EDC de Madmax

Madmax rentrait chez lui après sa tournée habituelle des bars. Tandis qu'il flânai, repensant a la superbe elfe avec qui il avais partager cette danse inoubliable (quel déception qu'elle soit si farouche et n'aime pas coucher le premier soir...), il vis la paire de jambe d'un corps sans vie dépasser d'une ruelle.
"Encore un malheureux arrivant qui s'est fait tuer pour avoir voulu sauver les quelques crédits qu'il avais en poche", se dit il. Mais une fois arrivé a sa hauteur, il resta sans voix....

Non, non, ce n'était pas possible, il avais du boire un petit peu trop de ce nouveau rhum a base de kronatium distillé spécialement dans les caves de la Moria.

Devant ses yeux ébahis, là, couché sur le sol, se trouvais un très vieil ami a lui : Mateo. Il avaient disparu mystérieusement quatre mois auparavant. Tous le monde s’était résolu a penser qu'il était mort...

Il se jeta au sol pour lui venir en aide, posant sa tête sur sa cuisse il commença par vérifier ses fonctions vitales. OUF, il était en vie. Il lui fis même l'honneur d'ouvrir les yeux...

"Mateo... Mateo... tu m'entend? Mateo... c'est moi Madmax", lui dit il calmement.

Mateo le fixa du regard pendant de longue secondes et les mots qu'il prononça laissèrent max sans voix : " Qui êtes vous?... Ou suis-je?... Je ne me rappelle plus...ma tête... j'ai tellement mal...".

Les deux hommes restèrent la quelques instants, se fixant du regard. Un échange tiraillé entre l’incompréhension de Mateo et la peur qu'on pouvais lire dans les yeux de Max.
Son ami, avec qui il avais passé tant de bons moments. Celui qui lui avais tendu la main lors de son arrivé dans la cité. Qui lui avais fait confiance, et pris sous son aile. Cet ami la ne se souvenait même pas de son visage...

Mais Max n'était pas au bout de ses surprises. Ce qu'il vit en abaissant son regard le laissa perplexe. Des fils multicolores, qui ressemblaient a du laiton, partait de son coude et parcourait tout son avant bras. Ils se séparaient en centaines de petites ramifications, qui pénétraient sous sa peau sans avoir l'air de la transpercer, comme si ils faisaient partie intégrante de son organisme. Si c'était l'œuvre d'un humain, c'était un travail d'orfèvre...Il détourna la tête, voulant demandé a Mateo une explication rationnel a cette histoire, mais ce dernier s'était rendormi...

Max emmena Mateo en urgence a l'hôpital. Les médecins ne décelèrent aucune maladie, aucun traumatisme. Même l'appareil complexe qui lui servait maintenant de bras semblai avoir toujours été la. Mateo resta dans le Coma plusieurs semaine. Quand il se réveilla, il ne se rappelai que de son nom...