Cacher
L'Arcane
"Les mots tracé, couchés et inerte, au souffle de l’Imagination s’agitent et respirent." Vanity
______________
______________
Mon rire d’étang caché où vont se noyer les prophètes distraits.Mon inondation de cassis mon papillon de morille
Ma cascade bleue comme une lame de fond qui fait le printemps.
Ma cascade bleue comme une lame de fond qui fait le printemps.
Benjamin Peret « Allô » Je sublime.
Femme.
Toi qui te charge d’un érotisme si transgressif qui, même après avoir été élucidé , garde une place importante que tu ne négliges pas. A travers tes yeux de prose se contemple le désir, là ou les hommes le trouveront. Déchue de tes vêtements, ton corps si blême blâme sa place dans l’art.
Nue.. Ta nudité m’impose dès les premières secondes, le devoir de m’approcher de toi. Ton cinéma, si adorable et immersif m’accorde le droit de t’apprécier. Femme assise, jambes luisantes déjà exténuée, tu m’offres le tournis. Ta nudité m’engendre des sueurs froides, tu es érotique et tu me donne l’effet de pouvoir dans mon âme stérile, ton corps si bien rendu, si parfaitement tenu m’aveugle et assombrit mon âme.
Badine, ton érotisme se joue de moi, cesse de te cacher derrière ce visage de poupée qui anime tes joues enflammées de ton sourire malicieux. La violence t’a dessiné austère , souviens toi de cet acte non consenti , lorsque sa bouche édenté ne cessait jamais de faire vibrer ses joues flasques. Ce jour ou tu as oublié l’arôme que tu pestais.
Ton corps si bénit n’oubliera jamais qu’il a un jour volé trop bas, empoigné et ceinturé par une figure détestable. Ton sourire reflète encore ces instants ou tu as cessé d’être un bourgeon en maturation.
Mutine, à cet instant, lorsque je te vois habillée sucrée. Ton retour aux sources, ton existence qui est désormais remise en cause, dépourvue des lois féminines, amorale.
Ton entourage, moi , eux.. Nous t’empêchons de survivre, d’arroser ta germe, et de voir fleurir ton amour. Tu es unique , ne t’offre plus à moi, tu seras bien trop heureuse, ma muse.
Mon désir si charnel, générateur d’orgasmes et d’inspirations, reflet de dreadcast.. Tu portes la marque des mœurs dreadcastien. Je ne m’attache plus à ton corps, à tes yeux larmoyants, fait banal. Tu produis un effet si électrisant à chaque frottement, crépitement de tes lèvres, une vision sublimée.
Ton entourage, moi , eux.. Nous t’empêchons de survivre, d’arroser ta germe, et de voir fleurir ton amour. Tu es unique , ne t’offre plus à moi, tu seras bien trop heureuse, ma muse.
Mon désir si charnel, générateur d’orgasmes et d’inspirations, reflet de dreadcast.. Tu portes la marque des mœurs dreadcastien. Je ne m’attache plus à ton corps, à tes yeux larmoyants, fait banal. Tu produis un effet si électrisant à chaque frottement, crépitement de tes lèvres, une vision sublimée.
Mon égérie.
Combat fruité, jus incontesté de toute, aspiration du carcan moral de tous les hommes réunis, personne ne peux stopper une telle volonté de se rebeller, jetant face au tout être, a tout monde leur beauté infuse. Mon amante, mon arme, ma couverture est mon épaule. Ton cri sillonne mon âme, poignets attachés, prisonnier de tes manières, esclave de tes envies. Un râle insensé, retenu au fond de moi, soumis à ta volonté d’agir, d’exprimer ce manque de tolérance. Mon tout puissant désir, égorgé par le manque.
Combat fruité, jus incontesté de toute, aspiration du carcan moral de tous les hommes réunis, personne ne peux stopper une telle volonté de se rebeller, jetant face au tout être, a tout monde leur beauté infuse. Mon amante, mon arme, ma couverture est mon épaule. Ton cri sillonne mon âme, poignets attachés, prisonnier de tes manières, esclave de tes envies. Un râle insensé, retenu au fond de moi, soumis à ta volonté d’agir, d’exprimer ce manque de tolérance. Mon tout puissant désir, égorgé par le manque.
Ma muse, créatrice de délire, caprice et manque, tu broies en moi tout effet d’infidélité, tu incarnes la maternité. Tu es mon artiste, je deviens l’objet de tes rêves.
Femme. Fatale, natale, canal d’irrigation en baisers fiévreux, miel qu’infiltre mon admiration, devenant sujet fanatique. Tu restes sur mon épaule émettant en boucle ô combien tu m’aimes, ô combien tu me désires. Un temps infiniment parfait pour moi … Ingénieur littéraire.
Femme. Fatale, natale, canal d’irrigation en baisers fiévreux, miel qu’infiltre mon admiration, devenant sujet fanatique. Tu restes sur mon épaule émettant en boucle ô combien tu m’aimes, ô combien tu me désires. Un temps infiniment parfait pour moi … Ingénieur littéraire.
Ô bleu érotique, arcane sensationnelle.
Mon aimé si désirée, bouche fleurit d’un sourire, chaleur d’un vent frileux. Mauvaise ombre, l’abandon, la finalité du rite..
Une pensée pour cette solitude dépourvue de toi…Mon dépassement passe finalement par toi.. Mon aimée.
Mon aimé si désirée, bouche fleurit d’un sourire, chaleur d’un vent frileux. Mauvaise ombre, l’abandon, la finalité du rite..
Une pensée pour cette solitude dépourvue de toi…Mon dépassement passe finalement par toi.. Mon aimée.
Et ton corps peut venir
Battant comme un coeur.
Paul Eluard
Spoiler (Afficher)
◊ Commentaires
-
Norah~50792 (365☆) Le 10 Avril 2016
Et lu au creux de l'oreille de ma pantine, c'était encore plus beau, même si ça ne lui était pas adressé. -
Aislinn~60672 (172☆) Le 13 Avril 2016
Comme toujours ta plume est divine tu sais Ô combien je suis amoureuse de ta prose. J'ai hâte que nos puissions jouter puis s'enflammer de toute la puissance de nos plumes. Dans cet autre monde où l'imagination est Nôtre.