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EDC de Kinchaka~27073

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Chérie, je retourne en cuve (2/2)

La musique continuait à tourner dans un recoin , entre deux pensées de la vautourde.
[art=http://www.dreadcast.net/EDC/Kinchaka/Article=5226]Elle poursuit son chemin et ses pensées à la recherche d’exemples plus grotesques que les précédents...[/art]
Un mari rentre chez lui se dépêchant de filer vers la cuisine pour expliquer la raison de son retard, car oui il est en retard.
Il tente donc d'expliquer bien comme il faut à sa Tendre que des Orcs lui sont tombés dessus au coin d'une rue, le laissant pour presque mort, ce qui a donc entraîné une perte de temps.
La femme furieuse va reprocher à son homme d'être une fois de plus à la bourre, que par sa faute le dîner est froid et qu'elle voudrait bien comprendre comment il se démerde pour se faire sans cesse agresser.
Il pourrait quand même se débrouiller pour pas mourir...
La dispute perdure et à moins que l'époux ne se soit pas fracassé le crâne en se coinçant la tête dans la porte du frigo , vient peu à peu l'heure d'aller au plumard.
Alors si on était toujours ajourd'hui (encore que), surtout que depuis le fait que l'Impérium a jugé utile de produire des lits , se rendant compte après maintes études que les comptoirs de bar et autres sièges n'étaient pas forcément adaptés pour le sommeil, la femme dira la chose suivante :
- Ce soir t'as gagné, tu dors sur le canapé.
Mais , dans le futur elle dira :
- Ce soir t'as gagné tu dors en cuve...
Elle sortira sur ses dires un flingue plasma qu'elle a vu dans une pub pour les femmes de foyer parfaites, et ajoutera avant de tirer pendant que le mari essayera encore par quelques gazouillis de défendre sa pomme:
- ... Et tu nettoiera en rentrant !
Bah oui quand même c'est la moindre des choses, et le mari aura tout le loisir de réfléchir à son comportement pendant qu'il marinera dans son aquarium , duquel de toute façon il ne pourra sortir que le lendemain matin , vu que c'est sa tendre moitié qui aura programmé le temps de "lavage".
Nouvel arrêt, cette fois l'emplumée se plante devant un établissement dont la lecture du nom lui a d'abord fait penser à un repaire de catins..."L'Antre des Anges".
Elle continua à suivre la vie imaginaire du pauvre père de famille qui après s'être fait faire un trou dans le crâne est allé le remplir avec tout plein d'alcool.
Le pauvre bougre mal aimé sort donc du rad', rond comme une queue de pelle , et s'écrase dans la poussière.
En vain il essaye d'abord de reconnaître quelques signes distinctifs devant lui lui permettant de se rappeler d'où il est venu et surtout où il a finit.
Pas évident quand on a la tête contre le bitume...
Il se remet donc assis avec la même grâce qu'un Troll en tutu , et plisse les yeux, la vue troublée , pour essaye de lire le nom du bar.
Les lettres semblant danser devant ses yeux
Il abandonna , s'arrêtant sur le "N" après avoir essaye de lire de droite à gauche.
Furieux contre ses propres yeux , il lança un
"Mais qu'est-ce où je suis, fout là...?"
Après s'être donc demandé à voix haute où qu'il était sans trouver de réponse , il sortit sa carte, qui par malchance n'avait pas résisté au vomi de skiwi.
Alors plutôt que de brayer des insultes à tout va pour attirer l’Inquisition ou les flics pour dormir en prison, voir même crécher dans le froid glacial , il fouilla dans son sac pour sortir un vieux 9mm.
Mais , hésitant sur la précision de ses gestes , il demande gentiment à un passant de le ramener chez lui en lui tendant son arme.
Paf donc le passant à l'âme charitable l'envoie dans le centre de clonage le plus proche.
Résultat ?
Lavé, propre, même pas bourré, marchant sur ses deux jambes et aucune trace de la soirée qu'il a passé, mis à part peut être son porte-crédit qui se vida de l’équivalent de ses 3 dernières journées de travail.
Puis on pourrait même , après tout , avoir des cuves à la place des douches chez soi !
Plus la vautourde trimballait sa carcasse, tellement légère qu'en fait un coup aurait vite de la faire s'envoler mieux que son engin, plus l'aberration gagnait ses pensées ....elle fit de grand yeux bien ronds...
Et s'ils arrivaient vraiment à faire ça ces cons ?
Jouant des griffes dans sa chevelure , elle arriva à une conclusion : pour sauver ce qui reste d’intéressant dans cette ville , va falloir aller faire exploser tous les scientifiques...puis bon , on devrait bien au passage leurs coller quelques griefs de plus.
Mais les scientifiques pourront toujours se cloner...oh bordel va falloir beaucoup de grenades...
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Bon la publication a prit légèrement plus de temps que prévu dû aux fêtes, sorry !

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