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EDC de Leviathan~47056

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[Episode 2] - A n'importe quel prix ( P.1 )

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[Ambiance]



Dreadcast... Ruine d'un rêve. Quelle ironie de voir qu'en seulement une décennie et des poussières, l'utopie montée par les frères avait tournée en... Ca. Enfin, j'vais pas m'en plaindre, après tout, c'est ce qui fait tourner mon commerce... Et en parlant de commerce, une nouvelle affaire m'attends.



Je grimpe, quatre a quatre, les marches de mon vieux taudis, pour gagner mon office. "Athelson Caercium, Détective". Tu parles d'un détective, a recevoir mes clients dans un bouge infâme, mais on fait comme on peut avec l'explosion des prix de l'immobilier depuis la grande crise matricielle. Les gars préfèrent investir dans du concret maintenant.


Bref, j'me pose a mon bureau, le temps de me griller une clope, vider un peu de Skiwi, avant qu'ils débarquent. Ils sont deux, un homme et une femme, et vu leurs fringues d'un blanc pétant, ils ont les moyens... Qu'est-ce qu'ils viennent faire ici ? Allez savoir, je vais pas cracher sur un peu de crédits.


La femme est en larme, l'homme ressemble a une porte de prison. Les premiers signes d'la perte d'un être cher. Elle angoisse, il fait mine que tout va s'arranger, que c'n'est qu'un problème passager. J'imagine qu'ils doivent quand même être sacrément désespéré pour venir me voir.


J'encaisse une nouvelle gorgée, avant d'asséner les premières questions, le temps de savourer la brûlure agréable de l'alcool le long de ma gorge.



– Bien. Quel est votre problème ?
– C'est... C'est notre fille. Elle a...



Elle fond en larme. Génial. Je hais parler aux bonnes femmes, ce sont les plus émotives. Et l'émotivité, ca fait trainer les choses en longueur. Heureusement l'mari vient rapidement a la rescousse, l'instinct d'protection surement.


- Notre fille ne répond plus a nos appels depuis un peu plus d'un an maintenant.
– Ok... Je vois le genre. Avant d'aller plus loin, vous êtes sure qu'elle n'a pas simplement fugué ? Avec, je sais pas moi, un p'tit copain pas a votre goût ?
– Oh non ! Elle ne ferait pas ca ! Non !
La femme s'exclame, un regain d'vie dans son océan d'chagrin.
– Écoutez... Notre fille n'est pas une de ces... Sauvages d'Omnichron ou du Nexus. Elle est scientifique. Scientifique Impériale.



Ouch... Voila deux mots que j'aurais préféré n'pas entendre. Une scientifique Impériale perdue dans la nature, après les éventements de l'an dernier, ca sent jamais bon...


– Et pourquoi vous venez me voir alors ? Les forces de polices ne sont pas déjà sur le coup ? On parle d'une fonctionnaire d'l'Empire la.
– Non... Ils ont simplement dit qu'elle était partie sans dire un mot. Claqué la porte du jour au lendemain. Mais elle ne ferait jamais ca, notre Aemilia ne ferait jamais une chose pareil. Elle aime son travail, elle est même bonne dans celui-ci.
– Bon, bon... Ok. Avant qu'on aille plus loin, on va parler crédits. Comprenez, j'bosse pas pour rien, j'ai aussi mes propres soucis...



L'homme secoue la tête. Je peux lire le dédain dans son regard. Mais bon, j'suis pas la charité non-plus, et passer mes journées a descendre du Cafey a l'angle d'une ruelle miteuse, a filmer les crétins et leurs maîtresses pour dix milles crédits a la sauvette...
J'donnerais cher pour avoir une de ces voitures d'corporates. Mais vu le prix, autant changer de boulot.



– Nous comprenons la... Nature de votre emploi. C'est pourquoi, si vous la retrouvez... Nous sommes prêt a vous payer... Mettons, huit millions de crédits impériaux.


