Cacher
Rétinol.
Remarquer les courbes en titane forgé de chaque balcons, là où les cuves se font remarquer par dizaine, vingtaine , centaine.. Là dans la salle d'éveil, une lumière révèle la présence d'un homme assit sur une chaise de malade. Les reflets de l'ampoule étincelle sur les métaux de la pièce , de ces rayons nickelés.
Il repose ses mains sur l'accoudoir peu confortable, ses mains presque arthritiques. Ces tendons se démarquant de ce tissu, les os articulés, un souffle faible comme un brise du matin sur les rues dépourvus de vie. Ce processus de silence, l'information à élaboré avec du temps un homme, un jeune.
Jay qu'il s'appelle.
Autour de lui, un jardin de perversion, des vitres teintées, des caméras camouflées, des instruments d'éveils, des seringues, perfusions. Tous ces accessoire parfaitement rangé et trié dans une place de ce SAS médical.Un mur dont la peinture s'écaille, le fait imaginer une vigne qui tente de se faufiler, s'échapper. Un courant d'air chaud entre par la grille de climatisation au plafond, et agite les cheveux châtain flottant sur la nuque du malade , apportant tant d'effluves : sucre, tabac , alcool.
Jay tourne sa tête vers le plafond, la seuil de la porte métallique , de vastes silhouette défilent comment dans un cabaret, des sons de talons rythmés, il en est seul spectateur.
Le détail de cette porte, ce silence qui le forge, il apprend la dureté du métal et son silence. Aux avant postes de cette grandeur , de long bras articulés sans pilote , piquent sur Jay et miaulent devant l'horizon sombre.
Des hublots apparaissent sur les murs, quadrangulaires d'où une lumière vivement dorée scintille, suggérant une chaleur organique. Sans effort particulier, Jay essaye d'imaginer hors de ces murs une lointaine musique : des beuveries, des discussions, le plaisir de la condition humaine.
Son esprits tisse ses perspectives tandis que ses pensées surgissent spontanément, élaborant des émotions et des souvenirs d'un rêve inexistant.
Il s'imagine quelque part , se hâtant dans les rues, effleurant des gens ne prêtant aucune attention sur lui. Les murs s'enroulent autour de lui, formant un labyrinthe , Jay tente d'y sortir en vain, les murs et ce spectre obscur l'amène à une porte. De peur il ferme les yeux s’apprêtant à l'ouvrir et passer à travers celle-ci.
Il repose ses mains sur l'accoudoir peu confortable, ses mains presque arthritiques. Ces tendons se démarquant de ce tissu, les os articulés, un souffle faible comme un brise du matin sur les rues dépourvus de vie. Ce processus de silence, l'information à élaboré avec du temps un homme, un jeune.
Jay qu'il s'appelle.
Autour de lui, un jardin de perversion, des vitres teintées, des caméras camouflées, des instruments d'éveils, des seringues, perfusions. Tous ces accessoire parfaitement rangé et trié dans une place de ce SAS médical.Un mur dont la peinture s'écaille, le fait imaginer une vigne qui tente de se faufiler, s'échapper. Un courant d'air chaud entre par la grille de climatisation au plafond, et agite les cheveux châtain flottant sur la nuque du malade , apportant tant d'effluves : sucre, tabac , alcool.
Jay tourne sa tête vers le plafond, la seuil de la porte métallique , de vastes silhouette défilent comment dans un cabaret, des sons de talons rythmés, il en est seul spectateur.
Le détail de cette porte, ce silence qui le forge, il apprend la dureté du métal et son silence. Aux avant postes de cette grandeur , de long bras articulés sans pilote , piquent sur Jay et miaulent devant l'horizon sombre.
Des hublots apparaissent sur les murs, quadrangulaires d'où une lumière vivement dorée scintille, suggérant une chaleur organique. Sans effort particulier, Jay essaye d'imaginer hors de ces murs une lointaine musique : des beuveries, des discussions, le plaisir de la condition humaine.
Son esprits tisse ses perspectives tandis que ses pensées surgissent spontanément, élaborant des émotions et des souvenirs d'un rêve inexistant.
Il s'imagine quelque part , se hâtant dans les rues, effleurant des gens ne prêtant aucune attention sur lui. Les murs s'enroulent autour de lui, formant un labyrinthe , Jay tente d'y sortir en vain, les murs et ce spectre obscur l'amène à une porte. De peur il ferme les yeux s’apprêtant à l'ouvrir et passer à travers celle-ci.
