EDC de Junne~1768
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Welcome Gnolls
Les gnolls, bêtes repoussantes dont elle avait la sainte horreur.
Tout avait commencé quand elle avait vu, par le biais des caméra de surveillance de son hôpital, le médecin du CM utilisait une de ses salles, pas du tout adaptée pour d’ailleurs.
Elle l’avait vu, face à son patient, faire de multiples opérations à coups de seringue. N’étant pas présente avec eux elle ne savait pas exactement de quoi il s’agissait mais elle avait rapidement sut que ce n’étais pas pour une simple crise d’anémie en apercevant le patient transformé en bête quelques heures plus tard, au coin d’une rue.
Son sang se glaça et au même moment elle se souvint d’un message qu’elle avait reçut quelques jours plus tôt au sujet d’une bête qui était apparu et qui avait attaqué le CM.
On lui avait demandé de venir examiner la chose qui avait put être barricadée dans une des cellules de la prison mais étant exténuée et s’étant quand même assurée que la bête était sous contrôle, elle avait repoussé l’examen au lendemain matin.
Malheureusement, la bête était morte dans la nuit et aucun prélèvements ou examens n’avaient put être fait. Du moins, à sa connaissance.
Se faufilant donc rapidement dans les rues pour éviter de se faire repérer par le patient nouvellement muté, elle était rentrée chez elle, croisant les doigts pour que ce soit la seule fois où elle verrait ça. Le destin en décida autrement.
C’était un soir, elle était encore à sa boutique d’arme quand elle reçut un message..
Tu sais effectuer un transfère de black box ?
Un petit message qui en déclencha d’autres et qui, malgré sa grande réticence, la firent venir jusqu’au centre de clonage. Elle était médecin, elle devait y aller, même si ce n’était que pour surveiller des constantes.
Entrant dans le bâtiment, elle vit, l’elfe, du moins en apparence, le vautour, l’humaine et la mutante. Tout les 4 l’attendaient pour commencer, se préparant chacun de leur côté.
Un bref signe de tête pour saluer et la jeune femme se plaça contre le mur, bras croisés, sur la défensive, attendant qu’on lui explique le déroulement de ce qui allait suivre. Elle n’aimait pas être là et le faisait savoir par son impatience à commencer. Plus vite ça démarrerait, plus vite elle serait partit.
La mutante agaçait par son impatience, donna le signal et tout le monde se mit au travail. Le vautour partit en salle des commandes, l’humaine s’installa dans un coin en simple spectatrice, l’elfe prit son matériel et injecta une dose à la mutante. Celle-ci tomba dans les vapes et Junne la rattrapa dans un grognement, l’allongeant ensuite sur une table avant de fixer son regard sur l’écran de contrôle des constantes.
Entrant dans le bâtiment, elle vit, l’elfe, du moins en apparence, le vautour, l’humaine et la mutante. Tout les 4 l’attendaient pour commencer, se préparant chacun de leur côté.
Un bref signe de tête pour saluer et la jeune femme se plaça contre le mur, bras croisés, sur la défensive, attendant qu’on lui explique le déroulement de ce qui allait suivre. Elle n’aimait pas être là et le faisait savoir par son impatience à commencer. Plus vite ça démarrerait, plus vite elle serait partit.
La mutante agaçait par son impatience, donna le signal et tout le monde se mit au travail. Le vautour partit en salle des commandes, l’humaine s’installa dans un coin en simple spectatrice, l’elfe prit son matériel et injecta une dose à la mutante. Celle-ci tomba dans les vapes et Junne la rattrapa dans un grognement, l’allongeant ensuite sur une table avant de fixer son regard sur l’écran de contrôle des constantes.
L’opération pouvait commencer.
Elle se déroula sans encombre jusqu’à ce qu’ils arrivent. Apercevant les deux bêtes à la porte de la salle, Junne se crispa et recula instinctivement. Les gnolls la terrorisaient et là, les voyant devant elle, plus rien n’existait.
Attrapant son com dans sa poche arrière, elle tapa le plus discrètement possible un message et l’envoya.
s.o.s
clonage
gnolls
clonage
gnolls
Pas le temps de respirer que son cœur s’arrêta quand elle en vit un sauter sur le vautour puis sur l’humaine les achevant tout les deux ; puis se fut son tour. Elle se prit la bête de pleins fouet sans rien comprendre, trop paralysée par la peur pour se défendre. Le gnoll la jeta à terre à demi-consciente. Ses yeux eurent à peine le temps de voir les bottes de l’aide qu’elle avait appelé que le deuxième gnoll l’attrapa à son tour et la balança contre le mur pour finir par l’achever.
Elle était morte sous les griffes et les crocs. Elle était morte terrorisée. Elle était morte tout simplement.
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14 Août 2012
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