Huit... Millions. Le Jackpot. Même si pour ces riches ca ne doit pas être une grosse somme, tout au plus deux ou trois de ces équipements technologiques des nouveaux centres de recherche privés, c'est déjà une somme colossale pour un brave détective. Une somme qui vous fait rapidement reconsidérer la question du contrat. C'est même surement l'idée. Trouver la fille, pas de questions supplémentaires.


– Ca marche. Mais dans ce cas je veux 50% en avance.
– Hors de question ! Et si vous parez simplement avec notre arg-...
– Du calme, Megiste. Cet homme est un professionnel, il est normal qu'il négocie les termes du contrat. Mais nous n'irons pas a plus de 20% d'avance, soit un million et six-cent milles crédits d'avance. De quoi couvrir l'entierté de vos frais, non ?



La négociation ne traine pas. A dire vrai, a ce prix la, on négocie plus pour la forme, pour se sentir un petit peu en contrôle devant les grandes fortunes mais, de vous a moi, il m'avait déjà dans la poche.


– Accordé. Je commencerais dès que j'aurais reçu le premier virement.
– Nous avons déjà votre Identifiant, la somme arrivera sur votre compte dans la soirée.



Ah, la beauté de la technologie... Gloire a Philargius Arsinas, pionnier de l'administration et de la classification, loué soit ton travail reprit par les systèmes bancaires. Dire qu'avant, ils se débrouillaient a coup de trocs, et de papiers de valeur. Les pauvres.
Je serre des mains, hoche de la tête, parfait petit cinéma pour les mettre en confiance, avant de me rabattre sur mon deck Fortress une fois les portes closes. Avec un tel contrat mieux vaut encore ne pas perdre de temps.


D'une main, j'ouvre le dossier remis par les Scipio...


Aemilia Scipio, fille de Megiste et Hebron Scipio; naturelle, voila qui est rare.
Née en 29 AUC, en même temps qu'ces saloperies d'elfes. Aura rapidement gravit les échelons du gouvernement jusqu'a devenir une scientifique Impériale, une fois l'Empire établi.
Elle a visiblement travaillé un temps au Laboratoire. Disparu avant l'accident cela dit, une chance pour elle.


Dernier emploi connu : Technofficier au laboratoire Upsilon-Tech ( 132 Avenue Hérios ), dans le quartier Emperor.


Avec le dossier, une simple photo.






[Holographie : Aemilia Scipio, laboratoire Phi-Tech ( 48 AUC )]



Maigre piste.


Je glisse ma bouteille de Skiwi dans ma sacoche, clope au bec, et enfile mon imper'. Une main au tiroir de mon bureau pour récupérer mon fidèle Angk, que j'enfile a mon holster, avant de passer mon vieux trench'. Il est temps de rendre une petite visite de courtoisie a Upsilon-Tech... Hujan, que je hais ces laboratoires.


Dehors, l'air lourd comme le smog. Les tours se battent en duel a qui pourra s'accaparer le plus de la lueur filtrant a peine des nuages, quand les rues elles se trouvent baignées de la lumières des néons des façades multiples et pourtant toutes similaires.
Dreadcast n'est pas une vielle facile, et depuis quelques temps, la nourriture vient a manquer. Est-ce qu'on accueille trop de réfugiés de l'extérieur, ou est-ce que l'approvisionnement s'appauvrit, aucune idée... Mais il ne devient pas rare de voir des mendiants crever la gueule ouverte dans un caniveau. Après tout, d'ici quelques heures, ils reviendront comme neuf, avec un nouveau foie a bousiller.


Les disparitions, ca, par contre, c'est plus rare... Usuellement, il n'y a qu'les clochards qui disparaissent, ou les malheureux. Le plus souvent, ils vont simplement s'coller au frais aux centres de cryogénisation, espérant surement un avenir meilleur a leur réveil.. Mais j'doute que les Scipio seraient venus faire appel a moi si c'était aussi simple.
On m'a aussi parlé d'autres cas... Un collègue, qui avait dut retrouver un môme qui avait disparu d'la maison familiale dans le quartier du palais, avant l'grand feu. Famille riche, j'vous dit pas les emmerde. C'est avéré qu'le gosse était... "Limité", d'puis un traumatisme; j'ai pas voulu les détails sordides. S'est avéré qu'il a fini par le retrouver... Sous la ville. Bossant sur des installations très techniques. L'gamin était mort a l'intérieur. "Monitoré", qu'il disait. Pour c'que ca pouvait bien vouloir dire.


