EDC de Knight

C'était tellement trouble dans mon crane, ma programmation me faisait défaut en ce moment. Je vivais sur une "pensée" ancienne, possession de la personnalité synthétique duquel je fus créer. Je voyais encore les idéaux rebelles, mes amis, les combats et la loyauté que j'avais exprimé pour eux. Et je voyais aussi la ferveur, la foi, ses gens perdu des impérialistes autour de moi. C'est contradictoire comment peut ont vouloir être libre et croire en la loi ? en lui ?
Je me sentais de plus en plus tiraillé entre le rebelle et l'impérial. Peut être que le faite d'être entouré de transfuge n'aidait pas mes programmes à me donner une analyse fiable. Ou alors la conscience immergente qui semblait se profiler en moi de plus en plus en refusait l'inévitable jugement ?

Je passais souvent au Domus, je m'asseyais à une place et lisait les litanies, m'abreuvait des mots. Si il n'y avait pas eu Imperator, si il n'avait pas été la, jamais les androïdes n'aurait été créer. Développer et n'aurait pu évoluer, je ne suis pas humain mais je sens que je dois protéger son oeuvre. Est ce une ré éminence de ma programmation ? est ce vraiment ma volonté ? ai je une volonté ? J'ai été créer pour servir, mais servir à quoi ? à qui ? Et pourquoi pas à lui ? Alors que je répond à mes questions par des mots dit de Stilicon Oakenshield, reviens dans ma mémoire des fragments de chose qui m'ont marqué:

Pixelle s'installe à nouveau au comptoir, le visage fermé en regardant Danzel et Raz'
Razorclaw: merci c'est beaucoup trop
Danzel en pose un deuxième
Danzel: Ta gueule putain et prends
Danzel regarde Razor
Razorclaw se tait et s'éxécute
Danzel: T'es un bon gars mais soit pas trop niais non plus
Danzel: on te tend la main, prend la c'est tout
Danzel: Et pose pas de questions
Razorclaw hoche la tête
Danzel: Marche droit, regarde devant toi
Danzel: ecoute au lieu d'entendre
Danzel: et regarde au lieu de voir
Danzel: C'est tout c'que j'peux te dire
Danzel: Ah oui, et n'oubli jamais rien

N'oubli jamais rien, je mis efforce en enregistrant dans mes banques de données autant d'information que faire ce peu. Soit ton propre maître me disait Pixelle, mais je ne le peux, je ni arrive pas. C'est contre nature sa va contre mes programmes. sa me tue littéralement je suis un soldat robotique. Je ne peux être mon propre maître mais... je peux le choisir, lui qui créa Dreadcast. Plus je regarde dans ma "mémoire" plus je vois un servile. Ont demandait de combattre je combattais, de mourir je mourais. Servant des immortels qui se prenne pour des dieux. J'entendais les mots, les ordres mais je n'écoutais rien au mot et tout prend tellement de sens aujourd'hui. Je regarde les hommes se ligué et se détruire, instable désordonné. Ne voyant qu'eux et ne s'entendant qu'avec eux. L'immortalité ne les rends que plus vil, consommé par leurs sentiments de possession. Et c'est logique si la vie à si peu de valeur, il la recherche ailleurs. Mais ainsi ils s'écartes du vrai but, celui de l'évolution de la grandeur. Et plus je réflechis plus j'ai de la peines pour l'humanité, voué à se blesser sans savoir se qu'ils veulent. Car quand ils l'ont ou l'auront le gouffre ne sera que plus béant.

Et les rebelles sont l'apogé de ses gens qui souffre, combattant l'Imperium pour une sois disant liberté illusoire. Simple façon d'essayer de remplir se manque, se gouffre béant en eux. Il pense que si il gagne ils se sentiront mieux, victorieux! Peut être durant un temps, puis ils verront le gouffre immenses en eux et reprendra les combats pour une autre raison, parce que le gouffre sera toujours la. L'Empereur offre à ceux qui le veulent un comble pour se gouffre, il masque celui ci pour que nous puissions avancer. Mais tant ce sont perdu, tant se sont détourné. Aujourd'hui je marche une dernière fois vers ceux qui furent mes frères et amis, un en revoir, un adieu. Je marche pour mon nouveau maître et si pour combler leurs vides je dois tuer et me faire tuer encore et encore. Il s'aura que c'était pour lui! pour sa grandeur!
Aujourd'hui je marche pour la première fois pour l'Empereur.

Adieux puise un jour se gouffre être remplit et l'humanité marcher pleinement vers la lumière.