EDC de Grievous~51121
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Une soif indicible
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--Secteur rebelle--
-Centre d'arrivée
Kssssshhh
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Kssssshhh
Ouverture de la cuve de l'individu : #51121
On me porte. Je le sens.
Mais je ne sais pas qui me traine : je n'arrive pas à ouvrir les yeux.
Calme toi, Créature.
Mais je ne sais pas qui me traine : je n'arrive pas à ouvrir les yeux.
Calme toi, Créature.
La voix est forte, puissante. Je la connais. Je lui obéis.
Je me sens hissé sur une table, mis sur le dos, j'arrive enfin à ouvrir mes paupières : je distingue seulement une forme qui me surplombe.
Je suis ton Créateur. Tu es ma conception. Aujourd'hui tu vas vivre à nouveau et rependre le fruit de mon labeur.
Je me sens hissé sur une table, mis sur le dos, j'arrive enfin à ouvrir mes paupières : je distingue seulement une forme qui me surplombe.
Je suis ton Créateur. Tu es ma conception. Aujourd'hui tu vas vivre à nouveau et rependre le fruit de mon labeur.
Tandis qu'il récite, il me place un masque étrange sur le visage, comme s'il avait été façonné tout spécialement pour moi. Il y peint quelques marques et semble opérer une investigation de mon corps.
Tu es prêt. Va et trouve ta destinée parmi les Hommes et les Femmes.
Tu es prêt. Va et trouve ta destinée parmi les Hommes et les Femmes.
Tout était très flou, je m'en souviens à peine. Impossible de me rappeler comment je suis sorti du bâtiment, mais me voilà à l'air libre, un air gorgé de radioactivité, d'acidité et d'autres multiples mélanges nocifs pour un corps rudimentaire.
Mes pas m'ont mené à l'intérieur du premier bâtiment que j'ai été capable de rejoindre, l'air y était plus agréable.
Mais perdu, j’étais dans un monde auquel je me retrouvais lié par des chaînes aux provenances impossibles.
Mes pas m'ont mené à l'intérieur du premier bâtiment que j'ai été capable de rejoindre, l'air y était plus agréable.
Mais perdu, j’étais dans un monde auquel je me retrouvais lié par des chaînes aux provenances impossibles.
Le lieux m’était totalement inconnu, plus que sa location, ou son utilité : son entité m’était inconnue. Je ne connaissais rien : mais poussé à l'exploration, je débouchais sur une petite pièce, un simple voile élimé délimitait l'entrée de la salle, quelques flaques noirâtres au sol, un lit rongé, des revues, une télévision antique.
Je n'ai pas bougé de cet endroit pendant à peu près un mois entier.
J'ai réussi à allumer la télévision, toujours alimentée par je ne sais quel miracle, et c'est à ce moment précis que tout à basculé.
J'ai eu accès à tout, sports, enquêtes, histoire, séries romantiques, pornographie et surtout : publicité.
Et jour après l'autre, j'ai regardé cette machine m'apprendre du monde auquel je venais de faire partie.
Tout assimiler, tout comprendre, tout découvrir.
Et ce fut fascinant.
L'être humain et méta-humain est réellement fascinant.
Je n'ai pas bougé de cet endroit pendant à peu près un mois entier.
J'ai réussi à allumer la télévision, toujours alimentée par je ne sais quel miracle, et c'est à ce moment précis que tout à basculé.
J'ai eu accès à tout, sports, enquêtes, histoire, séries romantiques, pornographie et surtout : publicité.
Et jour après l'autre, j'ai regardé cette machine m'apprendre du monde auquel je venais de faire partie.
Tout assimiler, tout comprendre, tout découvrir.
Et ce fut fascinant.
L'être humain et méta-humain est réellement fascinant.
Malgré toutes mes découvertes, je n'ai eu d'autres choix que d'aller sortir de mon abri pour trouver de quoi me sustenter, les maigres réserves de mon logis approprié s’étaient taries et j'avais décidé de retourner à l'endroit qui m'a hébergé en premier lieu : Le centre d'arrivée.
A peine arrivé (C’était pas très loin) j'ai été surpris par le mouvement d'une lampe sortant du mur et m'éclairant rapidement.
SCAN TERMINE : INDIVIDU GRIEVOUS, VEILLEZ SAISIR VOTRE PAQUETAGE.
SCAN TERMINE : INDIVIDU GRIEVOUS, VEILLEZ SAISIR VOTRE PAQUETAGE.
Cette lumière avait su déceler l'objet de mon errance, je lui ai montré ma gratitude comme il se devait.
A peine en possession de mon "paquetage" j'ai couru vers mon abri, il ne manquait plus que quelqu'un ou quelque chose me dérobe. Et ça jamais.
Une tablette noire, un kanuf et chemise.
Je ne pensais pas la chemise comestible : J'ai entrepris de découper la tablette noire via le kanuf fourni, mais dans l'inefficacité, j'ai décidé de la broyer entre mes dents.
C'est à ce moment là que ma nourriture s'est allumée et à interagi avec moi.
Dans une vaine tentative de survie surement elle s'est mise à faire de petits bruits.
Mais la faim était bien présente ; Je ne pouvais laisser cette nourriture s'en aller.
C'est une morsure qui a tout changé.
Dès ce moment, j’entends le son changer :
Allo ? Tu m'entends ?
A peine en possession de mon "paquetage" j'ai couru vers mon abri, il ne manquait plus que quelqu'un ou quelque chose me dérobe. Et ça jamais.
Une tablette noire, un kanuf et chemise.
Je ne pensais pas la chemise comestible : J'ai entrepris de découper la tablette noire via le kanuf fourni, mais dans l'inefficacité, j'ai décidé de la broyer entre mes dents.
C'est à ce moment là que ma nourriture s'est allumée et à interagi avec moi.
Dans une vaine tentative de survie surement elle s'est mise à faire de petits bruits.
Mais la faim était bien présente ; Je ne pouvais laisser cette nourriture s'en aller.
C'est une morsure qui a tout changé.
Dès ce moment, j’entends le son changer :
Allo ? Tu m'entends ?
Je le sors et comprend qu'il pouvait certainement s'agir d'un communicateur.
Plus pratique que nourrissant.
Plus pratique que nourrissant.
S'en suit la sortie définitive de mon abri vers le début de ma vie sociale.
Informations sur l'article
Histoire
19 Juillet 2014
1267√
8☆
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◊ Commentaires
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Callian~48825 (366☆) Le 19 Juillet 2014
L'ambiance, les touches d'humour, l'envie d'en savoir plus sur cet être qui débarque : tout y est donc *