EDC de Jinta~58437
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"L'espoir meurt en dernier."
Je ne saurais, mettre de titre à ce qui me traverse la tête.
A cette raison, qui me pousse à écrire encore et encore mes passes.
Ou bien même, à cette rage, qui me prend sauvagement. Cette rage, qui me donne l'envie de tout brûlé dans mon sillage.
Tout réduire, à feu et à sang, pour le respect, et l'amour que je n'ai jamais obtenu.
Tout détruire, pour me sentir différente. Pour parvenir à me détachée, de ce type de vie, de ne plus être un point dans la masse ambiante.
Tout anéantir, pour ne plus ressentir ce qu'elles m'ont faites, pour ne plus avoir ce besoin éphémère de compagnie, en pensant que cela ferait disparaître les cicatrices de mes poignets
Parfois, en levant le regard vers le ciel, des larmes me viennent. Il suffi d’un tout, et ma vie déraille.
Il a toujours fallu une petite épine pour que tout soit détruit, une base.
J’en ai trop eu, de bases ainsi.
Et pourtant cela devrait me servir de leçon. De détachement. Mais, personne ne saurait subir une si dure solitude. Du moins, pas quelqu’un d’humain.
Était-ce une si bonne idée, de devenir de métal, en fin de compte ..?
Trop de questions. Comme cette nuit-là, où j'ai prier, en l'attente d'une réponse. Quelconque.
Cette nuit, où mon com' était éteint. Mes jambes pendaient dans le vide, du haut de ce gratte-ciel. Mon regard se perdait au travers des passants, rapides. La pluie humidifiait mon visage morne, mes phalanges étaient ensanglantées. Résultat d'une conversation avec mon aimée, non réciproque.
Et pendant ce temps, mes poignets eux, laissaient ce sang partir ..
Et, je m'en suis servie, de cette rage. J'ai combattus, de toutes mes forces, la cause qui me semblait la plus injuste, à chaque fois.
Cette rage ne cessait de s'accroître. D'autant plus, lorsque, tu apprends un certain jour qu'elle est partie. Sans messages, sans rien, sans aucune possibilité de la retenir.
Une seule chose en tête. Alcool. Drogue. Combat. Mort.
Et pourtant, j'aurais beau dire ce que je souhaite. Ce que j'ai vécu. Jamais ils ne comprendront cette sensation, ces émotions. Il faut être "au dessus" des bons pensants, des personnes qui ne vivent que dans une illusion de cette cité. Qui n'ont jamais été écorchés à vifs, ces prétendus "bons citoyens" qui ne s'abaisseraient même pas une seconde au risque de salir leur nouveau pantalon, pour aider une femme en mauvaise posture face à quelques criminels de bas étages.
Oui. Eux, eux ils me donnent envie de vomir.
.. Ils ne sont qu'un point de plus dans la masse. Une sorte de déchet nécessaire, nous devons tous passer par là, pour devenir ce que nous sommes.
Je ne saurais dire, ce qui leur passe par la tête. "Eux". Ceux qui me dévisagent, "la putain Arachide", la droguée, la folle, conne. Et, personne ne parle de combat. Ces insectes sont amusants.
Ces mêmes insectes qui se faisaient sauver les miches en toute tranquillité, par ma propre personne.
Bien entendu, j'englobe, mes chères lecteurs..
Et puis, s'attarder sur ce genre de déchets humains ne résout jamais rien. Une épine de plus.
Cette rage est très présente, parfois. Après, quelques recherches.. Elle ne se manifeste que très rarement.
Soucis amoureux, déni, perte d'un/e proche. L'attente.
.. L'attente.
Cette angoisse, au creux de ta poitrine. Qui te fait sentir vivante. Qui te rappel que, tu n'es pas similaire aux autres. C'est assez.. Etrange, de dire cela. Mais tellement vrai, au final. Ceux qui n'ont jamais été écorchés, ceux qui n'ont jamais souffert, ne peuvent comprendre ce qu'est réellement la vie. Ce qu'est l'amour, la joie, la compassion, et encore moins la mort. La perte, la dépression.