Mais la Aemilia, c'est autre chose. La fille est brillante, visiblement pas en mal de vivre ou alors ses parents n'la connaissaient pas si bien qu'ca, et elle a visiblement fait l'choix d'disparaître d'elle même. Si elle s'planque, ca va pas être simple.



Je franchis rapidement le seuil du T-cast le plus proche... Toujours bondés, ces merdes, j'suis obligé d'jouer de l'épaule pour m'frayer un chemin quand soudain, j'sens la poigne massive d'un type enserrer mon épaule.
J'm'apprête a m'tourner pour lui caler un bon coup d'coude bien senti avant d'm'arrêter, obligé d'lever la tête pour faire face a ce foutu troll.



- Pas passer devant.


La voix tonne, comme un semi-remorque de corporation. Pas la peine d'insister, il m'enverrait au Médicenter en deux bons coups de poings avant de continuer sa route, vue la carrure. J'attendrais.
Foutues meta-races... J'me souviens, quand il y'avait qu'nous autres, les humains, et pas tous ces monstres de foire. Un jour, c'est eux qui vont nous la faire a l'envers, j'vous l'dit moi.


Mais bon, aujourd'hui s'pas le jour a finir le nez en sang dans l'caniveau. J'glisse ma carte d'identité le long d'la borne du T-cast et m'glisse dans l'habitacle... T-cast de classe 3, direction l'quartier Emperor. Et en un clin d'oeil, me v'la a l'autre bout de la ville... Y'en a qui disent qu'pour ca, on meurt et on r'vient, mais jamais entiers. Manque toujours un petit quelque chose a la fin...
Chez moi, ca s'vérifie, a l'arrivée il manque simplement mon déjeuné que je suis entrain d'évacuer contre un mur a peine sorti de l'édifice. Ca me retourne toujours le ventre, les classes 3.


Mais assez perdu de temps. Je traverse rapidement des rues bien plus propres, presque aseptisées, du quartier nord de la ville, glissant le long des enseignes de centres de recherche et autres prémices de futures mega-corporations pour rejoindre l'avenue Hérios. Amusant qu'ils aient laissés le nom après ce qu'elle a fait, celle la. Finiront peut-être par le changer quand tout l'monde aura fait l'deuil des Seraf.


Finalement, j'atteins mon but. Une immense tour blanche, aux vitres teintées. Summum de la sobriété, sans aspérités quelconque si ce n'est la grande enseigne, portant fièrement le logo de la simplissime "Tech", le centre de recherche pharmaceutiquo-biologique Impérial de la vision technique du gouvernement.
A l'entrée, portes blindées et déjà quatre gardes, tous couverts de Kelvar et de fusil d'assaut, sous des airs patibulaires, a fixer les passants, observant le balais des blouses blanches.



Je m'approche, assez près visiblement pour que l'un d'eux relève sensiblement son arme, manière implicite de m'expliquer que je ne suis pas vraiment le bienvenu, tandis qu'un second s'approche en retour pour vérifier ce que je viens faire la. Il est clair qu'en brun je fais tâche dans l'paysage.



– C'est un bâtiment privé ici, monsieur. Veuillez-vous éloigner avant que nous fassions preuve d'un peu plus de force, s'il vous plait.
– Mmh, salut... Ouais, j'sais, mais le hic c'est qu'j'ai des questions a poser a vos employeurs.
– Je ne vous le redirais pas deux fois, monsieur. Si vous êtes un envoyé du Dreadcast Network, veuillez demander des pass d'accès via le réseau matriciel de votre Organisation Impériale, sans quoi j-...
– Non, non... J'suis engagé par les parents d'une d'vos employés. Aemilia Scipio. J'suis détective.
– Scipio vous dites ?



