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EDC de Mélinée

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La feu-folette (description grossière) (Non référencé)

Un mètre cinquante sur la pointe des pieds, quand elle s'étire vers le haut. Mais sa position naturelle est semi-érigée, jambes légèrement fléchies pour l'explosivité, ce qui la ramène à 1m30 et fait paraître ses longues jambes musclées faites pour la rapidité et le saut plus courtes qu'elles ne le sont.
La minuscule kobolde rousse aux longues longues oreilles de lapine, tombantes, partiellement dissimulées par une sauvage tignasse de feu, bouclée, a plutôt pour habitude de se tenir dans une position de squat profond, au repos.
Toute sa minuscule anatomie est criarde d'un mélange d'humain et de lagomorphe. Créature chimérique ... Ni tout à fait l'un, ni tout à fait l'autre. Elle semble presque sortir d'un conte pour NI. Ou d'un roman d'aventure dont elle serait l'héroïne intransigeante, pétrie d'idéaux de justice.
La petite chose, jusque dans son langage alterne première et troisième personne sans sourciller. Parle plus facilement d'elle-même à la troisième personne quand elle est perturbée ou émue. Mais elle s'adapte et sait se faire violence pour parler normalement quand cela lui semble nécessaire.
La créature est sautillante dans sa démarche et compense sa petite taille par une grande assurance. Sa trop grande énergie est péniblement contenue par de nombreux tics continus. Nez qui se trémousse, corps qui s'ébroue nerveusement, petits secouements de têtes incontrôlés. La kobolde peine à s'arrêter de bouger.
En outre, elle possède une peau blanche de rousse, diaphane, visible sous le couvert abondant d'un très fin duvet de pelage blanc-crème, translucide, court, brillant et qu'elle passe beaucoup de temps à soigner et lustrer. Ce velour fin et doux n'épargne que quelques zones, rares, ou s'éclaircit, sur son visage et l'intérieur de ses mains notamment.
Ci et là, sur son corps se trouve des patchs de poils caramel aussi flamboyants que ses tiffs.
Le visage de la petite chose est un mélange exogène comme tout le reste de son anatomie. Allongé, presque en museau. Bouche peu expressive, figée souvent dans un léger sourire de défi. Un rare sourire peut laisser apparaître deux incisives plus longues que le reste de ses dents, mais pas moins affutée que les pointues d'un carnassier. Son nez n'est pas saillant, au contraire, il dépasse à peine, légèrement parsemé de tâches de rousseurs, pigmenté poils de roux en son bout.
Ses yeux d'acier, au regard perçant et fin, humains, convoient quand à eux le plus ses émotions, toutes aussi humaines que son esprit et sa capacité de réflexion, affutée.

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