EDC de Joyce
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Cacher
Xibalbá
"Où est-il..?"
Quelques mots. Ces quelques mots, n'étaient ni plus ni moins que ceux qui chaque matin, hantaient son esprit. Où, est-il ? Voilà qui était une bonne question. Et pour y répondre, rien de mieux que de se plonger dans cette routine meurtrière.
Vérifier ses armes, comme chaque matin. Puis, ses chargeurs ; Il fallait faire attention, varier les munitions. Une cartouche pour optimisé la pénétration balistique, une seconde traçante, les unes après les autres. Vérifier le système interne du fusil afin d'éviter le moindre enrayement, la plus infime des poussières pouvait être fatale, au mauvais endroit. Ainsi, l'immensité Monstrueuse s'adonnait à sa tâche minutieuse, chose peu aisée mais effectuée avec toute la passion qu'elle pouvait éprouver pour son Art. C'est ainsi qu'elle surnommait son activité de prédilection ; Sa raison de vivre, de respirer.
Recourbée de tout son être, elle se tenait au centre de son Antre. Là où les effets personnels des manants avaient été abandonnés.. Ou plutôt était-ce la vie, que ces manants avaient perdus en squattant le mauvais taudis, au mauvais moment. Un digicode n'était même plus nécessaire ; Les passants n'osaient même plus emprunter le trottoir menant chez elle. La Peur habitait les penauds, et c'était bien mieux ainsi. Certains avaient perdus la vie, à vouloir défendre leur squat favoris pour découvrir de nouvelles sensations.
Elle avait décidé d'en faire son Antre. Lorsqu'elle décidait quelque chose, elle parvenait toujours à ses fins.
Aucun Rebelle n'irait s'attardé sur la disparition de quelques clanpins, au risque de disparaître à son tour, n'est-ce pas ?
Le lieu glauque respirait la Mort. Sans doute était-ce dû aux multiples cadavres en décomposition derrière la porte de gauche. Elle appréciait cette odeur, celle de la chaire putrifiée après avoir écoulé jusqu'au dernier centilitre de sang restant. Tel était son quotidien ; Chaque arme subira une révision forcée. Chaque arme sera démontée jusqu'à la dernière, puis remise en état comme neuve. Tel était la Loi qui régissait son Art. L'unique Loi dans sa vie, avait pour but d'offrir une Mort d'exception à sa proie. Peut-être était-ce trop, pour ceux qu'elle nommait de 'sous-race'. Ils n'étaient qu'un vague entraînement, une simple remise en forme, de quoi maintenir à l'affût ses sens de Prédateur sanguinaire.
Enfin, dans cette routine, son communicateur venait la sortir de ses dernières vérifications.
Vérifier ses armes, comme chaque matin. Puis, ses chargeurs ; Il fallait faire attention, varier les munitions. Une cartouche pour optimisé la pénétration balistique, une seconde traçante, les unes après les autres. Vérifier le système interne du fusil afin d'éviter le moindre enrayement, la plus infime des poussières pouvait être fatale, au mauvais endroit. Ainsi, l'immensité Monstrueuse s'adonnait à sa tâche minutieuse, chose peu aisée mais effectuée avec toute la passion qu'elle pouvait éprouver pour son Art. C'est ainsi qu'elle surnommait son activité de prédilection ; Sa raison de vivre, de respirer.
Recourbée de tout son être, elle se tenait au centre de son Antre. Là où les effets personnels des manants avaient été abandonnés.. Ou plutôt était-ce la vie, que ces manants avaient perdus en squattant le mauvais taudis, au mauvais moment. Un digicode n'était même plus nécessaire ; Les passants n'osaient même plus emprunter le trottoir menant chez elle. La Peur habitait les penauds, et c'était bien mieux ainsi. Certains avaient perdus la vie, à vouloir défendre leur squat favoris pour découvrir de nouvelles sensations.
Elle avait décidé d'en faire son Antre. Lorsqu'elle décidait quelque chose, elle parvenait toujours à ses fins.