L'homme lève une main, a l'attention de son collègue derrière qui me braquait déjà avec son fusil, mordant surement d'envie de briser la monotonie de sa journée a grand renfort de balles dans le crâne d'un type passant par la, pour empoigner son com', marmonnant dedans de profil.


– Mmh. Scipio, oui. Mmh mh... Très bien, je lui dit cela. Il se tourne a nouveau vers moi. Vous êtes attendu a réception. Veuillez procéder, mais ne causez pas d'esclandre, ou vous rentrerez chez-vous par le Centre de Clonage.


La menace est clair... Tant dans les bas quartiers de la ville, j'entends souvent cette menace pour un rien, autant ici, il est sur et certain qu'ils n'y repenseront pas a deux fois avant de me cribler de balles. Après tout, ils bossent pour le plus gros gang de tous. L'Empire.


Je franchis les portiques de sécurité sous le regarde inquisiteur des gardes, avant de pénétrer dans l'immense hall d'un blanc immaculé, aux murs lisses et pavés de dalles holographiques diffusant les dernières publicités pour de nouvelles amélioration mechaniques, et autres cyber-prothèses, tandis qu'au centre trône un massif bureau en arc de cercle ou trois secrétaires accueillent divers clients; se ressemblant toutes entre elles. Peut-être des clones, ou des chirurgies esthétiques fournies par la "maison".


L'une d'elle m'alpague, d'une voix trop douce pour être naturelle, la perfection transpirant ca et la le faux, et je m'empresse de la rejoindre, l'odeur "médicale" du hall me montant déjà au nez, surement trop habitué a celle des ordures.



– Veuillez patienter ici un instant, Monsieur Pontius va vous recevoir dans un instant.
– Mmh. Parfait ? J'imagine ?



Je n'ai d'ailleurs pas vraiment le temps de considérer la chose, ou quoi dire, qu'une porte se forme dans le mur Est, habilement dissimulée par la décoration, pour laisser voir apparaître un homme... Non, un elfe, habillé d'un costume choc, aux traits fins et dissimulant fort bien son age, crinière d'argent rabattue en arrière entre ses deux longues oreilles... Et toujours cet air supérieur qu'ils abordent tous.


– Monsieur Caercium, si vous voulez bien me suivre.


Les présentations ne sont jamais le fort des officiels de l'Empire, ils préfèrent toujours la tendance du "nous savons qui vous êtes, ne faites pas trop le malin", le régime del a peur pour maintenir les gens comme moi, les "fouilles-merdes", loin de leurs affaires j'imagine.
Bref, sans attendre, le voila qui fait déjà volte-face, gagnant d'un pas leste le vaste couloir baignée de la lumière vive des néons opalins, agressant les yeux des non-initiés, pour me conduire vers un bureau a l'image du bâtiment, impersonnel.



- Veuillez-vous asseoir. Bien... Je suis Scacaerum Pontius, directeur des ressources humaines du bloc B de cet établissement. J'ai cru comprendre que vous enquêtiez sur la disparition de l'une de nos employées, mademoiselle Scipio, si je ne m'abuse ?


Le ton est neutre, a la fois formel et détaché. Ma présence ne les arrange pas, ils n'aiment jamais la mauvaise publicité que peut attirer un privé, et si la gamine est vraiment partie d'elle même, je ne risque pas d'être très bien reçu, c'est sur...


– En effet... Ses parents commencent a s'inquiéter, depuis un an sans nouvelle... Ils m'ont dit que vous leur aviez déjà fourni tout ce que vous saviez sur son départ, mais j'ai préféré venir m'en assurer.
– Une mesure de précaution inutile, j'en ai peur. Comme communiqué a Monsieur et Madame Scipio, mademoiselle Aemilia a quitté notre services il y'a maintenant près d'un an, pour des raisons qu'elle n'a pas souhaité communiquer.
– J'ai cru comprendre, oui. Vous sauriez si elle avait des... Soucis quelconque, quelque chose qui aurait pu la motiver a s'en aller ?
– Navré, Détective, mais vous comprendrez que cette installation est un laboratoire privé de l'Empire, nous ne nous attardons pas sur les petits soucis d'une employée.
– Pas même une Technofficier ? Aemilia n'occupait pas un poste "anodin" tout de même, elle était visiblement chef technique de département.
– En effet, et même une des meilleures. Mais nous ne sommes pas dans une technocratie ici, Monsieur. Être compétent n'est pas excuse pour des traitements de faveurs.



