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L’amour sous un ciel de smog
Sous un ciel fendu, voilé de smog amer,
Où le vent suffocant répand des relents de fer,
Je t’ai trouvée, perdue, au cœur de ce néant,
Un éclat d’espoir dans un monde mourant.
Où le vent suffocant répand des relents de fer,
Je t’ai trouvée, perdue, au cœur de ce néant,
Un éclat d’espoir dans un monde mourant.
Les ruines s’étirent, témoins de l’ancien temps,
La terre empoisonnée geint sous nos pas tremblants.
Mais ton regard, braise vive dans le brouillard opaque,
Éclaire mes nuits sombres, chasse mes attaques.
La terre empoisonnée geint sous nos pas tremblants.
Mais ton regard, braise vive dans le brouillard opaque,
Éclaire mes nuits sombres, chasse mes attaques.
Nous marchons sans fin sur des terres désertées,
Poursuivis par les ombres et l’air saturé.
Chaque abri est un piège, chaque souffle un combat,
Et pourtant je t’aime, malgré ce qui n’est pas.
Poursuivis par les ombres et l’air saturé.
Chaque abri est un piège, chaque souffle un combat,
Et pourtant je t’aime, malgré ce qui n’est pas.
Mais l’amour dans le smog est une flamme fragile,
Un défi lancé aux vapeurs hostiles.
Nous rêvons d’un avenir que le temps refuse,
Deux âmes liées, dans un monde qui s’excuse.
Un défi lancé aux vapeurs hostiles.
Nous rêvons d’un avenir que le temps refuse,
Deux âmes liées, dans un monde qui s’excuse.
Je voudrais te donner des champs, des saisons,
Des fleurs et des rivières, un simple horizon.
Mais tout ce que j’ai, ce sont ces mains usées,
Et ces cœurs qui battent, malgré les années brisées.
Des fleurs et des rivières, un simple horizon.
Mais tout ce que j’ai, ce sont ces mains usées,
Et ces cœurs qui battent, malgré les années brisées.
Les survivants murmurent que l’espoir est folie,
Que l’amour n’a plus place sous ce ciel terni.
Mais toi et moi, naufragés dans l’infini,
Nous portons un feu que la fin n’a pas terni.
Que l’amour n’a plus place sous ce ciel terni.
Mais toi et moi, naufragés dans l’infini,
Nous portons un feu que la fin n’a pas terni.
Et si ce monde s’effondre, emportant nos corps,
Sache que dans l’oubli, je t’aimerai encore.
Car même au bord du gouffre, dans la nuit sans étoile,
Ton nom résonne, mon ultime cathédrale.
Sache que dans l’oubli, je t’aimerai encore.
Car même au bord du gouffre, dans la nuit sans étoile,
Ton nom résonne, mon ultime cathédrale.
Informations sur l'article
Livre Secret
04 Janvier 2025
114√
8☆
2◊
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◊ Commentaires
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Mélinée (117☆) Le 04 Janvier 2025
(hep hep hep, il est sencé avoir deux coeurs ! n'oublies pas !) -
Mélinée (117☆) Le 05 Janvier 2025
|^-^|