Aucun Rebelle n'irait s'attardé sur la disparition de quelques clanpins, au risque de disparaître à son tour, n'est-ce pas ?
Le lieu glauque respirait la Mort. Sans doute était-ce dû aux multiples cadavres en décomposition derrière la porte de gauche. Elle appréciait cette odeur, celle de la chaire putrifiée après avoir écoulé jusqu'au dernier centilitre de sang restant. Tel était son quotidien ; Chaque arme subira une révision forcée. Chaque arme sera démontée jusqu'à la dernière, puis remise en état comme neuve. Tel était la Loi qui régissait son Art. L'unique Loi dans sa vie, avait pour but d'offrir une Mort d'exception à sa proie. Peut-être était-ce trop, pour ceux qu'elle nommait de 'sous-race'. Ils n'étaient qu'un vague entraînement, une simple remise en forme, de quoi maintenir à l'affût ses sens de Prédateur sanguinaire.
Enfin, dans cette routine, son communicateur venait la sortir de ses dernières vérifications.
"Du mouvement en face, potentiellement en sous-terrains."
Pas une seconde à perdre ; La forteresse sur patte était déjà en route. Poussant les quidams sans une once d'empathie ; Certains se cassaient peut-être des os, et alors ? Ils n'étaient rien d'autre que du bétail. Quelques bandanas rouges défoncés plus tard, et la Mort parcourait déjà ces terres à l'odeur immondes qui rappelait la vraie nature de l'Homme. Ses pattes créaient des traces de son passage, dévalant couloir après couloir, esquivant les quelques créatures locales qui avaient élus domicile dans ce lieu si hostile. Si hostile, et pourtant si faible à la fois.
Quelques secondes plus tard, la Proie était en vue. Récoltant un maigre buisson, regardant de gauche à droite avec un air apeuré sur le visage, comme-ci elle savait.. Elle savait, en réalité, ce qui allait se produire avec sa pauvre et malheureuse carcasse. Quelle audace, celle de fouler Son terrain de chasse.
Une fraction de seconde plus tard, et cette pauvre kobold avait déjà un canon braqué sur la nuque, expulsant dans un tir unique une balle, mortelle.
. . . .
Puis, le silence. Quelques cristaux échoués au sol, dans un élan vain pour soutirer ce qu'il restait du buisson, bien vite accompagné d'un cadavre tout frais aux gargouillis trahissant les dernières secondes de vie. Ces borborygmes, un méli-mélo d'ultime souffle de vie apeuré, et de sang coagulant dans sa trachée.
Le Monstre ne prenait même pas la peine de finir ce qu'il restait du buisson ; Peu lui importait, elle n'était pas là pour ça. Les crédits, les biens, les possessions .. Quel intérêt, son but était simple, clair, précis. Chaque Mort gracieusement octroyer par son Art la rendait confiante, un peu plus. Escaladant ses envies de meurtre, de sang.. Un mauvais pas ; Une perte d'attention rapide, brève, qui l'emmènera loin l'espace d'un instant.
Ce pas, dans le cadavre encore frais mais bien inerte de cette kobold. Les os qui craquent sous son poids, le sang et les entrailles qui dans une symphonie s'expriment en cœur pour exprimer la douleur. Un souvenir similaire lui revint en tête : Les cadavres. Les explosions, cette tranchée vivante. Là où les morts ne le sont qu'un instant, pour basculer du côté ennemi. Les Gnolls, les abominations, et autres créatures que l'Homme n'aurait jamais pu imaginer, mais qu'il qualifierait comme les siens ; D'Ennemi de l'Humanité. Ce gaz qui lui remonte jusqu'aux nasaux, ce goût métallique prononcé alarmant ses papilles, dégoulinant le long de son menton poisseux. Les tirs, les rugissements qui se transforment en ultime souffle éreinté de vie.
Tout ça lui revint, d'un coup ; Après tout, il était difficile d'oublier les Proies ratées.
