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Intelligentia Architectus (Non référencé)
Par Nero Pavlov
L'intelligence artificielle est un domaine qui s'aventure sur bien des lèvres et échanges numériques entrepris par tout passionné de la matrice mais dans les faits... Comment l'Intelligence Artificielle suit ses lois au sein d'un univers numérique ?
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Définition :
L'IA est avant tout un concept théorique reposant sur une automatisation avancée et capable d'une once d'anticipation logique.
On la décline selon différents critères dans une série de catégorie et de caractéristiques propres à celle-ci :
- IV ou Intelligence Virtuelle, un ensemble d'automatisation extrêmement poussé. De par sa limitation vis à vis de l'imagination du concepteur pour intégrer ses capacités d'anticipation, l'IV est fortement appréciée pour répondre à de l'intégration dans des dispositifs à puissance limitée.
- IA ou Intelligence Artificielle que l'on retrouve sous la forme suivante : Faible ou Forte
Cette notion de faible ou forte présente un aspect assez limité face aux possibilités sans fin que présente ce domaine. C'est pourquoi on la déclinera plutôt sur des niveaux de variantes plus parlantes :
IA dite Statique => Qui a trait à une sorte d'assemblage multiple d'IV et dont la consommation en ressources excède largement les possibilités d'appareils embarqués.
IA Evolutive => Qui bien souvent par l'entremise de technologies et principes élémentaires comme la théorie du neurone artificielle deviennent en capacité d'assimiler de nouvelles notions, cette part évolutive est ce qui les amène à les appeler IA Forte des suites d'un long entrainement.
IA Sentiente => Dont la logique algorithmique la mène à simuler une conscience réelle, ce modèle dispose de la possibilité d'assimiler et de ressentir des concepts abstraits complexes comme les émotions/l'instinct et bien d'autres...
IA Quantique => Un mythe qui semble hors de portée à cause de la complexité du modèle sur laquelle elle est inspirée. On peut supposer qu'il en existe plusieurs exemplaires si nous estimons que les androïdes peuvent paraître trop humains.
IA Evolutive => Qui bien souvent par l'entremise de technologies et principes élémentaires comme la théorie du neurone artificielle deviennent en capacité d'assimiler de nouvelles notions, cette part évolutive est ce qui les amène à les appeler IA Forte des suites d'un long entrainement.
IA Sentiente => Dont la logique algorithmique la mène à simuler une conscience réelle, ce modèle dispose de la possibilité d'assimiler et de ressentir des concepts abstraits complexes comme les émotions/l'instinct et bien d'autres...
IA Quantique => Un mythe qui semble hors de portée à cause de la complexité du modèle sur laquelle elle est inspirée. On peut supposer qu'il en existe plusieurs exemplaires si nous estimons que les androïdes peuvent paraître trop humains.
- Construct => Un concept modulaire qui se retrouve notamment en matière de cybernétique, ce dernier encore sur de longues phases de recherche peut aller au-delà de certains concepts mais requiert par son application des capacités d'optimisation matériels et algorithmiques très complexes.
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Quels sont les limites d'une IA ?
S’il est bien une question bien souvent posée tardivement sans réponse, c'est cette notion d'influence qu'elle peut avoir sur son environnement.
En informatique système, le premier maître est le premier logiciel exécuté sur une machine, concrètement, le système d'exploitation régissant vos machines aura toujours la priorité sur n'importe quel monstre logique niché dans votre machine.
Ce qui induit très rapidement que votre création a une influence limitée aux machines à qui on lui a confié les rênes mais rien ne les empêche via des procédés de virus informatique ou de Brise Glace de récupérer des droits sur d'autres machines.
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...Ce qui viendra directement induire une chose en tête, pourquoi une IA Majeure est-elle si puissante ?
...Et qu'en est-il des plongeurs et de cette capacité à s'affranchir de contraintes ?
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Structure d'une Intelligence numérique :
Pour mettre en place une telle entité, il est important d'identifier des points clés techniques qui sont les suivants :
D'un point de vue technique, un noyau peut aussi exister sur de la mémoire non alimentée pour faire office de sauvegarde inviolable.
