EDC de Junne~1768
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Elle l’a sut, elle l’a sentit, avant même de le voir. Elle est restée de marbre pendant tout le temps que dura l’opération, s’activant à sa tache le visage figé, sans expression. Une fois tout terminé, c’est calmement qu’elle traversa la ville jusqu’au bar et se prit deux bouteilles. L’alcool monte, la réalité apparait ainsi que la prise de conscience.
La nuit est tombée sur la ville et elle marche, elle court presque, donnant des coups d’agri à qui la croise. Elle se fou de savoir que c’est mal, qu’elle doit se calmer, qu’elle risque la prison ou même de se faire tuer. Elle n’en a rien à faire, ses yeux voient rouge, ses dents sont serrées, sa respiration rapide. Elle n’a pas finit, elle n’est pas calmée et la ville défile sous ses pas.
Il est mort, la laissé, abandonné. Il n’avait pas le droit, la mort n’avait pas le droit de lui prendre ! Ses doigts se resserrent sur son agri. Ils ne font qu’un, elle décide, il frappe.
Ses pas la conduisent dans une rue faiblement éclairée, du bruit se fait entendre sur sa gauche et elle se retourne son arme dans ses mains. Une ombre s’approche, elle s’approche, plus près, encore plus prés. Sa vision est quelque peu voilée par le sang sur son visage mais elle est prête à frapper, encore.
L’ombre passe à la lueur d’un réverbère et elle se stop net. Il est jeune, il est blond. Elle n’a pas vu son visage mais elle ne peut pas, elle ne peut plus, c’est trop. Ses yeux regardent ses mains tremblantes sur l’agri couvert de sang. Elle relève la tête mais l’ombre à déjà disparut. Elle regarde à droite, à gauche mais rien, plus rien, c’est finit. FINIT. Sa lèvre tremble, ses yeux se voilent et les larmes coulent et tracent des sillons sur ses joues pleines de sang séché. Elle repart en courant, en direction de chez elle cette fois-ci. Elle pleure, s’essuie le visage d’une main ne réussissant qu’à étaler encore plus le sang. Elle doit faire peur à voir.
Elle tourne une dernière fois, bouscule au passage et entre chez elle. Elle claque la porte et jette son agri à travers la pièce criant sa rage et sa douleur. Elle n’en peut plus, elle a mal, trop mal. La gamine se dirige instinctivement vers sa salle de bain, ouvre le placard et sort ce qu’elle a besoin avant de retourner dans le salon. Garrot. Bras. Une dose. Deux doses. Elle s’allonge doucement sur le tapis laissant la drogue faire effet dans son corps. Celle-ci passe doucement dans ses veines et la gamine se calme doucement, anesthésiée, couchée en boule. Ses larmes continuent de couler et elle ferme les yeux….
Il est mort, la laissé, abandonné. Il n’avait pas le droit, la mort n’avait pas le droit de lui prendre ! Ses doigts se resserrent sur son agri. Ils ne font qu’un, elle décide, il frappe.
Ses pas la conduisent dans une rue faiblement éclairée, du bruit se fait entendre sur sa gauche et elle se retourne son arme dans ses mains. Une ombre s’approche, elle s’approche, plus près, encore plus prés. Sa vision est quelque peu voilée par le sang sur son visage mais elle est prête à frapper, encore.
L’ombre passe à la lueur d’un réverbère et elle se stop net. Il est jeune, il est blond. Elle n’a pas vu son visage mais elle ne peut pas, elle ne peut plus, c’est trop. Ses yeux regardent ses mains tremblantes sur l’agri couvert de sang. Elle relève la tête mais l’ombre à déjà disparut. Elle regarde à droite, à gauche mais rien, plus rien, c’est finit. FINIT. Sa lèvre tremble, ses yeux se voilent et les larmes coulent et tracent des sillons sur ses joues pleines de sang séché. Elle repart en courant, en direction de chez elle cette fois-ci. Elle pleure, s’essuie le visage d’une main ne réussissant qu’à étaler encore plus le sang. Elle doit faire peur à voir.
Elle tourne une dernière fois, bouscule au passage et entre chez elle. Elle claque la porte et jette son agri à travers la pièce criant sa rage et sa douleur. Elle n’en peut plus, elle a mal, trop mal. La gamine se dirige instinctivement vers sa salle de bain, ouvre le placard et sort ce qu’elle a besoin avant de retourner dans le salon. Garrot. Bras. Une dose. Deux doses. Elle s’allonge doucement sur le tapis laissant la drogue faire effet dans son corps. Celle-ci passe doucement dans ses veines et la gamine se calme doucement, anesthésiée, couchée en boule. Ses larmes continuent de couler et elle ferme les yeux….
A côté d’elle, toujours ouvert, son livre de médecine, lettre B, Borderline.
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