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Au quotidien (Non référencé)
Un style sombre et élégant, mêlant sobriété et robustesse.
Dans son quotidien, Medea arbore un trench noir aux lignes épurées, tombant gracieusement jusqu’à mi-mollet. Elle l’associe à un pantalon cosmopolitain usé, témoin des épreuves et des distances parcourues, et à des bottes renforcées en titane, lourdes et imposantes, témoignant d’une solidité presque intimidante.
Comme toujours, son masque NO cache l’intégralité de son visage, offrant une énigme permanente. De fines mèches blondes, éparses, s’échappent parfois et jouent avec la lumière, apportant une touche inattendue à son apparence austère. Ses mains, gantées de vaychette, révèlent subtilement son absence de majeur droit à ceux qui prennent le temps d’observer.
Dans les replis de son trench, des objets parfois aperçus renforcent l’aura singulière de Medea : la chaîne discrète d’une montre à gousset qu’elle utilise pour vérifier les cycles horaires, un paquet de cartes de jeu que certains reconnaîtront comme un outil de ses expérimentations menées plus ou moins publiquement par le biais de petites annonces, et un terminal portable qu’elle consulte pour ses messages matriciels ou autres communications. Ces détails, discrets mais significatifs, ajoutent une complexité fascinante à sa silhouette.
Sa fidèle canne à tête de mort ne la quitte jamais. Marquée par le temps, elle oscille entre utilité réelle et déclaration esthétique, créant une ambiguïté maîtrisée.
Medea conserve ses habitudes, ajustant régulièrement son masque d’un geste rapide et précis. Sa voix rauque et ses phrases sont toujours ponctuées de raclements de gorge, marquant une gravité sobre mais présente.
Dans son quotidien, Medea arbore un trench noir aux lignes épurées, tombant gracieusement jusqu’à mi-mollet. Elle l’associe à un pantalon cosmopolitain usé, témoin des épreuves et des distances parcourues, et à des bottes renforcées en titane, lourdes et imposantes, témoignant d’une solidité presque intimidante.
Comme toujours, son masque NO cache l’intégralité de son visage, offrant une énigme permanente. De fines mèches blondes, éparses, s’échappent parfois et jouent avec la lumière, apportant une touche inattendue à son apparence austère. Ses mains, gantées de vaychette, révèlent subtilement son absence de majeur droit à ceux qui prennent le temps d’observer.
Dans les replis de son trench, des objets parfois aperçus renforcent l’aura singulière de Medea : la chaîne discrète d’une montre à gousset qu’elle utilise pour vérifier les cycles horaires, un paquet de cartes de jeu que certains reconnaîtront comme un outil de ses expérimentations menées plus ou moins publiquement par le biais de petites annonces, et un terminal portable qu’elle consulte pour ses messages matriciels ou autres communications. Ces détails, discrets mais significatifs, ajoutent une complexité fascinante à sa silhouette.
Sa fidèle canne à tête de mort ne la quitte jamais. Marquée par le temps, elle oscille entre utilité réelle et déclaration esthétique, créant une ambiguïté maîtrisée.
Medea conserve ses habitudes, ajustant régulièrement son masque d’un geste rapide et précis. Sa voix rauque et ses phrases sont toujours ponctuées de raclements de gorge, marquant une gravité sobre mais présente.
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13 Décembre 2024
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