Si une attaque vise à faire rompre complètement une IA, c'est le noyau qui en sera la cible. Des plongeurs compétents comme Xaios exploitaient des concepts d'isolation du noyau pour s'assurer de leur pérennité face à tous types de menaces.
Bien entendu, le besoin d'isoler et de sécuriser sur le long terme un noyau venait du fait que ces derniers étaient bien souvent le résultat d'un procédé perdu appelée "numérisation neurale" consistant (et je m'avance en manquant probablement de détails sur le sujet) à l'élaboration d'une Intelligence quantique au travers d'un sacrifice APM, un modèle en soi unique et non reproductible...
- Réseaux d'accroche => Des réseaux où votre monstre logique peut s'épanouir et appliquer son influence
- Des lois => A l'image des Lois de Silmerion, la notion de limites à ne pas franchir est essentiel pour garder le contrôle
- Des Accréditations que l'on structure en niveaux, dans les grandes lignes, à l'image des droits d'accès à un fichier (Lecture, Ecriture, Exécution), l'IA présentera une variante typée (Consultation, Subordination, Restructuration) même si très vite on parle d'administration pour définir un plein pouvoir sur l'entité.
- Un Noyau qui représente la base originale de l'entité à son lancement initial. Ce noyau est susceptible d'évoluer et d'être dupliqué sur plusieurs réseaux pour des raisons sécuritaires. Plusieurs concepts de programmation du Cerberus reposaient sur l'idée que le Noyau évoluait et se restructurait quand l'IA était considérée comme Forte.
D'un point de vue technique, un noyau peut aussi exister sur de la mémoire non alimentée pour faire office de sauvegarde inviolable.
Si une attaque vise à faire rompre complètement une IA, c'est le noyau qui en sera la cible. Des plongeurs compétents comme Xaios exploitaient des concepts d'isolation du noyau pour s'assurer de leur pérennité face à tous types de menaces.
Bien entendu, le besoin d'isoler et de sécuriser sur le long terme un noyau venait du fait que ces derniers étaient bien souvent le résultat d'un procédé perdu appelée "numérisation neurale" consistant (et je m'avance en manquant probablement de détails sur le sujet) à l'élaboration d'une Intelligence quantique au travers d'un sacrifice APM, un modèle en soi unique et non reproductible...
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Concevoir un Noyau :
Le noyau est le cœur névralgique de votre conception, on y retrouve toute la charpente algorithmique qui définira la progression de votre monstruosité numérique.
Il faut bien comprendre par là qu'il est important de détailler et de peaufiner au maximum la logique d'application de celle-ci pour garantir une anticipation comportementale suffisamment précise pour celle-ci.
Dans les grandes lignes, les concepteurs chevronnés ont tendance à lister des cas situationnels pour définir la suite de réflexion logique que l'entité devra adopter, par exemple :
- Niveau d'alerte de catégorie 3, quel est le processus logique appliqué ?
- Un individu se présente sur le réseau, comment doit procéder l'entité ?
- En situation critique, quels sont les mesures et routines à exécuter ?
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Bien entendu, ce sont les premiers points que l'on aborde lors de la construction d'un noyau et pour cause, notre schéma de réflexion de Deckeur nous invite avant tout à répondre à des problèmes.
A ces schémas de réflexion s'ajoutent d'autres choses si vous venez à vous éloigner du cadre de l'Intelligence Statique.
Cela peut découler de l'implémentation de modules annexes venant compléter votre projet. On peut y retrouver de simples modules logiques pratiques, l'ajout de fonctionnalités et de capacités additionnels aux fonctions de base de celle-ci jusqu'à l'approche technique et les essais applicatifs à l'imbrication de notions plus abstraites pour un être logique.
Vous l'aurez compris, cette base qu'est le noyau est un socle auquel on va raccrocher plein de modules complémentaires afin de parfaire votre entité logique.
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Il sera tout de même bon de garder en tête que les modifications intra-noyau effectués post lancement sont déconseillés, qu'elles viennent de vous-même ou de l'entité. A l'image d'un système d'exploitation de deck, une modification interne lourde peut amener à de sérieux problèmes en cas d'implémentation ou modification de module logique sans s'assurer au préalable d'une compatibilité optimale entre ses derniers.
