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Cacher
Violence conjugale
Le couple commençait à retrouver un peu de sérénité. Certains avaient tenté de les faire tomber mais ils sont bien trop têtus pour abandonner si vite. Face à l'incompréhension autour d'eux et les explications qui se multipliaient malgré eux, ils avaient fini par devenir encore plus proches et plus soudés. Leurs rivales s'armaient de l'artillerie la plus destructrice pendant que les deux élaboraient des plans plus audacieux, se contentant de lever leur impénétrable bouclier, l'amour.
Un après-midi, ils décidèrent de s'impliquer dans l'aide du secteur. C'est donc dans leurs tenues de traqueurs de farins qu'ils partirent en patrouille en ST. A trois ils récoltèrent suffisamment pour être satisfaits. Quand vint le moment de la dératisation, tout allait bien et les lames fendaient les bestioles, maculant leurs tenues du sang de leurs victimes. Tout se passait à merveille jusque sous le sas rebelle. Le rat n'était pas très fort mais il était résistant...très résistant, quasiment increvable. L'ordre de fuir a été donné et le reste de l'équipe s'empressa de s'éloigner. Ils couraient vite, forcément ils étaient entraînés pour cela. Malheureusement le rat était tombé sous le charme de la brune et voulait la garder entre ses bras. Le manche de son arme céda puis on lui en tendit une autre et encore une autre. Seulement plus personne n'avais d'arme en état, elle glissa la main dans sa botte et en sortit un bistouri encore emballé. Ses deux compagnons remontèrent en S1 afin d'aller vider les arsenal et lui apporter de quoi mettre un terme à cette tentative de kidnapping du rongeur. Elle resta seule face à lui un moment, à quelques mètres à peine de l'accès rebelle aux ST. Après plus d'un demi cycle et une collection d'armes brisées, un kobold tel un preux chevalier vint la sauver des griffes du monstre. Plus de peur et de casse que de mal, l'humaine rentra avec son mari, marquée au visage, sur les bras et les jambes, son torse ayant été épargné grâce à sa cuirasse.
Elle avait couvert tout ce qu'elle pouvait de vêtements mais son visage ne l'était qu'à moitié dans l'ombre de la capuche.La rumeur se propagea et elle ne tarda pas à recevoir des messages de proches inquiets pour elle.Elle avait beau expliquer son histoire, personne ne la croyait, on lui parlait de l'excuse des escaliers. Ses amis commençaient à faire preuve de pitié envers elle et cela l'affectait que l'on puisse penser que son époux ose lever la main sur elle.
Affaiblie par son aventure, elle décida de ne pas redescendre à la conquête des buissons tout de suite. Elle pris ses neuvo et alla errer dans les rues, loin des agitations du coeur de la Cité. Les rues moins sûres regorgent, elles aussi de réserve d'énergie après tout et le regard des anonymes vivants dans celles-ci ne la dérangeaient pas. Elle avait grandi dans ce quartier et même si elle les avait oubliés, fut un temps elle leur offrait une partie du peu qu'elle avait pour se nourrir.Les souvenirs de sa période junkie la prenaient à la gorge lorsque face à elle apparaissait un androïde armé d'une lame laser. Elle ignorait pourquoi il l'avait choisie pour cible mais elle avait une certitude, cette rencontre finirait par une cuve. Un mouvement et sa tronçolame ronronnait en direction de son agresseur. Alors qu'elle allait se renseigner de la raison de cette bataille, elle s'effondra au sol, inconsciente,
une blessure importante qu'elle n'avait pas vu venir. Le réveil fut plus doux, un clone fragile, le silence. L'annonce du Black Out retentissait encore et elle regarda dans ses sacs. Elle en sorti 7 tubes et décida que si un impérial était capable de tuer une femme cherchant à sauver sa sécurité, et cela sans motif, les STV se passeraient de sa récolte. Elle allait pas mourir impunément et dorénavant, tout ce que ses neuvo aspireraient irait rejoindre la réserve de ce jour dans sa cachette secrète.
une blessure importante qu'elle n'avait pas vu venir. Le réveil fut plus doux, un clone fragile, le silence. L'annonce du Black Out retentissait encore et elle regarda dans ses sacs. Elle en sorti 7 tubes et décida que si un impérial était capable de tuer une femme cherchant à sauver sa sécurité, et cela sans motif, les STV se passeraient de sa récolte. Elle allait pas mourir impunément et dorénavant, tout ce que ses neuvo aspireraient irait rejoindre la réserve de ce jour dans sa cachette secrète.
