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Une rencontre qui transcende l’existence. My love.
Au seuil de l’entrée de mon bar, j’ai le regard dans le vide observant la brume de la ville. Me laissant bercée par le son des gouttes tombant sur le sol tel des gouttelettes de sang. A demi somnolente, mon être est ici, mais mon esprit est ailleurs, dans l’obscurité de cette nuit mes pensées sont tournées vers toi seule toutes entières.
Je devrai me cacher encore, Oh toi ma futur moitié ai-je seulement le droit de t’effleurai la main ?
Tes mots m’apaisent et me transcendent au plus profond de mon âme.
Me souvenant de notre rencontre, au détour de cette ruelle, cette nuit là je n’ai eu le temps de me fondre dans un moment d’extase. Mais de tes douces paroles tu m’as permise d’entrevoir le doux parfum de rêves déchus.
Tes mots m’apaisent et me transcendent au plus profond de mon âme.
Me souvenant de notre rencontre, au détour de cette ruelle, cette nuit là je n’ai eu le temps de me fondre dans un moment d’extase. Mais de tes douces paroles tu m’as permise d’entrevoir le doux parfum de rêves déchus.
Ai-je à nouveau la possibilité d’être touché par le vent et de finir emporté par ses émotions languissantes ? Pour toi je suis une lumière, la tienne à toi seul et toi tu es mon ombre. Une ombre qui ne meurt jamais et qui est déjà dans la mienne. Es ce mon penchant pour l’obscurité qui me fait frémir quand je t’entends parler de nous ainsi ?
A toi, je peux ouvrir mon âme qui se décompose en de millier de pièces d’un puzzle inachevé. Ne te perdras tu pas au sein du labyrinthe sinueux, alambiqué et sans fin de mon être ? M’aimeras tu encore après avoir effleurée mes lèvres des tiennent, tel le vent caressant et enveloppant le smog pour l’éternité ?
Ensemble ? Es ce seulement possible nous qui sommes si différentes ? Mais le sommes-nous vraiment au final ? L’imperfection fait partie de cette cité, et nos êtres sont également imparfait, nous en sommes conscientes et l’assumons. Nul ne peut nous forcer à changer contre notre volonté.
Deux être imparfaits qui se rapprochent, ou es ce que cela nous mènera ? Nul ne peut le dire, pas même nous.
Deux être imparfaits qui se rapprochent, ou es ce que cela nous mènera ? Nul ne peut le dire, pas même nous.
Deviendras tu mon souffles ? Deviendras tu ma drogues ? Mon alcool embrumé mélangé au froid glacial qu’engendre cette cité ? Tes mains grifferont t’elles m’ont corps froid et pâle ? Tes crocs laisseront elles des marquent de morsure oppressante sur ma peau ? Arriveras-tu à rendre mon corps accros à tes supplices et à le faire rougir de multiples manières ? Ma température corporelle augmentera t’elle sous tes frasques sensuelles au point de m’enivrer et de perdre toute raison à travers cette fièvre charnelle ?
Que puis je espérai de toi, moi qui ne crois plus en l’amour ni en rien en cette cité ? Qu’espères-tu de moi qui ne suis rien de plus qu’un être vide, empreint de mélancolie et sources d’ennuis infinis? Nous le savons toutes deux rien ne dure éternellement, alors pourquoi devrions nous laisser battre nos cœurs à l’unisson ? Pourquoi nos chairs devraient s’effleurer, si ce n’est pour mieux nous briser une nouvelle fois ? Je me languis de ton être et pourtant je te fuis, car je sais qu’au fond de moi si je ressens à nouveau une once d’amour, cela me brisera à nouveau.
Et pourtant, j’ai envie de ressentir ton souffle et la chaleur de ton être contre le miens. Je préfère être libre qu’enchainée. Ne nous faut’ il pas à tous avancer ? Brisons les chaînes qui nous entravent, vivons librement plutôt que de continuer à suffoquer, étranglées au sein de cet ennuis dont on ne voit plus la fin. J’aimerai tant pouvoir te décrire ce que je ressens librement et sans crainte, mais je me retiens. Vivre en cette ville m’a faites me renfermer en moi-même. Je dois faire un choix parmi tant d’autres. Nos différences, nous attirent comme des aimants et pourtant…
Toute seule, enveloppée de mon manteau de solitude, qui réprime mes émotions au plus profond de mon être. Je regarde ce brouillard ce languissant de cette nuit ténébreuse et je songe à toi mon être embrumée.
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Informations sur l'article
Rêves & pensées
29 Décembre 2017
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◊ Commentaires
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Brume~52251 (2☆) Le 30 Décembre 2017
Très beaux tableaux et très belle plume. *