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Des titres? J'en ai plus rien à foutre.
Hier soir. C’était un soir où j’ai encore tenté des trucs.
Trop stupide pour le dire ici, même ici.
Hier soir. J’avais envie de hurler.
J’avais envie de le frapper.
J’avais envie de pleurer.
J’avais envie de l’embrasser.
J’avais envie de le frapper.
J’avais envie de pleurer.
J’avais envie de l’embrasser.
J’ai hurlé, j’ai été froide.
J’ai été méchante. On a été méchant.
Car on est con. On est tous les deux des abrutis.
J’ai toujours mal.
Ce gros connard m’a faite mal.
Car il voulait partir au pays des glaçons.
Et il le veut toujours.
Clic clac
Quelque chose s’est déverrouillé dans ma tête.
Ça a dégénéré. Longtemps.
Comme la dernière fois.
Ça doit toujours finir comme ça.
J’étais en colère.
Marre d’être encore abandonnée.
Marre de devoir toujours arracher mes liens.
De me mutiler pour détruire tout ce que j’ai construit avec eux.
Comme la dernière fois.
Ça doit toujours finir comme ça.
J’étais en colère.
Marre d’être encore abandonnée.
Marre de devoir toujours arracher mes liens.
De me mutiler pour détruire tout ce que j’ai construit avec eux.
J’avoue. Ça m’a fait chier.
J’ai craqué. Je l’ai quitté.
Car je ne devais pas l’attendre qu’il disait.
J’avoue. J’ai parlé sans réfléchir.
Je voulais arracher les liens encore plus violemment encore.
En espérant qu’une grande douleur serait moins longue à supporter.
J’avoue. J’ai chialé.
Parce que tout est retombé.
Parce qu’abandonner sans me battre, ça n’a jamais été mon genre.
Parce que je ne pouvais me défaire de cette attache.
Cette putain d’attache.
Parce que tout est retombé.
Parce qu’abandonner sans me battre, ça n’a jamais été mon genre.
Parce que je ne pouvais me défaire de cette attache.
Cette putain d’attache.
J’avoue. On a chialé.
Parce qu’on n’a pas pu se résoudre.
Parce que finalement, on est trop con.
Trop con pour réussir à nous en vouloir mutuellement.
Des gros cons égoïstes.
Huit putain d’années.
Un laps de temps qui m’a l’air irréel.
Et pourtant je vais bien devoir survivre.
Je ne peux abandonner.
J’ai beau avoir le cœur meurtris.
Après tant de tentatives pour me soustraire de ce truc.
Je ne suis pas assez forte.
Un laps de temps qui m’a l’air irréel.
Et pourtant je vais bien devoir survivre.
Je ne peux abandonner.
J’ai beau avoir le cœur meurtris.
Après tant de tentatives pour me soustraire de ce truc.
Je ne suis pas assez forte.
J’avoue. Je suis butée.
Parce que j’ai pas voulu lâcher prise.
Parce que je ne veux toujours pas lâcher prise.
Parce que je sais que j’attendrai.
Parce que je sais qu’il reviendra.
C’est un connard égoïste.
Je peux trouver mieux, qu’il dit.
Mais je n’en ai aucune envie.
Je peux trouver mieux, qu’il dit.
Mais je n’en ai aucune envie.
Ce que je veux, c’est lui.
Alors si je ne peux l’avoir pour huit ans.
Je le forcerai à revenir.
-
Jusqu’à qu’il soit trop jaloux pour continuer de me regarder vivre, et pas lui.
Ceci est ma décision.
Ceci est ma conviction.
Ceci est ma conviction.
J’avoue. J’ai l’air d’une pute.
Parce que je sais pertinemment que je ne saurai tenir.
Parce qu’il s’agit de huit ans.
Parce que je ne me suis jamais faite d’illusion.
J’avoue. Je ne sais pas si le lien restera intact.
Parce que le temps est le pire ennemi.
Parce que je ne resterai pas seule pendant huit ans.
Parce que je ne sais de quoi seront faites les rencontres de demain.
Parce que le temps est le pire ennemi.
