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♥ Mort d'une garce - On fait l'hommage qu'on peut. ♥ (Non référencé)
« Je serai toujours là pour toi. » Tes mots.
Tu parles… Tu n’as pas mis longtemps pour te dédire, chérie.
« Tu veux voir l’enveloppe ? »
Com reçu, ce dernier soir de ta putain de vie.
Je suis en combat, pour les nôtres, pour le SR. Tu sais, ce pour quoi tu m’as entraînée des jours et des jours durant.
Et tu n’attends pas. La Mort. La vraie. Celle dont on ne revient pas. Tu effaces jusqu’à ton nom.
Cette image de toi, plus jamais.
Ton exigence, ton impatience, tes questions, tes réponses, ta connerie salace, tes blagues foireuses, ton appétit de vie, plus jamais.
Tes éclats de rire laissent place à ce silence glacial.
Ta tendresse, plus jamais. Oui, ta tendresse. Celle que peu connaissaient, celle insoupçonnable, celle que tu m’offrais, celle que j’aimais, bordel.
Notre complicité ? En cuve. Et ça ne rapporte même pas d’énergie au secteur.
Garce…
Toi, Sylviane, ma marraine, mon amie, ma complice.
Au lieu de toi, cet amas de ferraille aux orbites rouges, qui me scande des conneries comme « Elle est en moi, tu peux lui parler »
Allez-vous faire foutre, toi et elle !
Je ne veux pas de témoin, je ne veux pas d’intermédiaire, je ne veux pas parler à une carcasse métallique et vide.
Si tu savais comme j’ai envie de la démonter, ta remplaçante boîte de conserve, quand elle me débite « Elle est heureuse ainsi, elle est apaisée, elle n’a plus à lutter contre son esprit malade. » Alors quoi, je dois me réjouir ? Vous vous foutez de ma gueule, elle et toi, avoue.
Je t’avais dit « Nous, notre lien, ça ne peut pas se détruire ». Hin hin la cruche, la naïve. Ha ben si, ça peut, la preuve, tu l’as fait.
Deux secondes, même pas, une seule, un bouton sur lequel tu appuies, foutu bouton de merde, minable bout de métal plus puissant que ce lien que tu disais avoir attendu si longtemps.
Allez, on dégage, on ventile, du balai la filleule.
Broyée, avalée, anéantie, la marraine.
Vrai que tu as attendu la fin de mon martial. Oui, vrai.
Vrai aussi que tu m’as laissé un héritage. Des armes. Des équipements. Des conseils. Des souvenirs.
Mais bon sang, j’ai beau avoir pris tes poings pendant des semaines en pleine face, je n’étais pas prête à cet uppercut-là.
J’en fais quoi de tous ces mots, de tous ces moments, de tous ces rires envolés dans le smog, non vécus, non partagés ?
T’aurais pu au moins me laisser te faire la peau. Salope !
Je n’ai même pas pu te prendre dans mes bras.
Tu disais m’aimer, et tu m’abandonnes.
Va mourir !
Tu me manques.
Tu parles… Tu n’as pas mis longtemps pour te dédire, chérie.
« Tu veux voir l’enveloppe ? »
Com reçu, ce dernier soir de ta putain de vie.
Je suis en combat, pour les nôtres, pour le SR. Tu sais, ce pour quoi tu m’as entraînée des jours et des jours durant.
Et tu n’attends pas. La Mort. La vraie. Celle dont on ne revient pas. Tu effaces jusqu’à ton nom.
Cette image de toi, plus jamais.
Ton exigence, ton impatience, tes questions, tes réponses, ta connerie salace, tes blagues foireuses, ton appétit de vie, plus jamais.
Tes éclats de rire laissent place à ce silence glacial.
Ta tendresse, plus jamais. Oui, ta tendresse. Celle que peu connaissaient, celle insoupçonnable, celle que tu m’offrais, celle que j’aimais, bordel.
Notre complicité ? En cuve. Et ça ne rapporte même pas d’énergie au secteur.
Garce…
Toi, Sylviane, ma marraine, mon amie, ma complice.
Au lieu de toi, cet amas de ferraille aux orbites rouges, qui me scande des conneries comme « Elle est en moi, tu peux lui parler »
Allez-vous faire foutre, toi et elle !
Je ne veux pas de témoin, je ne veux pas d’intermédiaire, je ne veux pas parler à une carcasse métallique et vide.
Si tu savais comme j’ai envie de la démonter, ta remplaçante boîte de conserve, quand elle me débite « Elle est heureuse ainsi, elle est apaisée, elle n’a plus à lutter contre son esprit malade. » Alors quoi, je dois me réjouir ? Vous vous foutez de ma gueule, elle et toi, avoue.
Je t’avais dit « Nous, notre lien, ça ne peut pas se détruire ». Hin hin la cruche, la naïve. Ha ben si, ça peut, la preuve, tu l’as fait.
Deux secondes, même pas, une seule, un bouton sur lequel tu appuies, foutu bouton de merde, minable bout de métal plus puissant que ce lien que tu disais avoir attendu si longtemps.
Allez, on dégage, on ventile, du balai la filleule.
Broyée, avalée, anéantie, la marraine.
Vrai que tu as attendu la fin de mon martial. Oui, vrai.
Vrai aussi que tu m’as laissé un héritage. Des armes. Des équipements. Des conseils. Des souvenirs.
Mais bon sang, j’ai beau avoir pris tes poings pendant des semaines en pleine face, je n’étais pas prête à cet uppercut-là.
J’en fais quoi de tous ces mots, de tous ces moments, de tous ces rires envolés dans le smog, non vécus, non partagés ?
T’aurais pu au moins me laisser te faire la peau. Salope !
Je n’ai même pas pu te prendre dans mes bras.
Tu disais m’aimer, et tu m’abandonnes.
Va mourir !
Tu me manques.
Merci Nina ♥
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