Un bref égarement, qui aurait pu lui coûté chère. Elle le savait, en jubilait même. Cette sensation d'être Immortelle, désormais était grisante, mais rendait faible, rien de plus qu'un fait. A croire que la Guerre, que cette tranchée vivante lui manquait. Sentir la Mort partout jusqu'à ses propres entrailles où les côtes n'étaient plus à leur place après quelques tirs de mortiers.
Mais il était désormais temps de quitter la scène. Retourner dans son Antre, reprendre sa routine.
Jours après jours, proie après proie, chacune d'entre elles finissaient par mordre la poussière. Ces visions d'horreur lui procuraient des sensations incomparables ; La Mort. Répandre sa parole aux travers des têtes vidées, des corps abandonnés par l'essence de la vie, jusqu'aux plus fervents défenseurs d'une cause qu'ils estimaient comme étant juste.
Il n'y'a aucune justice, sur cette planète. Le Monstre en était conscient, et y veillait bien fermement.
Quelques secondes plus tard, la Proie était en vue. Récoltant un maigre buisson, regardant de gauche à droite avec un air apeuré sur le visage, comme-ci elle savait.. Elle savait, en réalité, ce qui allait se produire avec sa pauvre et malheureuse carcasse. Quelle audace, celle de fouler Son terrain de chasse.
Une fraction de seconde plus tard, et cette pauvre kobold avait déjà un canon braqué sur la nuque, expulsant dans un tir unique une balle, mortelle.
Puis, le silence. Quelques cristaux échoués au sol, dans un élan vain pour soutirer ce qu'il restait du buisson, bien vite accompagné d'un cadavre tout frais aux gargouillis trahissant les dernières secondes de vie. Ces borborygmes, un méli-mélo d'ultime souffle de vie apeuré, et de sang coagulant dans sa trachée.
Le Monstre ne prenait même pas la peine de finir ce qu'il restait du buisson ; Peu lui importait, elle n'était pas là pour ça. Les crédits, les biens, les possessions .. Quel intérêt, son but était simple, clair, précis. Chaque Mort gracieusement octroyer par son Art la rendait confiante, un peu plus. Escaladant ses envies de meurtre, de sang.. Un mauvais pas ; Une perte d'attention rapide, brève, qui l'emmènera loin l'espace d'un instant.
Ce pas, dans le cadavre encore frais mais bien inerte de cette kobold. Les os qui craquent sous son poids, le sang et les entrailles qui dans une symphonie s'expriment en cœur pour exprimer la douleur. Un souvenir similaire lui revint en tête : Les cadavres. Les explosions, cette tranchée vivante. Là où les morts ne le sont qu'un instant, pour basculer du côté ennemi. Les Gnolls, les abominations, et autres créatures que l'Homme n'aurait jamais pu imaginer, mais qu'il qualifierait comme les siens ; D'Ennemi de l'Humanité. Ce gaz qui lui remonte jusqu'aux nasaux, ce goût métallique prononcé alarmant ses papilles, dégoulinant le long de son menton poisseux. Les tirs, les rugissements qui se transforment en ultime souffle éreinté de vie.
Tout ça lui revint, d'un coup ; Après tout, il était difficile d'oublier les Proies ratées.
Un bref égarement, qui aurait pu lui coûté chère. Elle le savait, en jubilait même. Cette sensation d'être Immortelle, désormais était grisante, mais rendait faible, rien de plus qu'un fait. A croire que la Guerre, que cette tranchée vivante lui manquait. Sentir la Mort partout jusqu'à ses propres entrailles où les côtes n'étaient plus à leur place après quelques tirs de mortiers.
Mais il était désormais temps de quitter la scène. Retourner dans son Antre, reprendre sa routine.
Jours après jours, proie après proie, chacune d'entre elles finissaient par mordre la poussière. Ces visions d'horreur lui procuraient des sensations incomparables ; La Mort. Répandre sa parole aux travers des têtes vidées, des corps abandonnés par l'essence de la vie, jusqu'aux plus fervents défenseurs d'une cause qu'ils estimaient comme étant juste.