Le ton agace. Il est tout ce que j’exècre réunit en un mètre quatre-vingt dix de chair. La condescendance, l'arrogance, le génome elfe, l’embrigadé de la nouvelle ligne politique d'l'Empire depuis la mort du frère... Mais je n'aurais surement pas d'autres intermédiaires ici, autant ne pas s'attirer ses foudres.


– Oui, oui, je comprends... Puis-je vous poser d'autres questions vis a vis de mademoiselle Scipio, tant que nous sommes la ?
– Oui, mais faites vites, je n'ai que peu de temps a allouer a ces futilités.
– Pourrais-je savoir sur quoi travaillait Aemilia ? Ou a défaut, avec qui elle travaillait, pour poursuivre mon enquête ?
– Bien que la... Nature du travail de mademoiselle Scipio et de nos équipes en ces locaux soit soumise a la nature du Secret Impérial, je ne vois pas de soucis a ce que vous discutiez avec ses collègues, tant que vous ne poussez pas vos questions trop loin. Ma secrétaire vous fournira leurs adresses et détails au bureau.
– Autre chose, est-ce que vous auriez, par hasard, son Curriculum Vitae, les endroits ou elle a officier avant Upsilon ? Peut-être des lettres de recommandations ? Ah, et... Évidemment, sa dernière adresse connue, ne sait-on jamais ?
– Encore une fois, tout ceci vous sera fourni a l’accueil. Avez-vous d'autres questions ?
– Non, ce sera tout pour l'instant.



Inutile de pousser ma chance plus loin, c'est déjà plus que j'espérais de sa part. En général, ces administrations Impériales ne communiquent que très peu sur les employés, j'imagine qu'une disparition non-résolue en plus d'un an change un peu la donne tout de même, mais pas beaucoup plus.


Il me raccompagne, froidement, a l’accueil, pour que je puisse récupérer ces nouveaux documents, avant d'être bien vite raccompagné a l'entrée par le services de sécurité. Ma présence ici n'est plus souhaité, et gare a moi si j'insiste pour visiter les environs.


Au moins, c'est un début... Le premier jour de recherche sur la disparition d'Aemilia Scipio.










[Episode 2 : A suivre...]




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[Hrp : Première partie d'un épisode plus long. A vue de nez, sur trois articles environ. Voila voila !

Informations sur l'article

[Tales of Dreadcast]
05 Juin 2017
1039√  11 6

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◊ Commentaires

  • Asajj~42272 (668☆) Le 05 Juin 2017
    Han mawoui ! Faudrait jeter un oeil dans le harem d'Harlinde. Ca m'étonnerait pas qu'elle ai oublié d'ouvrir la cage d'une de ses rousses avec de disparaître. smiley

    C'est franchement sympa. Mais ça manque un peu de descriptions bien cyber pour encadrer un peu l'environnement.
    Pas que des descriptions de tons, de personnes... etc...
  • Raïne~67048 (101☆) Le 05 Juin 2017
    Je trouve que les images et l'ambiance du texte compensent bien les descriptions pour nous donner un feeling cyberpunk qui envoie! En tout cas, je suis fan! ^_^
  • Jinta (734☆) Le 05 Juin 2017
    "Faudrait jeter un oeil dans le harem d'Harlinde" .. Nan, c'est bon, passez votre chemin. smiley
  • Cryx~52202 (552☆) Le 05 Juin 2017
    j'aime bien^^
  • Asajj~42272 (668☆) Le 05 Juin 2017
    C'est vrai que les images parlent beaucoup mais elles passent presque inaperçu face au texte finalement.
    Mise à part celle qui est directement reliée, la rouquine scientifique.

    Enfin, c'est mon point de vue !
  • Roleda~61623 (37☆) Le 06 Juin 2017
    Je veux la suite !