Cacher
La niaissance du mal.
Êtes - vous de l'Ordre Noir ? Sérieusement.
Jay était revenu qu'au petit matin après avoir déserté l'Ordre Noir. Chose qu'il effectue de plus en plus pour s'enivrer dans d'autres effluves que ceux du sang, et des chaires brûlées d'Alpha. Addictive tendance qui embrumait une nouvelle fois ses tempes et enfiévrait ses lèvres et la méthode des nuits blanches lui permettait de passer outre ces douleurs des plus infernales. Depuis son retour il avait pu remarquer que Norah et Ruben s'étaient rapprocher à une entente cordiale , une délicate composition après des semaines de cohabitation pour trouver un " Enfin" et donc un équilibre. Parfois il arrive que les résolutions ne trouvent aucun appétit, une sorte d'alchimie qui touche la paire d'une manière à les étrangler les délaissant dans l'incapacité de se séparer sans les dénaturer. Mais ils gardaient une prudente distance, les regards parvenaient à se perdre dans un silence formel qui aveuglerait n'importe quel fonctionnaire.
Comme une pincée de cycles horaires se vantaient d'être consommées d'un repos aviné, laissaient émerger le Brigadier assez de temps avant que les tirs et les sirènes n'annoncent la nouvelle date numérique. Il s'était levé et se permit en l'espace d'un détour de se rafraichir le visage albâtre et éparpiller l’omnibus du regard. Il redressa la tête face au miroir auquel il se penchait et éternisait sa gueule humaine intraitable aux reliquats de marques. Pourtant à remuer le museau de gauche à droite et diagonalement, il savait qu'il affichait la volute d'une nuit qui désormais est lointaine, il souhaiterait se retourner et étirer un sauvage sourire sans nom vers le corps bleuit et dénudé. Tourné vers elle, le regard se voulant d'ébène et regardé, inflexible et de face poussant un soupire qui balaye la solitude face à un siège déserté pour un autre. Il était le cycle de se vêtir et rattraper les apprêtés.
A travers le cardo, il marchait d'une allure lente et en désinvolture l’ambiant dans la félinité. Lestes furent ses mouvements rétractés lorsqu'il déposa sans y frapper, ses cinq longilignes pressant la porte de sortie de ses appartements. Parmi les lambda de la société il y avait les deux voisins de Jay, l'un se nommait Ivanec et l'autre Gobern et tous deux étaient humains et différents malgré leur audiolatrie envers les hologrammes libidineux.
Ivanec n'eut qu'un prompt hoquet de tête, Jay ayant pour habitude de radier les syllabes et ses houles privée par la ronge de ses joues intérieures ; Gobern lui eut droit à un simple attardement pour une salutation physique, deux mains serrées pour ensuite laisser les deux silhouettes s'estomper et effacer le feu décor convivial.
Ivanec n'eut qu'un prompt hoquet de tête, Jay ayant pour habitude de radier les syllabes et ses houles privée par la ronge de ses joues intérieures ; Gobern lui eut droit à un simple attardement pour une salutation physique, deux mains serrées pour ensuite laisser les deux silhouettes s'estomper et effacer le feu décor convivial.
"Si le statut ne comptait pas, je serais comme Gobern et Ivanec. Chaque matin replié dans mon satin, passerais du licencieux à l'abandon et ensuite m'automatiserais aux cycles journaliers."
Jay Darcombe , Honteuses Ondines.
De tous, depuis toutes ces années il n'avait jamais signé aucune charte, ni autographes. Il n'a jamais eu idée de la popularité ni de la réussite. La mort reste un accident du travail, dans son privilège il pouvait les nominer du regard et les juger à défaut de les connaitre.Longuement il avait éloigné le skiwi, daignant en pure perte chercher la rassure d'un onguent dont le tabac n'avait pas goût de cendre. Et une fois nouvelle, délaissé par la dépendance, maugréé un soupire silencieux pour laisser ses grondements corrompu par le feulement de ses désirs.
Comestible est l'état maladif qu'il rendait à sa gourmande.
En se fiant au su, après quinze années de débauches et stupres ; sa vie entière est rythmée de leçons imprimée en sa chair. Suffixes de mouvements, polissant les verbes inévitables, jouant sur les bonnes manières destinée autant à plaire qu'à servir les plus habiles instances. Le plaisir pouvait être considérée comme sa matière de prédilection, une science vaste comme délicate comptant certaines bases et rescrits qu'il eut apprit par cœur. Il se considérait comme étudiant aux senteurs charnelles. Il se prenait presque pour une méta, prêté aux émulsions d'arômes. Mais restait humain lui récitant aux creux des oreilles un presque " Culo divino" poudré d'un soufflet tiède, alors que ses doigts se délayées depuis ses lèvres carminées. Un autre homme quasiment réduit à l'esclavage, le plus simple de la beauté. Pourtant encore quelques années en arrière, il avait connu le vrai terme de la fugue, animal et transformé par la nature humaine dans la servitude en plein chœur de la fascination narcissique. Il ne passait pas un jour sans démontrer à sa femelle le corps d'homme, le lézard et l'unité complémentaire de toutes races dans ses gestes lascifs.