Parce que je ne resterai pas seule pendant huit ans.
Parce que je ne sais de quoi seront faites les rencontres de demain.
Mais je veux essayer. Je suis décidée.
Huit ans, c’est pas si long.
C’est pas si loin.
C’est pas si difficile.
Je sens mon esprit se déverrouiller.
Les cadenas tombent lentement.
Au fur et à mesure que le jour approche.
Deux semaines.
Et ce sera terminé.
Ou peut-être pas ?
Les cadenas tombent lentement.
Au fur et à mesure que le jour approche.
Deux semaines.
Et ce sera terminé.
Ou peut-être pas ?
J’avoue. Je suis stupide.
Parce que l’espoir fait vivre non ?
Parce que je me dis que le destin n’est pas écrit.
Parce que je me dis que je peux encore être naïve.
Le temps s’écoule.
Les cadenas s’ouvrent.
Les larmes roulent.
Les cadenas s’ouvrent.
Les larmes roulent.
J’avoue. Je suis changeante.
Parce que l’évolution n’est pas une chose qu’on peut éviter.
Parce que je ne suis pas encore tout à fait moi.
Parce qu’il faudra bien que je trouve une solution.
Parce qu’il faudra bien s’adapter à la vie tout aussi changeante.
-
J’ai plus que ça à espérer au final.
Qu’il change d’avis.
Et encore, s’il décide de réellement vivre.
Dans ce cas contraire, je le sais, je mettrai mon plan à exécution.
Je ne peux pas rester sans rien faire.
Attendre les rares moments.
Me réjouir des seuls instants.
Qu’il change d’avis.
Et encore, s’il décide de réellement vivre.
Dans ce cas contraire, je le sais, je mettrai mon plan à exécution.
Je ne peux pas rester sans rien faire.
Attendre les rares moments.
Me réjouir des seuls instants.
Une heure par semaine ?
Je suis sûre qu’il en serait capable.
Je ne vais pas pouvoir tenir non plus.
Égale à la cryo, je le rendrai jaloux.
Parce apparemment, j’en suis digne.
Ce n'est pas l'avis de tout le monde.
Je suis sûre qu’il en serait capable.
Je ne vais pas pouvoir tenir non plus.
Égale à la cryo, je le rendrai jaloux.
Parce apparemment, j’en suis digne.
Ce n'est pas l'avis de tout le monde.
Deux semaines.
Ou pas va savoir ?
J’en ai marre des échéances.
J’en ai marre des paroles en l’air.
Des promesses.
Des projets.
J’en ai marre des paroles en l’air.
Des promesses.
Des projets.
J’en ai marre.
J’en ai marre.
Aller tous vous faire foutre.
Je ne suis pas forte ?
Tant pis pour moi.
Je ne peux pas rester fidèle ?
Je te défends de me dire ça.
J’ai toujours tenu mes promesses.
J’ai toujours gardé mes liens intacts.
Mais il y a des limites qui les rendent plus vulnérables.
Pas aux cassures, non.
Mais aux taches.
Ça peut se laver les taches non ?
Ce sera pour une bonne cause.
J’ai toujours gardé mes liens intacts.
Mais il y a des limites qui les rendent plus vulnérables.
Pas aux cassures, non.
Mais aux taches.
Ça peut se laver les taches non ?
Ce sera pour une bonne cause.
Putain. Je sais pas ce qui va arriver.
Peut-être qu’il ne se passera rien.
Dans ce cas-là, rien ne tombera.
Rien ne cassera.
En attendant.
Je ne sais pas quoi faire.
Bordel.
Je sais pas plus faire.
Et d’un côté,
J’en ai plus rien à foutre.
Je ne sais pas quoi faire.
Bordel.
Je sais pas plus faire.
Et d’un côté,
J’en ai plus rien à foutre.
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Informations sur l'article
Journaux des débuts
30 Janvier 2014
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9☆
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◊ Commentaires
-
Yankee (64☆) Le 27 Février 2014
Wahou.... -
Stoyan~45587 (322☆) Le 15 Avril 2014
magnifique..