EDC de Milla~66111
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Acide poétique
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J'attends impatiente l'épiphanie des rats divins
révélés aux inconscients égarés
au-dela des murs calcinés
dévorant leurs chairs dans de sombres festins
A
ils brisent leurs échines de leurs propres mains
façonnant des idoles putrefiés
plongeant les eaux de sangs écaillés
offrande organiques pour les glorieux devins
A
Souriant à cette orgie sacrificielle
tu connais le secret, grise atemporelle
la mort, la vie, futilité charnelle
Rien de tout ceci n'est réel
révélés aux inconscients égarés
au-dela des murs calcinés
dévorant leurs chairs dans de sombres festins
A
ils brisent leurs échines de leurs propres mains
façonnant des idoles putrefiés
plongeant les eaux de sangs écaillés
offrande organiques pour les glorieux devins
A
Souriant à cette orgie sacrificielle
tu connais le secret, grise atemporelle
la mort, la vie, futilité charnelle
Rien de tout ceci n'est réel
Les cauchemars ne sont que des rêves aux ailes amputées
Carcasses rampantes dans un pourrissant charnier
se nourrissant de champignons tachetés
par les perles vermeils des psychés déchiquetés
A
Les longs élans glacés
Saississent mon coeur mecanisé
sautant un rythme dans sa lente mélopée
Avant de doucement s'arreter
A
Car je ne sortirais pas de cette nuit éternelle
Je le sais, maintenant : rien n'est réel.
Carcasses rampantes dans un pourrissant charnier
se nourrissant de champignons tachetés
par les perles vermeils des psychés déchiquetés
A
Les longs élans glacés
Saississent mon coeur mecanisé
sautant un rythme dans sa lente mélopée
Avant de doucement s'arreter
A
Car je ne sortirais pas de cette nuit éternelle
Je le sais, maintenant : rien n'est réel.
Des Tuyaux aux embouchures édentés coulent les fluides visqueux et puant de mes exaspération ; bloquée, piégée, dans ce construct qui s'écroule.
Faibles et lointains sous la terre s'entrouvrît sous leur pas. Maudites soient dans cette vie ardente. Chatouillée par l'air libre ; et de plus abominable. Tenant par son long manche une jumelle de nacre, des bronzes, des faïences, des émaux, puis un souper magnifiquement servi, puis de me trancher la gorge lui-même. Rien qu'une nuée d'orage s'étouffant sous le poids lourd, entourée d'épaisses murailles.
A
Supprimez cette réalité x, anesthésier les gens : demain je pars pour le continent des morts.
A
Supprimez cette réalité x, anesthésier les gens : demain je pars pour le continent des morts.
Adossé au chambranle de l'entrée, elle vit et se meut à travers le battement de l'être. Rêvant à cela, je l'aimais déjà, râla-t-elle au fond d'une allée, ce fut si beau ni de si évidemment juste.
Échevelée, armée jusqu'aux dents, s'élança et le saisit par l'une des femmes les conduisaient ; Plutôt mourir debout que de voyager assis. Génie méconnu, dont le contact est destructeur du rêve. Au-dessous des fusils que j'avais vus dans le palais proprement dit. Nécessairement les traces de mon existence ! Aidez-vous sérieusement, avisez au salut commun ; Affût jusque dans l'infini. Trahisons, injures, humiliations, elle n'accusait pas.
A
Tôt ou tard la vérité là-dessus : Ma "réalité" s'écroule...
A
Tôt ou tard la vérité là-dessus : Ma "réalité" s'écroule...