EDC de Lyseah~65378
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Cacher
Fâne
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Une année écoulée...
.Cela sonne comme une éternité. .
Se fondre dans un nouvel environnement
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.Que l’on appelle aujourd’hui, maison.
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.Leur dire ce qu’il veulent entendre, Lys’, tu es quelqu’un d’intelligente, tu sais ce que les autre veulent Alors fais le.
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Une civis comme une autre, elle qui a tellement eu
l’habitude de vouloir être au dessus..
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La musique, je joue du piano.. cela me manque mais un jour, je pense pouvoir vous en jouer ?
Une merveilleuse mélopée élevée
au point d’embrumer sa tête,
embuant les saphirs brillants posés sur eux.
Sans jamais rien attendre,
elle laisse ses souvenirs se méler
aux sons qu’elle produit,
qu’elle sent, la musique reflète
les émotions dit on.
La seule chose qui la fera pleurer
seront ce trop plein,
cette vague d'énergie qui la fait
se tordre de douleur,
la mélancolie des jours passées
la rendant marionnette,
manipulée par ses ressentis
.au point d’embrumer sa tête,
embuant les saphirs brillants posés sur eux.
Sans jamais rien attendre,
elle laisse ses souvenirs se méler
aux sons qu’elle produit,
qu’elle sent, la musique reflète
les émotions dit on.
La seule chose qui la fera pleurer
seront ce trop plein,
cette vague d'énergie qui la fait
se tordre de douleur,
la mélancolie des jours passées
la rendant marionnette,
manipulée par ses ressentis
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Non.. c’est vrai,
j’ai appris à agir,
prendre des décisions,
par moi même,
en seule discussion avec moi.
Jamais les autres n’ont dû intervenir
et aujourd’hui,
je souligne mes faiblesses,
les apprend dans la douleur,
je suis devenue d’un calme captivant,
d’une beauté froide.
J’emplis les pièces où je suis
d’un doux silence
qui me fait penser,
que je le suis toujours,
seule.
j’ai appris à agir,
prendre des décisions,
par moi même,
en seule discussion avec moi.
Jamais les autres n’ont dû intervenir
et aujourd’hui,
je souligne mes faiblesses,
les apprend dans la douleur,
je suis devenue d’un calme captivant,
d’une beauté froide.
J’emplis les pièces où je suis
d’un doux silence
qui me fait penser,
que je le suis toujours,
seule.
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Parfois elle fane…
mais ça ne veut pas dire
qu’elle n’éclorera plus.
Le feu en toi, tu le sens
à l’instant où
tu retiens ton souffle,
il souhaite
t’embraser constamment…
il n’aime pas être enfermé
au fond de toi,
alors, il tentera de te brûler.
Mais ne l’écoute pas…
malgré ça,
tes yeux sont de glace,
tu n’es pas faite pour
le laisser te manipuler
mais ça ne veut pas dire
qu’elle n’éclorera plus.
Le feu en toi, tu le sens
à l’instant où
tu retiens ton souffle,
il souhaite
t’embraser constamment…
il n’aime pas être enfermé
au fond de toi,
alors, il tentera de te brûler.
Mais ne l’écoute pas…
malgré ça,
tes yeux sont de glace,
tu n’es pas faite pour
le laisser te manipuler
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La froideur de sa couleur,
le blanc qui contient toutes les lumières du
spectre que l’on connait.
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Tu leur ressembles, tu laisses exploser tes émotions,
les laissant te guider, traçant
ton chemin.
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Ce n’est pas de l’instinct mais simplement toi…Tu incarnes toutes ces couleurs
à la fois, tes yeux se mouvent en des teintes inconnues, symbolisant
ta perte, ton enfoncement dans ce que tu penses juste,
n’écoutant que toi et ce
que tu souhaites.
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Le feu qui brûle en toi, ne s’est pas éteint… n’est ce pas Lys’ ?
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Le coeur agit
souvent par lui même,
ne suivant plus la raison.
Quand quelqu’un est jugé coupable,
Damoclès même aurait abattu l’épée,
elle n’est pourtant
pas capable d'infliger un châtiment,
la dague au fourreau,
tendre une main
et ramener ces personnes vers elle,
c’est ce qu’elle a toujours fait.
souvent par lui même,
ne suivant plus la raison.
