EDC de Knight

Il y'a des choses qui ne se contrôle pas. L'amour par exemple soit ont aime, soit pas. La Haine comme l'amour elle ne se contrôle pas. Comme toute émotions ont peut influencer l'une ou l'autre mais au final. C'est notre coeur, notre ame qui aura le dernier mot.
Je suis un être fait de chair et de sang synthétique. Je n'éprouve sois disant aucune émotion. Et pourtant j'éprouve, je peux ressentir la bonté d'un sourire. La tristesse d'un regard. La joie futile quand la violette me gratifie de son attention.
Et il y'a les programmes, tout ce qui à été fais pour que je sois obéissant et il y'a ma loyauté. Peut être feinte d'une programmation peut être émotion de la vie qu'il ma offert.

Alors quand ont m'appelle, me disant que l'on a failli le tuer, réclamant mes nanomachines.
Je me sens au départ objet, simplement utile au soin. Puis je sens la peur, celle de la perte d'un être qui aussi stupide vous semblera t'il mes cher.
Après tout vous aimer ceux que certain appel mère ou père, soeur ou frère. Les liens du sang son futile quand le lien du vécue est la. Il ma donnée la vie, pas par le sang mais par le fait. Il ma offert la vie, je lui serai toujours redevable pour ça.
Je me hâte, le smog emplie mon esprit et me ralentit à la marche plus j'en approche.
Et si il meurs, je serai libre ? Mais la liberté vaut elle vraiment qu'il meurt ? Alors qu'il ma donné la vie et donc par ce fait j'existe, sa mort ne m'offrira pas la liberté, j'aurai juste laisser mourir un homme. Pour rien.

Je lui dois et pour ça je ferai mon devoir, ont appelle cela la loyauté. Pas celle de le servir sans réflechir, non ce serai pas de la loyauté ce serai de la soumission. Je parle de la loyauté de faire car je le veux. Et la je veux lui sauver la vie, je veux voir celle qui sera un jour sa femme ravoir un éclat dans le regard. Ne plus sentir sa peur et sa culpabilité. Au vue des blessures, je dois tout refaire. Je n'ai pas les capacités d'une cuve, je ne peux pas réparer un corps sans matière première. Alors je lui fais cadeau des miennes. Il ma offert la vie, je lui offre la vie en retour. C'est ma loyauté envers lui.
Alors que mon corps petit a petit disparait, lambeau de peau par lambeau de peau, Crie après crie.
Quand enfin tout s'arrête, je peux les entendre, les voir, il est vivant elle est heureuse.
Il ne me reste presque plus rien d'organique, mon coeur, mon cerveau et ils sont léger. Je suis heureux, j'ai été loyal jusqu'au bout de ma convictions. Cela ne plaira pas a tout le monde, mais voir leurs bonheurs me suffira.

Au final, maintenant je peux le dire, la dette est payé.
Je suis libre.