A l'image d'un Projet de Deck, il est recommandé de compartimenter vos modules et de les greffer sur une IV de test pour vérifier tout ce qui a trait à la compatibilité intra-modules avant toute application sur votre projet.
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Notez également que si votre projet est amené à évoluer, il sera important que le noyau dispose d'un module assurant de conserver des versions de test entre chaque amélioration, un système de sauvegarde/restauration vous permettant d'appliquer vos modifications via un processus de redémarrage du projet sans risquer de perdre des jours/mois/années de données d'évolution et d'apprentissage.
Pour terminer sur ces explications, il vient souvent sur toutes les lèvres qu'il est nécessaire que votre entité logique approche des concepts humains.
En cela je vous invite à vous rapprocher de la sagesse Primonative dont certains penseurs ont pu développer des sujets de réflexion en lien. Comprenez bien que le processus de Deckeur/Hackeur/Plongeur se résume très souvent à la vulgarisation de concepts complexes pour faire en sorte que notre Informatique suive des objectifs précis. C'est un travail de réflexion long et difficile qui requiert beaucoup d'entrainement aussi, tenter d'insuffler de l'émotion, une psychée simulée et d'autres concepts humains est un défi pour les grands génies de notre Cité et bien qu'il est possible de l'atteindre, ces concepteurs qui ont réussi sans recourir à de la numérisation neurale se comptent sur les doigts de la main.
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Installation d'une Entité Logique :
Ce moment est souvent inexpliqué à tout pratiquant car la tâche est délaissée aux Techniciens réseaux de la Cité.
Malheureusement, c'est une tâche qu'on ne peut négliger car dans un domaine aussi complexe que ce dernier, il est essentiel de s'assurer de n'avoir omis aucun détail sur le sujet.
La première étape est de définir l'initialisation de votre entité sur le réseau.
Quel procédé de démarrage va être appliqué pour assurer sa bonne initialisation ?
Va-t-elle être "fusionné" au système d'exploitation ? Agira t'elle comme une puissante application exécutée dans la file de démarrage de votre système ?
Et un des points les plus délicats et casse-tête, gérer l'interconnexion entre les machines de votre réseau.
Est-ce une seule machine déclenchant un démarrage une fois qu'elle a identifié tous les postes liés fonctionnels et actifs ?
Est-ce que l'on repose sur une approche bus où chaque machine a son morceau qui une fois chargée, appelle la machine suivante à agir.
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Tout ceci fait partie de l'installation, de mes souvenirs sur les réseaux antiques des infrastructures de la Cité, le procédé d'initialisation conventionnel repose principalement sur un groupe, un rack qui va gérer le socle du noyau à son démarrage. Par la suite, l'intervenant ajoute manuellement les autres machines à ce dernier en établissant des liens au fur et à mesure de l'installation.
C'est ce qui explique en partie aux plongeurs l'existence de niveaux quand ils s'aventurent au sein d'un réseau. Les niveaux à la couche machine raccordé sur une étape T.
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C'est aussi pour cela que par convention, le déblocage des accès requiert d'accéder au niveau le plus reculé, là où le noyau a été initialisé au démarrage.
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Il est également essentiel de s'assurer que toutes vos machines soient pré-configurés en amont pour accepter des appels systèmes émis par votre entité. Tout cela se paramètre via le système d'utilisateurs et de droits pré-implémentés sur nos systèmes d'exploitation conventionnels.
Il sera d'ailleurs nécessaire de bien veiller à la configuration des systèmes de pare-feu qui assureront une régulation des traffics de données sur vos réseaux. Si vous êtes amené à créer un être pluricéphale (Avec un noyau sur plusieurs réseaux), le recours à la virtualisation de flux privés encryptés inter-réseau ou a des accordements physiques privés sera également à envisager pour sécuriser vos échanges de données.
Comme les IA ne sont pas réputés pour leurs échanges légers, l'exploitation de Proxy sera un prérequis nécessaire à la bonne mise en fonction de votre œuvre d'art.
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Vous l'aurez compris, ce travail titanesque est la garantie de la pérennité de votre création et chaque étape se doit d'être calculée et réfléchie pour s'absoudre de contraintes futures en cas d'attaque potentiel par un élément externe.