En se fiant au su, après quinze années de débauches et stupres ; sa vie entière est rythmée de leçons imprimée en sa chair. Suffixes de mouvements, polissant les verbes inévitables, jouant sur les bonnes manières destinée autant à plaire qu'à servir les plus habiles instances. Le plaisir pouvait être considérée comme sa matière de prédilection, une science vaste comme délicate comptant certaines bases et rescrits qu'il eut apprit par cœur. Il se considérait comme étudiant aux senteurs charnelles. Il se prenait presque pour une méta, prêté aux émulsions d'arômes. Mais restait humain lui récitant aux creux des oreilles un presque " Culo divino" poudré d'un soufflet tiède, alors que ses doigts se délayées depuis ses lèvres carminées. Un autre homme quasiment réduit à l'esclavage, le plus simple de la beauté. Pourtant encore quelques années en arrière, il avait connu le vrai terme de la fugue, animal et transformé par la nature humaine dans la servitude en plein chœur de la fascination narcissique. Il ne passait pas un jour sans démontrer à sa femelle le corps d'homme, le lézard et l'unité complémentaire de toutes races dans ses gestes lascifs.
"Un soir j'ai parlé à un homme, c'était un humain et le seul rencontré pour être honnête. Il m'avait expliqué dans des termes simples et rigoureux la nature de l'homme et de la femme à Dreadcast. L'homme est un mâle qui désire et ce toujours, c'est une fatalité que même un anneau ne peu refouler. Condamné à offrir sa semence à autant de femelles possibles, Elle d'un esprit sein veillera à sa descendance."
Jay Darcombe, Honteuses Ondines.
BloodyCrystal est l'héritage d'un Sud qui a marqué la mémoire économique intersectorielle, le plaisir de la vie et de la nature Humaine.
Des cigarettes amères comme appréciée, surprenant de vouloir se souvenir d'un objet aussi anodin, rendons hommage à ce feu Lord Ghost et ses rézos qu'il allumait et dilué l'odeur avant toute exécution qui se doit. Des Bloodys où le symbole du Sud, marquant l'alléchante provocation du soupçon et dont l'évidence apparaissait à chaque étirement du brulé contre le tabac, ravageant de mélancoliques souvenirs.
Serais - je à vos yeux un vulgaire méta - race ? Fit - il à sa femme, taclant une pointe de jeu alors que ses doigts venaient d'ouvrir le paquet pour attraper entre le pouce et l'index une de ces tiges séparées en deux parties toutes deux nocives et complémentaires. Jay examinait de manière brève la cigarette l'affichant par tous les angles avant de la porter à la bouche femelle, titillant le filtre du moelleux des lèvres.
Il jouait du regard le ré-haussant vers elle, et poursuivit d'une voix rauque.
Il jouait du regard le ré-haussant vers elle, et poursuivit d'une voix rauque.
Et si je devenais Kobold ? Que feriez vous de moi ?
Il laissa pencher son buste à la manière d'une embrasse sans la donner vers le briquet dont il venait de tirer de sa poche et d'en actionner une flamme. Effleurant le bout à la flamme, et le tabac crépitant en petites et légères explosions alors que ses lèvres charnues pincent le filtre souriant en coin. Inspire une première bouffée et entière sans sommation, le goût âpre traversa d'un immédiat le palais dévalant jusqu'à la gorge, défigurant son sourire par une grimace. Expire et toussote légèrement inondant son "sous du regard" d'une amertume provoquant ses quelques mots cassés : Hujan.. C'est aussi mauvais que dans mes souvenirs..
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Informations sur l'article
L'Or Noir.
04 Décembre 2015
2082√
12☆
9◊
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◊ Commentaires
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Jay (579☆) Le 04 Décembre 2015
Oui c'est voulu , a play on word (Niais et Naissance) qui n'a pas été bien pris.. Je ferais moins tordu :/ -
Norah~50792 (365☆) Le 05 Décembre 2015
Moi j'avais capté le jeu de mots-heuuu ! ~
Déjà tout dit, ou presque par MP...
Et je réitère :
"Si vous dev'niez Kobolds.. Ma foi, je vous pass'rais une laisse et j'vous ferais mon animal de compagnie, Bel Amour. " -
Kinchaka~27073 (1104☆) Le 05 Décembre 2015
Y a un gif, étoile. -
Manerina~6356 (1551☆) Le 11 Décembre 2015
♥