Il n'y'a aucune justice, sur cette planète. Le Monstre en était conscient, et y veillait bien fermement.
"Ils viennent p't'être ce soir, l'information doit être transmise."
Quel pied. Les Proies, ainsi se rebellaient ? Le sort peut-être bien des choses, mais il est ironie avant tout. La routine s'intensifiait, le patch d'oxylion était mit de côté, et sortant enfin de son Antre, elle rejoignait ses compagnons d'armes. Certains d'entre eux avaient même tenu sa propre puce, entre leurs doigts. Plus d'une fois la vie avait quitté son enveloppe sous leurs yeux ébahis, jusqu'à ce que l'habitude prenne le pas. Mais, ce soir, l'ennemi demandait à rendre des comptes. Les informations fusaient, mais la Mort, elle, se contentait d'attendre son heure. D'attendre ses proies.
. . .
Chose qui ne fut pas long à attendre ; En une fraction de seconde, le SAS fut fracturé, les tirs débutèrent dans un orchestre assourdissants. Les ordres partaient, les cadavres commençait à s'amasser, tandis qu'elle, se contentait d'ouvrir les feux. Les balles traçantes ainsi œuvraient : Offrant des corrections de tir presque létales sur ses adversaires. La joie venait enfin poindre le bout de son nez dans l'esprit malade de la Gnoll. Voir la Mort, côtoyé celle-ci chaque instant où un mauvais pas peut-être fatal, tout ça était jouissif. Remarquer, comme lors d'une période sombre, des murs d'Impériaux s'amasser afin de retenir la fuite.. La fuite, elle-même ne comprenait pas le sens de ce mot. Un combat doit se finir lorsqu'un des combattants perd la vie, telle est la règle. La fuite n'est qu'une légende inventée pour les lâches, chose qu'elle se refusait pertinemment d'être.
Peu à peu, ses pattes laissaient des traînées de sang dans l'enceinte du Centre Militaire dont elle avait la responsabilité. Son propre sang, celui de ses ennemis, de ses compagnons, jusqu'aux pauvres cadavres en pleine apoptose qu'elle piétinait sans le moindre remord. Après tout, elle avait vu pire, côtoyé la vraie Mort plus d'une fois, senti celle-ci s'immiscer dans son être jusqu'à l'étreindre paisiblement. Chaque coup la rapprochait de celle-ci, pourtant ses alliés, sa Matriarche, se refusaient à la voir ainsi partir si vite. Les seringues s'enchaînaient, les stimulants bouillonnaient en elle, et ses ennemis ne cessaient de tenir des termes incompréhensibles, débloquait-elle complètement ? Non. Elle en était sûr, l'allocution n'était vraisemblablement pas le fort du commun des mortels. Mais ; Pas de temps à perdre, chaque seconde était vitale. C'est ainsi que dans une brève seconde d'inattention, la Mort s'approcha, mais cette fois-ci elle n'en était pas l'émissaire. Le souffle coupé, le sang dégoulinant le long de ses plaques d'armures, couvrant le jaune de ses crocs jusqu'à repeindre sa toison d'ébène en un amas de vermeil. Ses forces la lâchaient, ses mouvements devenaient de plus en plus lent, son estomac hurlait à la mort, perforé de part et d'autres comme son poumon droit. L'un après l'autre, ceux qui partageaient son Secteur avait failli. Ils s'étaient écroulés.. La vie la quittait, peu à peu, pour qu'un vide viscéral la remplace. Dans un ultime élan, en connaissant d'avance sa fin venir sous les dizaines de regards d'ennemis aux bras croisés juste à côté, elle fonça dans la mêlée, rejoindre les siens, ceux qui tenaient leurs armes sans aucun regret.
Un tir. Puis deux ; Amochant salement, une fois de plus quelques têtes qui osaient lui mettre des coups en retour, jusqu'à ce qu'enfin, dans un rugissement de douleur..
. . .
