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DCN- Article sur les usines
Le logo du DC TV s'affiche sur un fond noir sur toute la lucarne de l'appareil télévisé, alors que la voix du cyber-présentateur grésille légèrement avant de commencer à réciter, toujours invisible à l'écran.
Les usines. Elles sont au centre de votre vie quotidienne, elles produisent tout : AITL, chips, Deck Rétro, cigarettes, trench coats ... sans distinction et sans relâche, les usines tournent quasiment 24 cycles par jour.
Pour vous le DCN est allé enquêter dans l'une de celles-ci, l'Armacham Factories, durant deux jours.
Pour vous le DCN est allé enquêter dans l'une de celles-ci, l'Armacham Factories, durant deux jours.
Vous rêvez tous de connaitre les dessous.. Du mystère des usines, bien sur! Alors ne manquez pas ce reportage exclusif, filmé au coeur du danger des machines à chips, au péril de la vie de nos journalistes les moins craintifs, qui ont, pour vous, affronté l'inconnu !
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Le logo du DC TV s'affiche sur un fond noir sur toute la lucarne de l'appareil télévisé, alors que la voix du cyber-présentateur grésille légèrement avant de commencer à réciter, toujours invisible à l'écran.
Les usines. Elles sont au centre de votre vie quotidienne, elles produisent tout : AITL, chips, Deck Rétro, cigarettes, trench coats ... sans distinction et sans relâche, les usines tournent quasiment 24 cycles par jour.
Pour vous le DCN est allé enquêter dans l'une de celles-ci, l'Armacham Factories, durant deux jours.
Pour vous le DCN est allé enquêter dans l'une de celles-ci, l'Armacham Factories, durant deux jours.
Dans la lucarne de l'appareil télévisé se dessinent progressivement les murs de l'Armacham Factories, au fur et à mesure que la voix du présentateur termine son énoncé.
Les murs sont si éloignés les uns des autres que l'on voit tout de suite l'immense structure qu'est l'usine. Les bruits de machines ronronnent en fond, dans un bruissement incessant mais assez sourd cependant. Dans le fond, l'on aperçoit plusieurs portes laissant imaginer que l'usine tentaculaire ne s’arrête pas à cette première image.
Les murs sont si éloignés les uns des autres que l'on voit tout de suite l'immense structure qu'est l'usine. Les bruits de machines ronronnent en fond, dans un bruissement incessant mais assez sourd cependant. Dans le fond, l'on aperçoit plusieurs portes laissant imaginer que l'usine tentaculaire ne s’arrête pas à cette première image.
Une caméra survole l’intégralité de l'usine zig-zaguant entre les pièces. On voit tout d'abord une zone de repos gigantesque avec terrain d'entrainement, cantine. La caméra tourne sur la gauche pour découvrir un autre espace de taille impressionnante où se situe le cœur de la chaîne de production et où s'affairent plusieurs techniciens. La pièce débouche sur un croisement où l'on aperçoit rapidement les vestiaires à l'Ouest et le bureau du directeur au Nord. La caméra contourne la salle de repos visitée précédemment pour se plonger dans le petit escalier étroit qui donne sur des centaines de mètres carrés souterrains de chaines de montage et de production.
La caméra s’arrête devant une chaîne de production de chips, où l'on voit les jolies rondelles de synthé-patate, dorées et croustillantes, prêtes à tomber dans le sel. C'est le moment que choisi le cyber-présentateur pour énoncer de sa voix parfaitement posée, bien qu'un peu rayée :
Les chaines de production et de montage. Situés au sous-sol de l'édifice, ces monstres d'ingénierie et de mécanique sont aussi particulièrement dangereux. L'Armacham Factories peut se targuer de n'avoir aucune blessure grave à déplorer. C'est justement en raison de leur dangerosité que notre équipe n'a pu prendre qu'un rapide cliché.
Le cyber-présentateur continue de commenter les nouvelles images qui apparaissent a l'écran : l'on y voit la salle de gestion, ainsi que les employés affairés à surveiller, très concentrés sur leur travail. Dans un coin, un garde regarde d'un oeil circonspect la caméra.
