Cacher
Division.
Comme vous le voudrez.. Dit-il d'un sourire apitoyé, portant sa main sur sa casquette.
Il s'éloigna et disparut dans la foule.. Ayant réussit son coup, il eut l'impression qu'il pourrait inlassablement s'y habituer. Peut être était-ce une bonne chose? Les hommes aux partitions seraient bien plus écoutés s'ils savaient jouer de l'instrument.. Ou naître d'une simple touche mélodique et transpercer les âmes telle la Vox Populi.. Il coula brusquement aux côté de cette femmes aux yeux Alyssiens. Elle lui fit la présence de son large sourire, d'un visage mâché par cette tiède mèche. Elle savait comment le rassurer.
Pas mal.. Concéda-t-il, fouillant dans les poches de son par dessus. Par magie : des cookies fumant enveloppés dans un sachet gras.
Il l'a voyait heureuse, féline et malicieuse complétait ce fameux trio. C'était son regard qui laissait voir la paye de cette attente. Elle pourrait songer à s'arrêter, là contre un mur bloquée. Relever péniblement sous un sourire amusée, son châle de sa jupe à peine plissée. Mais il ne l'a quittait pas des yeux, elle ne se savait pas tant observée.
Tantôt lié du regard, tantôt séparés, ils allaient tous deux , traversant la rue du secteur Un.. Pour rentrer chez eux. Dans la Haute - Ville, sous l'étreinte d'acier d'hiver, non loin du DCN qui mugit à ses heures à travers le secteur, de sa voix enrouée, l'haleine Maran fumante de smog. Depuis son lit, entendre les pas de cette femme, le cliquetis de sa clé dans la serrure, et s'éteindre dans un ronronnement aigu.
De l'autre côté de la paupière, une fois ouverte..
Tantôt lié du regard, tantôt séparés, ils allaient tous deux , traversant la rue du secteur Un.. Pour rentrer chez eux. Dans la Haute - Ville, sous l'étreinte d'acier d'hiver, non loin du DCN qui mugit à ses heures à travers le secteur, de sa voix enrouée, l'haleine Maran fumante de smog. Depuis son lit, entendre les pas de cette femme, le cliquetis de sa clé dans la serrure, et s'éteindre dans un ronronnement aigu.
De l'autre côté de la paupière, une fois ouverte..
Seul sous cette myriade de lumières aveuglantes, dès surface à la réalité. Cette lueur expirant sans cesse des becs de gaz, éclats de carbure. C'était là dans cette salle où l'ambiance n'était pas plus crevante qu'un discours de l'ancien Lord Président. Il faisait si froid, que la brise venait s'éclater sur la peau de Jay, le rendant pâle. Lampe à huile posée sur la table, fumante déjà. La mèche trempée dans le suif dansait offrant un spectacle des ombres. Nonobstant le vacarme des claquements de portes , gouttelettes d'eau piétinant le sol métallique. Il enchantait ces ombres glissant partout autour grugeant son regard aux alentours.
Son corps se balançait de droite à gauche, sa main piochant la lampe et l'autre le fusil à l'épaule. Sa marche se faisant langoureuse, ses talons écrasaient le sol qui menait au poste de commandement. Ses yeux voulaient rêver, et penser à autre chose qu'à son état mental après avoir passé une nuit sous terre. Ses épaules cognaient les parois à force de cogiter, aveuglé par ces néons scintillant, même avec ses yeux plissés, ses oreilles bourdonnaient, le bruit des machines, des rats crevés qui agonisaient.
Il inspecta le poste de commandement avant de tourner les talons et repartir en direction du centre..
Ses pas se faisaient lourd, il ressentait une faim qui grandissait en lui, cet appétit que le boucher lui avait donné, ses mots naissant de son mal, ce fanatisme. Il se rendait encore compte du chemin qu'il prenait. Il savait que ce boucher entreprenait son feu en remettant ses braises dans l'âtre. Un froid lugubre pénétra dans le couloir par le cadre disjoint d'une porte. Dans l'espace d'un moment , il perçut une présence dans l'air. L'impression qu'il était observé par des yeux braqués sur lui.
Son corps se balançait de droite à gauche, sa main piochant la lampe et l'autre le fusil à l'épaule. Sa marche se faisant langoureuse, ses talons écrasaient le sol qui menait au poste de commandement. Ses yeux voulaient rêver, et penser à autre chose qu'à son état mental après avoir passé une nuit sous terre. Ses épaules cognaient les parois à force de cogiter, aveuglé par ces néons scintillant, même avec ses yeux plissés, ses oreilles bourdonnaient, le bruit des machines, des rats crevés qui agonisaient.
Il inspecta le poste de commandement avant de tourner les talons et repartir en direction du centre..
Ses pas se faisaient lourd, il ressentait une faim qui grandissait en lui, cet appétit que le boucher lui avait donné, ses mots naissant de son mal, ce fanatisme. Il se rendait encore compte du chemin qu'il prenait. Il savait que ce boucher entreprenait son feu en remettant ses braises dans l'âtre. Un froid lugubre pénétra dans le couloir par le cadre disjoint d'une porte. Dans l'espace d'un moment , il perçut une présence dans l'air. L'impression qu'il était observé par des yeux braqués sur lui.
Il saisit sans hésitation son fusil dos à lui, son index crocheté à la gachette, raclant sa gorge. Ses yeux sillonnent le couloir.
Semper..fidelis..
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Nous servons.
27 Octobre 2014
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5☆
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◊ Commentaires
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Saphyra~45181 (29☆) Le 27 Octobre 2014
Alors toi...hahaha! Je n'en dis pas plus! -
NeufCentÖnze (1795☆) Le 27 Octobre 2014
Jeune padawan... -
Elric~35480 (23☆) Le 28 Mars 2016
Wow, cette plume! Elric a plissé de l'oeil lorsqu'on a confondu son ordre spirituel avec cet "Ordre Noir", que ni moi ni lui ne connaissait alors! Aurais-je trouvé l'envers de la médaille? Le côté obscur? L'article date, mais *!