Chose qui ne fut pas long à attendre ; En une fraction de seconde, le SAS fut fracturé, les tirs débutèrent dans un orchestre assourdissants. Les ordres partaient, les cadavres commençait à s'amasser, tandis qu'elle, se contentait d'ouvrir les feux. Les balles traçantes ainsi œuvraient : Offrant des corrections de tir presque létales sur ses adversaires. La joie venait enfin poindre le bout de son nez dans l'esprit malade de la Gnoll. Voir la Mort, côtoyé celle-ci chaque instant où un mauvais pas peut-être fatal, tout ça était jouissif. Remarquer, comme lors d'une période sombre, des murs d'Impériaux s'amasser afin de retenir la fuite.. La fuite, elle-même ne comprenait pas le sens de ce mot. Un combat doit se finir lorsqu'un des combattants perd la vie, telle est la règle. La fuite n'est qu'une légende inventée pour les lâches, chose qu'elle se refusait pertinemment d'être.
Peu à peu, ses pattes laissaient des traînées de sang dans l'enceinte du Centre Militaire dont elle avait la responsabilité. Son propre sang, celui de ses ennemis, de ses compagnons, jusqu'aux pauvres cadavres en pleine apoptose qu'elle piétinait sans le moindre remord. Après tout, elle avait vu pire, côtoyé la vraie Mort plus d'une fois, senti celle-ci s'immiscer dans son être jusqu'à l'étreindre paisiblement. Chaque coup la rapprochait de celle-ci, pourtant ses alliés, sa Matriarche, se refusaient à la voir ainsi partir si vite. Les seringues s'enchaînaient, les stimulants bouillonnaient en elle, et ses ennemis ne cessaient de tenir des termes incompréhensibles, débloquait-elle complètement ? Non. Elle en était sûr, l'allocution n'était vraisemblablement pas le fort du commun des mortels. Mais ; Pas de temps à perdre, chaque seconde était vitale. C'est ainsi que dans une brève seconde d'inattention, la Mort s'approcha, mais cette fois-ci elle n'en était pas l'émissaire. Le souffle coupé, le sang dégoulinant le long de ses plaques d'armures, couvrant le jaune de ses crocs jusqu'à repeindre sa toison d'ébène en un amas de vermeil. Ses forces la lâchaient, ses mouvements devenaient de plus en plus lent, son estomac hurlait à la mort, perforé de part et d'autres comme son poumon droit. L'un après l'autre, ceux qui partageaient son Secteur avait failli. Ils s'étaient écroulés.. La vie la quittait, peu à peu, pour qu'un vide viscéral la remplace. Dans un ultime élan, en connaissant d'avance sa fin venir sous les dizaines de regards d'ennemis aux bras croisés juste à côté, elle fonça dans la mêlée, rejoindre les siens, ceux qui tenaient leurs armes sans aucun regret.
Un tir. Puis deux ; Amochant salement, une fois de plus quelques têtes qui osaient lui mettre des coups en retour, jusqu'à ce qu'enfin, dans un rugissement de douleur..
"Te voilà, vieil ami.."
◊ Commentaires
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Phylène (1945☆) Le 15 Juin 2022
" Les Dieux se moquent d'où proviennent les crânes tant qu'ils coulent sans jamais tarir à leurs pieds. " -
Eileen (86☆) Le 18 Juin 2022
Le choix de la musique rend le texte presque mystique. J'ai beaucoup aimé. -
BB_24 (266☆) Le 19 Juin 2022
« Et lorsque le Sang s'écoule, il n'y a plus ni peur, ni espoir, juste la hargne de vivre. Une autre seconde. Un autre jour. Jusqu'à ce que tous meurent à leur tour. Précieuses offrandes de Douleur. » ♥ -
Joyce (130☆) Le 19 Juin 2022
Merci pour les retours ! ♥
@Audience J'ai hésité entre deux musiques, mais mon choix s'est finalement porté vers celle-ci, je trouvais qu'elle convenait "plus". Voici l'autre, si jamais : https://youtu.be/73xq2ekZ5Jg