Une chaise basculait à ses arrières, coincée sous un bouton de verre fermement taillé. Une autre à sa gauche était recouverte soigneusement de vêtements : Trench-coat, bottes noires. C'était donc ça le travail des deux bras articulés, appliqué.
Cependant sous cette étreinte d'acier hivernal , un point rouge mugit sur le torse de Jay.
Une voix enrouée se fit entendre.
Le jeune s'étendit doucement sur le parquet glacial, fermant ainsi ses paupière, se reposant , appréciant le confort obsolète de sa chaise. Ses orteils frôlèrent, puis caressèrent les mollets d'un individu.
Ce contact, le sorti de sa profonde mais courte relaxation.
- Fini pour toi Jay.
Jay leva son attention vers l'homme, son visage à demi dissimulé par le bord tiède de sa chevelure réchauffée par le courant. Il ignorait parfaitement à qui il avait affaire.
Cependant sous cette étreinte d'acier hivernal , un point rouge mugit sur le torse de Jay.
Une voix enrouée se fit entendre.
Le jeune s'étendit doucement sur le parquet glacial, fermant ainsi ses paupière, se reposant , appréciant le confort obsolète de sa chaise. Ses orteils frôlèrent, puis caressèrent les mollets d'un individu.
Ce contact, le sorti de sa profonde mais courte relaxation.
- Fini pour toi Jay.
Jay leva son attention vers l'homme, son visage à demi dissimulé par le bord tiède de sa chevelure réchauffée par le courant. Il ignorait parfaitement à qui il avait affaire.
- Mais qui êtes- vous? Que fais-je ici? Je.. ajoutait-il à chaque secondes, il décida de se lever , son interlocuteur réagissant rapidement, fit un signe de la main pour le faire s'assoir.
- Silence Jay, s'il te plait. Jay, je suis un monsieur bien, tout ce qu'il y a de bien dans cette pièce.
Jay frissonna, mais sans rancœur, il pensait tirer le bon numéro. Plus détendu, il gardait son attention vers cet homme dont il ne voyait pas encore le visage, ni une seule parcelle de peau, il était trapu assez étrange pour lui. Il n'avait pourtant rien exigé d'insolite ni répugnant, ce qui rassurait rapidement Jay.
L'individu s'appuya contre un mur, retira ainsi ses gants, ses mains aux couleurs étranges, mais aux ongles parfaitement aiguisés se glissèrent sur son dos.
Son regard, masqué par l'ombre de sa casquette se portait exclusivement sur Jay.
Il semblait vouloir parler, et c'est ce qu'il fit.
Jay frissonna, mais sans rancœur, il pensait tirer le bon numéro. Plus détendu, il gardait son attention vers cet homme dont il ne voyait pas encore le visage, ni une seule parcelle de peau, il était trapu assez étrange pour lui. Il n'avait pourtant rien exigé d'insolite ni répugnant, ce qui rassurait rapidement Jay.
L'individu s'appuya contre un mur, retira ainsi ses gants, ses mains aux couleurs étranges, mais aux ongles parfaitement aiguisés se glissèrent sur son dos.
Son regard, masqué par l'ombre de sa casquette se portait exclusivement sur Jay.
Il semblait vouloir parler, et c'est ce qu'il fit.
- Ainsi tu n'aimes pas dormir?
- Pourquoi pas? J'ai mes raisons. Dit - il se défendant.
- C'est mon avis. Rétorqua - t -il sous un regard de supériorité.
- Qu'est ce que cela veut dire?
- Je sais tout Jay, j'ai tout lu.
Jay racla sa gorge, tandis que la peur le gagnait, se redressa brusquement de son séant. Il avait comme un goût de fer au fond de sa bouche.
- On saura toujours tout sur toi, alors cesse de porter ce masque ridicule, je sais ce que tu as fais.
Il tentait de faire bonne figure, puis osa lui demander.
- Que savez vous?
A présent , il scrutait le visage du jeune esseulé et souriait en voyant ce qu'il pouvait y déchiffrer, émotions, pressenti, regard, grimaces.. Un regard affamé.
Jay tressaillait , un mouvement de recul fit-il.
A présent , il scrutait le visage du jeune esseulé et souriait en voyant ce qu'il pouvait y déchiffrer, émotions, pressenti, regard, grimaces.. Un regard affamé.
Jay tressaillait , un mouvement de recul fit-il.
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Semiopolis
20 Juillet 2014
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