Cacher
Lay me down.
Lay me down , in the cold cold ground
Where before many more have gone..
Where before many more have gone..
A l’abri , dans un confort sommaire d'un gratte-ciel, les doigts artificiels de l’homme se laissent glisser sur le synthé-verre épais d'une bouteille de Vodcast. Ouverte et ses effluves impures appâtent et agitent les narines d'un visage charmé , penché avec langueur sur le goulot. En voici la maigre récompense, cette gorgée redonnant vie à sa gorge tâchée de sillages âcres. Souplement son bras repousse le corps solide dont la ligne rafraîchissait du regard. Ses poignets en spasmes, ses veines gonflées se distinguent en se laçant sur un épiderme sali par le terne.
Son regard de prasin qui luttait à lire de nouveau, ce rapport qu'il tenait dans sa main. Sa tête qui en devenait lourde était soutenue par son autre main qui elle est sans artifice. Il en arrivait à effriter ses cheveux brun , aussi sombre que l'encre qui s'estompait à mesure que ses doigts appuyait sur la surface du papier. Des petits soufflets s'extirpaient et flottaient déjà dans l'air. Le pourtour de son regard était cerné, entre les rides de sommeils et les tâches qui s'accumulaient.
When they come I will stand my ground
Stand my ground I'll not be afraid
Stand my ground I'll not be afraid
Dans les relents de cette chambre qui est devenue récemment celle de Jay Darcombe, un homme s'attable observé par une caméra.
Entre ses doigts fins, une bague impériaiste se laisse caresser, sa perfection lisse creusé du sigle impérialiste. Une bague de safran qu'il aurait sans doute fait porter à Madame Darcombe. Destinée à un repos, elle restera enfermée.
Jay exalte quelques murmures qui en deviennent presque qu'insolent, l’œil de vermeil cible l'homme. Ces verbes laissent surgir la faiblesse, le symptôme de l’échec solennel.
Entre ses doigts fins, une bague impériaiste se laisse caresser, sa perfection lisse creusé du sigle impérialiste. Une bague de safran qu'il aurait sans doute fait porter à Madame Darcombe. Destinée à un repos, elle restera enfermée.
Jay exalte quelques murmures qui en deviennent presque qu'insolent, l’œil de vermeil cible l'homme. Ces verbes laissent surgir la faiblesse, le symptôme de l’échec solennel.
La porte s'ouvre, l'unique part familiale s'infiltre dans la pièce. Son cosmopolitain aux manches enflées par ses deux brassards. Le visage habillé par une barbe entretenue, une posture travaillée.
Allez vous coucher si vous le souhaitez.
Jay dressa ses sinoples irrigués de sentiments, regarda celui qu'il devrait nommer père. Il acquiesça frénétiquement, se levant et rangeant sa chaise. Il prit chemin sur sa droite, vers une porte secrète donnant sur une chambre à coucher. Sur le bureau se tenait un ancien rapport datant de deux années à compté du jour.
Je vais y aller oui..Vous pourrez verrouiller.
Je vais y aller oui..Vous pourrez verrouiller.
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- 1 Quartier de commandement
Informations sur l'article
Dictée
17 Juin 2015
1995√
6☆
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◊ Commentaires
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NeufCentÖnze (1795☆) Le 17 Juin 2015
Superbe comme toujours. -
Akasha (0☆) Le 17 Juin 2015
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