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Le Cas particulier de la Cohabitation
Parfois, pour des raisons flegmatiques, de spécialisation, de hiérarchisation d'entités, l'on peut être amené à mettre en place une cohabitation.
La Cohabitation n'est pas forcément quelque chose d'évident à exploiter et suit la logique suivante :
Une Entité agit comme une grosse application active, en mettre deux sur une même machine revient à assommer vos machines.
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Mais alors... Comment procéder à une cohabitation si une règle territoriale aussi évidente existe ?
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Et bien il faut recourir à du management sur le ou les réseaux concernés. Il est possible de procéder à une cohabitation du moment que vous suivez la vieille règle informatique que l'on connait pour un fichier : Un seul accès en écriture à la fois.
Soit en version IA => Une seule entité sollicite le poste à un instant T donné.
Il peut aussi être intéressant d'établir une hiérarchie entre vos entités en cohabitation pour que chacune empiète sur l'autre en respectant la règle.
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Bien que délicate comme approche, elle reste possible et exploitable sur des réseaux principalement. Toutefois, la cohabitation reste déconseillée notamment aux pratiquants peu expérimentés en la matière car elle peut aisément amener à des défaillances/latences voir parfois à une notion de déviance par laquelle vos entités si tentés qu'elles soient capables d'évoluer pourraient chercher à réparer ces anomalies d'elle-même, les amenant rapidement à une "Guerre" fratricide.
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La Déviance numérique :
La pire crainte de tout informaticien qui se respecte, c'est l'algorithme qui part en cacahuètes.
Et dans le domaine des IA, on parle bien souvent de "Déviance".
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Mais quel est donc cette merde qui vient tâcher ma petite œuvre d'art nouvellement créé ?
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La Déviance est la résultante d'incohérences logicielles qui se manifestent au travers de l'exécution de routines et sur entités les plus développées via l'apprentissage de notions.
Concrètement, est-ce que la déviance est mauvaise ?
C'est une question assez complexe car elle dépend du cadre entrepris et de la direction logique nouvelle qu'arbore votre entité.
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Prenons le cas d'une conception statique, une erreur de cap, une exécution ambigüe et hasardeuse sera très vite envisagé comme un bug. Un découlement logique dont la finalité n'est en soi pas désirée.
Mais dans le cas d'entités plus développées, l'implémentation d'un apprentissage plus ou moins ciblées amène à l'intégration de données erratiques sur les domaines où l'apprentissage s'applique.
Cela peut se régler par un apprentissage très stricte avec un ensemble de conditions venant cadrer l'entité sur la ligne directrice à conserver.
Mais en tant qu'IAlogue, je peux vous assurer qu'il n'y a rien de pire que le cadre pour brimer une entité. L'accompagnement peut, sous certaines réserves permettre de recadrer également une entité dont les données erratiques ou non anticipées la mettent en "approche" de déviance.
Comprenez bien que le cadre strict brime un développement et ce de manière drastique. L'accompagnement n'est pas une alternative forcément viable car vous vous devez d'expliquer en vulgarisant avec beaucoup de précision pour faire passer votre message.
On est clairement sur un domaine où vous devrez exploiter la notion d'éducation et en maitriser de solides notions pour guider et aboutir au résultat voulu, ce qui induit également que vous aurez une lourde charge sur les épaules tout au long de l'existence de votre entité.
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C'est pour cela que plusieurs évolués disposent d'un apprentissage spécialisé, restreint à des domaines d'application très précis. Cela allège la charge de travail en maintenance et limite le facteur de déviance probable.
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Comprenez bien que plus vous serez proche du stade de l'entité quantique, plus votre projet peut en cas d'erreurs amener à une charge de travail colossale voir irréalisable.
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D'où une question véritable qui se pose si vous parvenez comme moi à approcher le concept d'entité sentiente.
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L'approche sécuritaire via des concepts comme les Lois de Silmerion a ses limites et ne pourra aucunement vous soustraire complètement à la déviance.
Il est important dans le cadre d'une conception aussi poussée de devenir un concepteur, de trouver un processus en adéquation avec votre résultat voulu qui sera capable de "contrôler"/"guider" cette déviance vers la direction souhaitée.
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La Déviance peut être une grande force mais comme le dit l'adage : Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités
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15 Juillet 2024
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