Cacher
Enragée volontaire.
Que l'on soit sous les bannières de la victoire, près d'un avant - poste, qu'un binôme d'inspecteurs rôdent au pas de la porte relevant les adresses douteuses pour les inspecteurs de la DAI. Qu'une colonne de militaire fraîchement sortis de leurs formations, défilent dans l'uniforme qui va à ravir à chaque clone qui mourra pour un Général. Qu'un spot en face de notre bâtisse vrille et à deux doigts d'exploser ; entendre les techniciens grouiller à travers les artères grondant nombre de jurons. Pouvoir entrapercevoir une arrestation d'un rebelle, d'un criminel ou encore d'un simple innocent et rester derrière la vitre teintée sans la regarder.
Couché sur le sol, adossé par un oreiller qui de toute sa douceur repose les muscles de l'homme. Il en avait le teint blême et une poisse s'était nappée en encadrant son visage fermé. Un sol âpre qui s'empreignait peu à peu de la chaleur humaine, du corps meurtri par la blessure. Un sang chaud, gras, lourd le faisait presque vibrer et tanguer. Ouvrant les yeux par moment, se laissant penser sur un lit, d'un confort inestimable. Les oreiller dressés à la main, les draps correctement tirés et le satin près à être gouté. Un plateau argenté se tenait à sa droite, à portée de main -suffirait de daigner y tendre l'attention- laissant reposer une seringue de Kronatium, une gourde Premium de Vodkast et une bague de mariage.
La pénombre gagnait du terrain, comme une couverture pour y enfermer la rigueur de l'humain et le plonger dans le simulacre du délire.
Couché sur le sol, adossé par un oreiller qui de toute sa douceur repose les muscles de l'homme. Il en avait le teint blême et une poisse s'était nappée en encadrant son visage fermé. Un sol âpre qui s'empreignait peu à peu de la chaleur humaine, du corps meurtri par la blessure. Un sang chaud, gras, lourd le faisait presque vibrer et tanguer. Ouvrant les yeux par moment, se laissant penser sur un lit, d'un confort inestimable. Les oreiller dressés à la main, les draps correctement tirés et le satin près à être gouté. Un plateau argenté se tenait à sa droite, à portée de main -suffirait de daigner y tendre l'attention- laissant reposer une seringue de Kronatium, une gourde Premium de Vodkast et une bague de mariage.
La pénombre gagnait du terrain, comme une couverture pour y enfermer la rigueur de l'humain et le plonger dans le simulacre du délire.
Je ne te reconnais plus Jay, ton visage devient tout froid. L'aura de ton marbre s'est éteint.
Eux..J'y suis parvenu enfin après quinze ans..
Ils ne disparaissent jamais. Tu as détruit ta vie en détruisant celle de ton futur, sa colère a déteint sur toi, regarde toi.
Il m'arrive de désirer la fin de la chandelle.. Comme convenu.
Et voilà les grands maux, tu devrais mesurer à quel points c'est d'un ennui mortel, trésor.
Va - t'en !
Pourquoi m'appelles - tu pour me congédier aussitôt ? Efface tous tes holos et je disparaîtrai à jamais.
Ca m'est impossible comment pourrais - je effacer m..
Ca m'est impossible comment pourrais - je effacer m..
Jay, Jay..Fais cela dignement. Tuer est un art mineur comparé à celui de trousser. Encore jeune désabusé.. Tu lâches l'oriflamme et tu oublies au fond combien le goût de l'éternité est une extase.
L'amour m'a empoisonné..
L'amour m'a empoisonné..
ANNEE 262 - SIEHM
Suite à la réforme du Commandeur dictée en l'année 260 , et la dissolution et démantèlement du programme SIEHM qui consistait à établir une fiche d'études des physionomies de chaque ID de la cité Impériales et pondérée par races. L'Idée d'une garde auxiliaire et extrêmement fière devait naître , les plus purs et extrémistes auraient droit à l’intégrer faisant leur preuve au combat et au service de la Nation Noire.
La Spiritu Sanctis qui se traduit du latin par : Saint - Esprit est une garde d'élite rassemblant des agents appartenant exclusivement à l'Ordre Noir et croyant en la Nation Noire. Ces agents s'inscrivent dans une garde auxiliaire et prête à apporter le fruit de l'idéologie sacrée au Commandeur, le berceau de l’extrémisme. La garde est extérieure d'un point de vue de commandement et est dirigée par une seule entité soumise à l'autorité du Commandeur de l'Ordre Noir.
