je regarde cependant trop souvent derrière, et quand je pense à tout ce que j’ai ai laissé, j’ai mal. Je dois focus sur l’avenir, sur les gens qui m’entourent toujours merveilleusement comme mes parents, mon frère, mon meilleur ami Melo, mon fils. Puis-je seulement faire la paix avec mon passé ou dois-je absolument pardonné pour espérer un jour avoir le pouvoir d’être de nouveau heureuse ?
Informations sur l'article
Les chroniques de ma conscience
25 Juin 2024
344√
18☆
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Melo (66☆)
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Shadows (189☆)
Le dépositaire -
Shull (47☆)
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Personne ne m'échappe -
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◊ Commentaires
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Oslow (0☆) Le 25 Juin 2024
A jamais Là pour sa soeur -
Melo (66☆) Le 25 Juin 2024
🌟Encore et toujours là, et ce n'est pas près prévu de changer. -
Xaden (0☆) Le 25 Juin 2024
Elle a beaucoup souffert la petite Nini, la pauvre une étoile! -
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Full (455☆) Le 26 Juin 2024
Si je fais la même pour mon pion, faudrait 8 pages aha -
Nivéole (177☆) Le 26 Juin 2024
Merci tout le monde !
@full, c'est ça les vieux ! Je suis jeune moi encore !! -
Minh-Su (232☆) Le 26 Juin 2024
Bragg m'a prévenu! Merci JD Nini, je suis comblée d'avoir pu marquer un peu l'esprit de ton pion! -
Nivéole (177☆) Le 26 Juin 2024
@Minh-Su Je t'en prie jd Minh, et encore... les pensées de Niv' ont été concit mais Minh a eu une grande place dans le quotidien de ma petite blonde ! J'espère qu'elle finira bien par ramener ses fesses un jour !