Son mari vint la chercher au centre de clonage afin de la ramener chez eux dans le cocon que sont ses bras.
Les com arrivant en masse, les migraines atrocent les accompagnaient. Son clone n'avait plus les capacités de gérer son implant et elle souffrait trop pour réussir à le mettre hors-tension. Elle dû faire appel à une personne extérieure pour l'y aider et sombra épuisée, les oreilles sifflant encore un peu. Au réveil, elle alla prendre une douche alors que sa moitié dormait encore. En voulant rejoindre leur dressing, elle glissa dans les escaliers et fut incapable de se rattraper, ses tentatives pour le faire lui créant encore plus d'hématomes qu'il n'y en aurait eu si elle s'était simplement laissée tomber. Elle s'assoupie et c'est ainsi allongée à moitié vêtue que son géant la retrouva.
Les com arrivant en masse, les migraines atrocent les accompagnaient. Son clone n'avait plus les capacités de gérer son implant et elle souffrait trop pour réussir à le mettre hors-tension. Elle dû faire appel à une personne extérieure pour l'y aider et sombra épuisée, les oreilles sifflant encore un peu. Au réveil, elle alla prendre une douche alors que sa moitié dormait encore. En voulant rejoindre leur dressing, elle glissa dans les escaliers et fut incapable de se rattraper, ses tentatives pour le faire lui créant encore plus d'hématomes qu'il n'y en aurait eu si elle s'était simplement laissée tomber. Elle s'assoupie et c'est ainsi allongée à moitié vêtue que son géant la retrouva.
Son mari prit soin de bien désinfecter et crémer ses blessures, moment pendant lequel la malchanceuse se dit que l'histoire des escaliers, personne n'y croirait pour sûr. Elle ne pouvait sortir ainsi, il fallait cacher tout cela au mieux. Une vieille trousse à maquillage qu'elle n'avait pas revue depuis sa relation avec un homme qui la frappait fut sortie du fond d'un placard de la salle de bain. Malgré des couches et des couches de poudre les marques restaient plus ou moins apparentes. Le couple alla ouvrir leur bar malgré tout. Chaque démarche qui lui paraissaient si simple auparavant, se compliquaient. Elle avait une phobie passagère de tout ce qui était technologique. Plus de com, plus de deck, incapable de toucher au pad permettant le remplissage des racks, un tire-langue pour s'aider avec certains appareils. La peur de recommencer avec une migraine carabinée subie la veille étant omniprésente.
Son ami gnoll ne fut pas dupe, il avait ce regard perçant auquel elle ne pouvait rien cacher derrière quelque artifice que ce soit. Il avait demandé et elle avait dit la vérité, évidemment il ne la cru pas, qui aurait pu le croire? Quand une rumeur gronde la moindre chose qui pourrait la confirmer en devient une preuve c'est inéluctable, quand bien même il n'en est rien en réalité. En rentrant elle lui avait envoyé les images de la surveillance de leur demeure mais là encore elle se demandait s'il l'avait cru.
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Informations sur l'article
Tranche de vie
29 Octobre 2017
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◊ Commentaires
-
Joey~62360 (404☆) Le 29 Octobre 2017
probablement...mais j'y suis pour rien, ce sont les dés, ils en veulent à ma Jo! -
Sanya (209☆) Le 29 Octobre 2017
tiens je suis pas la seul dont les dés veulent la peau^^ -
Aurore~67251 (113☆) Le 30 Octobre 2017
"Quand une rumeur gronde la moindre chose qui pourrait la confirmer en devient une preuve c'est inéluctable" que c'est bien dit ! -
Joey~62360 (404☆) Le 02 Novembre 2017
@Sanya huhu il y a des pions cibles
@Aalys tu m'as fait rire.
@Danzig on se demande hein!
@Aurore Merci, même si en relisant je trouve la tournure un peu space.