EDC de Lewd

Entrée numéro 3. Fama volat // La rumeur vole
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Si c’est en forgeant qu’on devient forgeron…
Alors c’est en écrivant que l’écrit-vint.
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Quelques semaines après mon arrivée, j’ai été frappée par une apathie très utile lors des longs glan(d)ages solitaires. C’est d’ailleurs à ce moment-là que le destin vint me scalper.
Un bien grand mot pour un si petit nain. Ni plus ni moins qu’une boule de nerf cherchant à faire sa place comme mille avant lui.
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Grâce à cette cuve, j’ai remboursé une dette contractée pour avoir drogué puis laissé violer une mystérieuse Kaya par Grimdur... Grimdur, le type le plus candide et naïf que j’ai pu arnaquer. J’ai bien mis une dizaine de minutes à comprendre.
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AH LA SALOPE !
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Remarque faite, c’est malin de sa part, profiter de mon départ en SR pour créer une nouvelle vérité lui a permis d’avoir à la fois l’argent et la conscience tranquille. Elle pourrait me donner des cours de manipulation, cette catin. Et 10ans plus tard, je me fais bolosser par deux-trois guignols dans les ID69K qui :
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« Tout droit sortis d’un conte de fée où les gentils tapent les méchants parce que c’est pas bien d’être méchant et les gentils ils sont gentils mais QUAND MÊME un peu con de pas vérifier que la pupute leur mentait pas juste pour se faire mousser. NOOOOON ! Nous les gentils on croit les puputes sur parole, surtout quand elles nous sucent en même temps ! »
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-MDR. Bravo Senkaya, bien joué. Je ne crois pas même que je me vengerais, sans déconner du grand art j’aurais pas fait mieux.
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Bon, pour être honnête avec moi-même, je suis bien contente que ce Khran ait eu la décence d'accepter mes preuves. Au pire, j’aurais pu et je peux toujours d’ailleurs fournir les preuves de messagerie au cercle de l’orient directement, si la borne veut bien fonctionner. Je crois que je le ferais si le sujet revient sur la table.
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Moi, droguer une femme pour qu’elle se fasse violer par un type lambda ? Déjà la femme c’est une pute. Ensuite le type, un mec innocent un peu timide qui veut juste se détendre. Et moi, je fais l’intermédiaire. C’est à peine -enfaite c’est pas à peine, car elle l’a demandé- si elle veut pas se reprendre une deuxième queue AVANT d’avoir terminé la première et empoché ces 500K. 500K MDR.
Bon OK j’avoue je l’ai un peu enculé. D’ailleurs si je recopie ma compta, ça donne :
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L = Lewd ; A = Ivey ; D = Senkaya donc oui elle a bien touché sa paye. Et j’suis tellement bonne que Ivey a eu un bonus généreux. Oui bon alors à côté, j’avoue que 2M pour juste ma présence mythique, là... Je n’y peux rien si les garçons sont un peu cons quand ils ont du désir.
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Il faudra peut-être que je lui dise un jour qu’elle a eu raison de mentir. Parce que si elle n’a pas été droguée, elle a néanmoins vendu son cul pour que je gagne 5X ce qu’elle a obtenu, et sans rien foutre. Mais bon. Agir de manière aussi vile ne me ressemble plus trop désormais.
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C’était le bon temps. Je crois que je vieillis.

Entrée numéro 4. Verba volant, scripta manent // Les paroles s'envolent, les écrits restent
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J’aime beaucoup cette phrase, Verba volant, scripta manent. Si nos mots disparaissent facilement, chacun des messages écrits reste disponible quelque part.
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J’en ai subi l’amer expérience la semaine dernière.
Cette femme m’écrivait avec une certaine passion, visiblement intéressée. J’ai fini par la voir et je me suis laissé attraper, ces bons mots m’ont soulagé et donné un peu de force pour opérer ce changement qui me hante depuis ma naissance.
D’ailleurs malgré la finalité de cette histoire, ces conseils demeurent. Le truc, c’est que j’étais un peu esseulée, cette semaine. Gros spleen qui tâche.
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Je suis devenue chiante.
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Limite harcèlement. Et elle, elle pionçait. Et de la même manière qu’avec ShibO à son arrivée en SR, mon petit cœur en mousse a pris peur devant l'absence et le non-sens des rares réponses. Limite harcèlement est devenu harcèlement. Moi-même si j’avais subi cela j’aurais pété un câble. Et trop gentille elle noyait le gnoll. J’ai beau agir bêtement, je ne le suis pas. Aussi j’ai un peu provoqué la dame et elle m’a giflé verbalement. C’était la vérité, mon éclairage déconne, je raccroche, m’excuse et me promet de trouver un moyen de me soigner.
Bonjour carnet, bonjour parade. Écrire me détend, me relire m’aidera dans les moments de doute.