C'est triste d'en venir à ce point. Où ton regard, d'un noir mat, fixe les présents. Ton air traduit directement tes pensées. Ce regard sombre, ce visage morne, aux lèvres sèches, au teint pâle.
C'est même triste, que personne ne vienne te voir, toi.
Au final, comme à chaque fois, tu retourneras chez toi, abandonnant une énième fois, cette ville et ses habitants. Cette ville et ses souvenirs, tes souvenirs, tes amours, tes pertes.
.. Et, comme à chaque fois, au final, tu auras ces regrets. Ce regard de ne jamais lui avoir dit, que tu l'aimais. De ne jamais avoir sauver cette jeune femme, des griffes de cet homme. De ne jamais l'avoir raisonnée. Ou bien, d'avoir douter de lui. Une seconde. Ou alors, de mal l'avoir servi, pensant qu'il ne pouvait te faire confiance, t'abandonnant ainsi à ce monde.
Regarde ce que tu es, aujourd'hui. Un déchet à forme humaine, aigrie et mal-aimée.
Pourtant, ce mode de vie ne te déplait pas.
Tu es seule. Peu importe où tu iras. Tu n'aurais plus ce pincement, au cœur, lorsque tu la verras avec une autre femme. Ou un homme.
Tu n'aurais plus cette angoisse, d'avoir mal agi une fois de plus. Tu n'aurais plus, tout ces pincements. Non.
Tu vivras avec tes regrets, et ainsi, tu te rappelleras des morts.
Ou alors, tu effaceras tes regrets.
Et, cette fois-ci, tu ne laisserais plus filer ta chance. Tu lui avoueras, avant qu'elle ne s'en aille, brisant une fois de plus ton cœur.
Mauvaise élève. Tu restes malgré tout tiraillée, par des sentiments sombres, par des pensées dont personne n'aurait idée venant de toi.
Malgré tes écrits, tu restes triste. Tes pas sont faibles, tu vacilles à chacun d'eux. Mais, tu maintiens ta route. Tu es obstinée, mais tu ne lui diras sans doute pas. Par peur de la perdre, n'est-ce pas, petite fille blanche ?
A cette raison, qui me pousse à écrire encore et encore mes passes.
Ou bien même, à cette rage, qui me prend sauvagement. Cette rage, qui me donne l'envie de tout brûlé dans mon sillage.
Tout réduire, à feu et à sang, pour le respect, et l'amour que je n'ai jamais obtenu.
Tout détruire, pour me sentir différente. Pour parvenir à me détachée, de ce type de vie, de ne plus être un point dans la masse ambiante.
Tout anéantir, pour ne plus ressentir ce qu'elles m'ont faites, pour ne plus avoir ce besoin éphémère de compagnie, en pensant que cela ferait disparaître les cicatrices de mes poignets
Parfois, en levant le regard vers le ciel, des larmes me viennent. Il suffi d’un tout, et ma vie déraille.
Il a toujours fallu une petite épine pour que tout soit détruit, une base.
J’en ai trop eu, de bases ainsi.
Et pourtant cela devrait me servir de leçon. De détachement. Mais, personne ne saurait subir une si dure solitude. Du moins, pas quelqu’un d’humain.
Était-ce une si bonne idée, de devenir de métal, en fin de compte ..?
Trop de questions. Comme cette nuit-là, où j'ai prier, en l'attente d'une réponse. Quelconque.
Cette nuit, où mon com' était éteint. Mes jambes pendaient dans le vide, du haut de ce gratte-ciel. Mon regard se perdait au travers des passants, rapides. La pluie humidifiait mon visage morne, mes phalanges étaient ensanglantées. Résultat d'une conversation avec mon aimée, non réciproque.
Et pendant ce temps, mes poignets eux, laissaient ce sang partir ..
Et, je m'en suis servie, de cette rage. J'ai combattus, de toutes mes forces, la cause qui me semblait la plus injuste, à chaque fois.
Cette rage ne cessait de s'accroître. D'autant plus, lorsque, tu apprends un certain jour qu'elle est partie. Sans messages, sans rien, sans aucune possibilité de la retenir.