Retour au centre de gestion, c'est depuis cette salle, centre névralgique de l'usine que travaillent les techniciens. Ils sont responsables de la gestion des stocks, et de la production.
Nous avons interrogé le DG Ysgramorr sur le travail à fournir.
Nous avons interrogé le DG Ysgramorr sur le travail à fournir.
La caméra se positionne face au directeur, prenant le nain en gros plan :
« Les techniciens de gestion ont un rôle double. Surveiller les stocks, choisir les produits qui sont mis en vitrine, ainsi que leur prix mais aussi produire, grace à un logiciel spécifique. C'est le métier central de notre usine. Chaque technicien peut lancer en production un carton de 10 objets ou 100 munitions. Mais attention, chaque employé s'occupe d'une chaine de montage, pour en faire fonctionner deux d'un coup il me faut deux techniciens au travail.
Et ce n'est pas le plus dur à gerer, mais les périodes de grandes nouveautés comme en ce moment sont très éprouvantes. Car s'il faut à un directeur de magasin une seconde pour m'acheter deux cartons d'arcs, il nous faut, à nous, deux cycles pour les produire. »
Et ce n'est pas le plus dur à gerer, mais les périodes de grandes nouveautés comme en ce moment sont très éprouvantes. Car s'il faut à un directeur de magasin une seconde pour m'acheter deux cartons d'arcs, il nous faut, à nous, deux cycles pour les produire. »
La caméra bascule à nouveau sur un plan du centre de gestion :
« Les ingénieurs de gestion s'assurent de l'approvisionnement, si le stock vient à baisser ils doivent produire. » poursuit le DG.
Mais, quelques explications. La console centrale, que vous pouvez voir sur cette holographie, permet de tout produire en quelques clics, tout en ajustant bien sur les recettes de fabrication. Le cycle de production n'est, en lui-même, pas compliqué. Une fois la catégorie et l'objet en question choisi, et la production lancée, les chaînes de montage s'occupent alors du reste. La difficulté réside principalement dans la gestion des stocks, - avec la multitude de cartons à déballer, ordonner, vérifier - et surtout, des clients potentiels, comme nous l'explique Monsieur Ysgramorr, alors que la caméra passe pour filmer l'écran de la console de gestion.
« Un jour j'ai découvert via le contrôle des stocks qu'un gros achat avait été effectué. J'ai vérifié grâce aux caméras et j'ai pu constater qu'il s'agissait de deux rebelles. J'ai aussitôt prévenu le Cercle de l'Orient et j'ai retiré tout objet typiquement Impérialiste de la vente, comme les lunettes de vision nocturne et les FI. Un règlement est passé peu après pour que toutes les usines le fassent. »
Des cartons de minimum dix objets, cent lorsqu'il s'agit de munitions.. Le travail d'ingénieur n'est, pour ainsi dire, pas de tout repos lorsqu'il s'agit de les classer correctement à la vente pour les DG, uniquement. De plus, notre journaliste a eu la chance de pouvoir assister à la toute première production des trench-coat Cosmopolitains du Secteur ! « Une grande fierté mais aussi beaucoup de soucis de logistique ! » me souffle-t-elle dans l'oreille !
La caméra suit les mouvements des machines de loin, depuis la salle de gestion, alors que les techniciens veillent au bon déroulement de chaque étape de production, et qui permettent de ce fait aux machines de tourner à plein régime.
Car c'est ce qu'il faut ! Et plus encore en cette période de sorties constantes de nouveautés, que tout le monde ou presque s'arrache, il n'est pas temps de chômer pour notre DG, et encore moins pour nos techniciens !
L'écran devient progressivement noir, jusqu'à rendre le fond opaque, la dernière image concentré sur un Cosmopolitain quasiment terminé. La voix du cyber-présentateur résonne une dernière fois pour ce reportage :
Et le prix ? Parce qu'il faut en parler. Les prix de production sont élevés, et les usines se font, généralement, une marge de 20%. Très peu, lorsque l'on voit tout le personnel nécessaire pour produire tout ce qui anime la vie de chacun.
C'était un reportage de la journaliste Hékhene, pour le Dreadcast Network.
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Travaux divers
19 Septembre 2014
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