Argumentaire holographique de l'unité Gamma.
4/262.4
Gamma qui s'était auto-proclamé Commandant de la Spiritu Sanctis, passait à travers les vestiges du SIEHM qui avaient servit comme basse de donnée. Il était fier de regarder autour de lui et constater l'ampleur de à quoi son souffle aspirait. Il regardait sur les murs, il hallucinait et peinait presque à voir les visages des métas race de la cité toute entière. Des nobles aux autorités impériales, aux soldats et agents du CdO.. Une nouvelle garde de décervelé : telle était la nouvelle génération des forces de l'Ordre. L'unité Gamma avait servit sur tous les terrains possible et imaginable, manipulé par les vices et les délires d'Alpha ; allant de décapiter sa sœur jusqu'à s'attaquer aux vestiges d'Imperator : les Temples de la cité.
Temples que l'on nomme de nos jours Organisations Impériales.
Gamma qui s'était auto-proclamé Commandant de la Spiritu Sanctis, passait à travers les vestiges du SIEHM qui avaient servit comme basse de donnée. Il était fier de regarder autour de lui et constater l'ampleur de à quoi son souffle aspirait. Il regardait sur les murs, il hallucinait et peinait presque à voir les visages des métas race de la cité toute entière. Des nobles aux autorités impériales, aux soldats et agents du CdO.. Une nouvelle garde de décervelé : telle était la nouvelle génération des forces de l'Ordre. L'unité Gamma avait servit sur tous les terrains possible et imaginable, manipulé par les vices et les délires d'Alpha ; allant de décapiter sa sœur jusqu'à s'attaquer aux vestiges d'Imperator : les Temples de la cité.
Temples que l'on nomme de nos jours Organisations Impériales.
Les caméras peuvent détailler l'avancer du commandant de la 2S, qui sous ses pas semblait créer une vague de haine, une déchirure profonde qui semblait l'entrainer petit à petit. Chaque pas était lourd, jusqu'à l'arrivé du panneau holographique faisant office de drapeau. Il fit modifier le nouveau symbole de la Spiritu Sanctis.
Mais..
Les décisions d'Alpha, les événements allaient à l'encontre des idéologies que Gamma voulait laisser passer derrières les attentats. Des attaques contre des civils avaient - été commis et là n'était pas le souhait du Commandant de la 2S qui disposait déjà de quelques unités de réserve. Des membres sont revenus, certaines avaient trahi ce qu'était l'Ordre Noir. A la vue de ces événements là, Gamma fit choir sa volonté, sa croyance et la détermination ne furent plus que des lambeaux d'une vie qui finalement n'était que passage. Quelques jours plus tard il se rendit au SIEHM, une icône et une des premières annexes créées par le Vicomte. Il fit transférer les fonds qui lui étaient propre, un flux qui pourtant émane de ventes de drogues, d'armes, d'équipements autant pour les impérialistes que pour les rebelles. Près du terminal, la main mécanique tripota les accès qui lui étaient destinés. En quittant le SIEHM il laissait derrière lui toutes les annexes tant chéries qui ont connu les meilleurs locateur. La digitale fit d'un geste de regret une légère caresse sur l'écran passant sur les annexes listées dans la base de donnée.
Qu'Hujan pardonne votre existence..
- Les yeux
- Le Capitole
- Hiérarque
Qu'Hujan pardonne votre existence..
C'est bon Jay, l'Empire t'offre une nouvelle voie. A toi d'en faire ce qu'il t'en sied. L'Ordre Noir grandira sans toi, comme l'Empire l'a fait en ton absence.
Il me reste encore la prison..
Tu me trouveras dans la peine, ma maigre main pour soutenir la tienne, mon corps pour soulager tes peines. Aurais-tu oublié ?
Norah..
Tout commence et toujours par le symbole d'un désir, étirant ainsi quelques regards défiants, d'autres menaçant mais tous deux se comprennent. Ils se rivent, se cherchent sans pour autant gâcher une taquinerie naissante. L'homme ne pouvait narguer sa femelle, compris, cerné et traqué par la sanguine qui aguiché par les friandes s'approcha langoureusement. Une évasion du silence, quelques goulées d'air et le pourpre vint décorer la peau grisâtre du Darcombe. Au velouté persan contre la sensualité naissante, quelques pétilles de luxure contre le lobe, dans l'ombre d'une complicité.