Une seule chose en tête. Alcool. Drogue. Combat. Mort.
Et pourtant, j'aurais beau dire ce que je souhaite. Ce que j'ai vécu. Jamais ils ne comprendront cette sensation, ces émotions. Il faut être "au dessus" des bons pensants, des personnes qui ne vivent que dans une illusion de cette cité. Qui n'ont jamais été écorchés à vifs, ces prétendus "bons citoyens" qui ne s'abaisseraient même pas une seconde au risque de salir leur nouveau pantalon, pour aider une femme en mauvaise posture face à quelques criminels de bas étages.
Oui. Eux, eux ils me donnent envie de vomir.
.. Ils ne sont qu'un point de plus dans la masse. Une sorte de déchet nécessaire, nous devons tous passer par là, pour devenir ce que nous sommes.
Je ne saurais dire, ce qui leur passe par la tête. "Eux". Ceux qui me dévisagent, "la putain Arachide", la droguée, la folle, conne. Et, personne ne parle de combat. Ces insectes sont amusants.
Ces mêmes insectes qui se faisaient sauver les miches en toute tranquillité, par ma propre personne.
Bien entendu, j'englobe, mes chères lecteurs..
Et puis, s'attarder sur ce genre de déchets humains ne résout jamais rien. Une épine de plus.
Cette rage est très présente, parfois. Après, quelques recherches.. Elle ne se manifeste que très rarement.
Soucis amoureux, déni, perte d'un/e proche. L'attente.
.. L'attente.
Cette angoisse, au creux de ta poitrine. Qui te fait sentir vivante. Qui te rappel que, tu n'es pas similaire aux autres. C'est assez.. Etrange, de dire cela. Mais tellement vrai, au final. Ceux qui n'ont jamais été écorchés, ceux qui n'ont jamais souffert, ne peuvent comprendre ce qu'est réellement la vie. Ce qu'est l'amour, la joie, la compassion, et encore moins la mort. La perte, la dépression.
C'est triste d'en venir à ce point. Où ton regard, d'un noir mat, fixe les présents. Ton air traduit directement tes pensées. Ce regard sombre, ce visage morne, aux lèvres sèches, au teint pâle.
C'est même triste, que personne ne vienne te voir, toi.
Au final, comme à chaque fois, tu retourneras chez toi, abandonnant une énième fois, cette ville et ses habitants. Cette ville et ses souvenirs, tes souvenirs, tes amours, tes pertes.
.. Et, comme à chaque fois, au final, tu auras ces regrets. Ce regard de ne jamais lui avoir dit, que tu l'aimais. De ne jamais avoir sauver cette jeune femme, des griffes de cet homme. De ne jamais l'avoir raisonnée. Ou bien, d'avoir douter de lui. Une seconde. Ou alors, de mal l'avoir servi, pensant qu'il ne pouvait te faire confiance, t'abandonnant ainsi à ce monde.
Regarde ce que tu es, aujourd'hui. Un déchet à forme humaine, aigrie et mal-aimée.
Pourtant, ce mode de vie ne te déplait pas.
Tu es seule. Peu importe où tu iras. Tu n'aurais plus ce pincement, au cœur, lorsque tu la verras avec une autre femme. Ou un homme.
Tu n'aurais plus cette angoisse, d'avoir mal agi une fois de plus. Tu n'aurais plus, tout ces pincements. Non.
Tu vivras avec tes regrets, et ainsi, tu te rappelleras des morts.
Ou alors, tu effaceras tes regrets.
Et, cette fois-ci, tu ne laisserais plus filer ta chance. Tu lui avoueras, avant qu'elle ne s'en aille, brisant une fois de plus ton cœur.
Mauvaise élève. Tu restes malgré tout tiraillée, par des sentiments sombres, par des pensées dont personne n'aurait idée venant de toi.
Malgré tes écrits, tu restes triste. Tes pas sont faibles, tu vacilles à chacun d'eux. Mais, tu maintiens ta route. Tu es obstinée, mais tu ne lui diras sans doute pas. Par peur de la perdre, n'est-ce pas, petite fille blanche ?
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17 Janvier 2019
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