Quand quelqu’un est jugé coupable,
Damoclès même aurait abattu l’épée,
elle n’est pourtant
pas capable d'infliger un châtiment,
la dague au fourreau,
tendre une main
et ramener ces personnes vers elle,
c’est ce qu’elle a toujours fait.
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Joue pour moi
et je t’offrirai le plateau,
là où tu iras,
j’y serais,
compagnon fidèle,
pris de pitié,
car tu es pour moi,
la reine d’un monde en ruine,
le tien,
au fond de ton âme,
où brûle les feux rebelles,
malgré ta noble apparence.
et je t’offrirai le plateau,
là où tu iras,
j’y serais,
compagnon fidèle,
pris de pitié,
car tu es pour moi,
la reine d’un monde en ruine,
le tien,
au fond de ton âme,
où brûle les feux rebelles,
malgré ta noble apparence.
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Dansant dans
un balet de poupées,
les marionnettes, versant
leurs pleurs au fond d’elles même,
ne pensant qu’à la valse,
les notes filants sous les doigts
d’un musicien invisible,
faisant tourner les coeurs,
vrillant les têtes,
embaumant la pièce
d’un exquis parfum de légèreté,
légère puissance
que le constat
qu’un coeur vide
peut encore ressentir.
Ou est ce justement
parce qu’il ressens trop ?
un balet de poupées,
les marionnettes, versant
leurs pleurs au fond d’elles même,
ne pensant qu’à la valse,
les notes filants sous les doigts
d’un musicien invisible,
faisant tourner les coeurs,
vrillant les têtes,
embaumant la pièce
d’un exquis parfum de légèreté,
légère puissance
que le constat
qu’un coeur vide
peut encore ressentir.
Ou est ce justement
parce qu’il ressens trop ?
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Vous le ressentez à présent ?
.
Une image
toute simple,
la ville, endormie
un soir de pluie.
Les lumières, rassurante,
les yeux pétillants.
Un profond sentiment
de plénitude, au point
d’en verser des larmes,
de lui faire oublier
quelques secondes
sa peine,
ses douleurs.
toute simple,
la ville, endormie
un soir de pluie.
Les lumières, rassurante,
les yeux pétillants.
Un profond sentiment
de plénitude, au point
d’en verser des larmes,
de lui faire oublier
quelques secondes
sa peine,
ses douleurs.
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Oui… .
.
A jamais
dans les ténèbres
de ce qu’il semblerait être
une longue mélodie
sans fin qui la berce,
la couvrant tantôt
d’espérance et de peur.
Je ne veux pas que tu partes
et tu es déjà si loin,
suis je censé supporter ça longtemps..?
Vous voir partir,
voler au loin,
sans que moi,
je ne puisse décoller,
toujours planté au sol,
un piano froid face à moi,
alors que les notes défilent
dans ma tête,
que je compose
pour vous.
dans les ténèbres
de ce qu’il semblerait être
une longue mélodie
sans fin qui la berce,
la couvrant tantôt
d’espérance et de peur.
Je ne veux pas que tu partes
et tu es déjà si loin,
suis je censé supporter ça longtemps..?
Vous voir partir,
voler au loin,
sans que moi,
je ne puisse décoller,
toujours planté au sol,
un piano froid face à moi,
alors que les notes défilent
dans ma tête,
que je compose
pour vous.
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Telle la reine déchue
d’un échiquier,
se retrouvant pionne
à présent,
se sentant relégué
au second rôle,
voir plus loin encore.
Elle ne joue plus aujourd’hui
mais tente à nouveau,
ce que nous faisons tous,
au quotidien,
la survie.
d’un échiquier,
se retrouvant pionne
à présent,
se sentant relégué
au second rôle,
voir plus loin encore.
Elle ne joue plus aujourd’hui
mais tente à nouveau,
ce que nous faisons tous,
au quotidien,
la survie.
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Tu as un magnifique sourire Lys’...
ne le perds pas…
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Informations sur l'article
Floraison
19 Août 2017
942√
7☆
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◊ Commentaires
-
Gasp~62046 (692☆) Le 20 Août 2017
* -
Lyseah~65378 (132☆) Le 21 Août 2017
@Persisk Jamais ! Et je sais que tu m'aimes en vrai :3 Mici pour l'étoile grand vert !
@Hallja Lys' aussi ma belle ! ♥