Les phalanges se libèrent et les pensées s'accordent, se conjuguent en des susurres, propositions et positions de vouloir. La bleue ploie et s'agenouille aux pieds du Vicomte. Le vrai sourire apparaît, l'auréole disparaît et ses longilignes s’accaparent pour le démunir.
Flexions et extensions n'étaient que les prémisses d'une faim irriguée, la femelle enchaîna les quelques petits massages, caresses douces et silencieuses. Tendresses aux muscles tendus, cuisses et hanches grisâtres, amollissant la chair et dressant le poil en des crépitements. Les friandises effritée, retenues, pincées par l'émail, au centre d'un visage pestant la retenue. Les orbes onyx pétillaient d'avantage taisant les mots entre les feulements, mouvement de bassin, et la secousse une traite.
Satisfaite en l'éclair d'un sourire étiré en coin, elle, sur ses quatre pattes, s'aventura jusqu'au flanc qui lui paru similaire, elle se blottit contre, joue sur les côtes haletantes. Un bras ceinturant la taille de son dominant, invité par les gémissements anémiques. Mutine dans les gestes, elle exposait son velouté, sa fragilité à la seule personne en droit d'y déposer attention. Les longilignes du Darcombe vinrent apprivoiser, les rémiges bleues de sa chose, se donnant ouvertement sans y craindre la violence. Elle en était son écume, la fraîcheur, sa chose mais son désir éternel. Elle guida la tendresse comme une innocente dans le silence, accordant au monstrueux une confiance aveugle. Elle profitait alors, en des adules caresses, la peau grenue et sèche, les quelques marques qui engendrèrent leur rencontre, union et les symboles d'un passé qui désormais : elle veillera à ce qu'il n'y sombre plus. La mutine se laissa alors choir un peu plus, complice.
Les mains maigres et d’appétits se serraient dans le vides, retenue par le regard dominant et sinople, les paumes survolaient le textile rouge crimson, crocher la ceinture et tirer sur les entraves et libérer les hanches blêmes, grises dont l'une porte le tatouage regretté. Elle expose ainsi le nid aux boucles brunes où repose l'objet apprivoisé et tant désiré. Les deux globes blafard offrirent leur sillon aux vautourderies d'une bouche femelle, fraîchi et humide. La femelle plissait le regard, vouant toute attention envers sa paire, une humilité complice tout en dressant un sourire narquois, les gestes répondent aux regard particuliers. Le silence était règle, le regard sombre de ses billes quémandait ; prenant ses aises sur sa prise sans daigner y lâcher prise, amusée de vouloir l'entendre le dire.
Au mâle, dont la gorge tarie est embrasée, le soufflet brûlant la gorge, cette extase diluée dans la fine d'une salive qui se fait rare. Le corps asservit et la peau aux entrelacs d'une émulsion volcanique visant à trembler l'essence du Darcombe. L'âme pervertie aux pensées berçant la saveur de luxure. Ses paumes faunes s'arrimèrent au crâne soyeux de cette affamée appliquant avec gourmandise les attentions aux nerfs virulents, besoins sauvages et mâles, du sabre de chair contre cette bouche seule. Les reins se creusent délicatement, les caresses en haut du crâne se dosent à mesure que les tempes deviennent brûlantes et fiévreuses aux envies toujours neuves. Soulevé d'une inspiration, courbant l'échine, sa dextre nacre le crâne chaud
cette gangue qui le dévore sans aucune pudeur, en cette délicieuse torture abandonnant au silence, une légère moue s'esquisse sur le visage des protagonistes. Vexée du geste, autorisée elle laissa alors quelques mots audacieux s'échapper, acceptés par le dominant.
cette gangue qui le dévore sans aucune pudeur, en cette délicieuse torture abandonnant au silence, une légère moue s'esquisse sur le visage des protagonistes. Vexée du geste, autorisée elle laissa alors quelques mots audacieux s'échapper, acceptés par le dominant.
Fermez les yeux.. Maître.
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Informations sur l'article
Nupseï
31 Janvier 2016
2278√
16☆
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◊ Commentaires
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Ludwig~55451 (243☆) Le 31 Janvier 2016
Reste dans le coin, mon coco. On a encore des bisous à se faire. A base de coups de crânes et de crachats ♥ Je suis sûr que ça va être génial 8D -
Norah~50792 (365☆) Le 31 Janvier 2016
Don't touch my Master, l'amnésique ! *montre les dents* -
Fudar (77☆) Le 01 Février 2016
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