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Impuissance
Je dormais du sommeil du juste dans les bras de mon mari quand un raffut me réveille en sursaut.
Que vois-je au dessus de moi, des visages connus même si les noms me sont inconnus : les rebelles. Ils nous ont déjà trucidés, mon époux et moi et encore dans notre sommeil, ça devient une habitude. Je tends la main vers mon ironix, je suis encore ensommeillée, je me redresse et hop je me réveille au CDC. Ils sont rapides, putain ! Même pas eu le temps de leur assener un coup, c'est hyper frustrant.
Je sors, sonnée, plus faible qu'à l'accoutumée. Ben oui, il faut dire qu'à chaque fois que je me fais cuver, c'est par les rebelles et dans mon sommeil. Je vais mettre une pancarte sur ma porte
Bon, je sors en titubant et que vois-je ? Incroyable ! Je n'aurais jamais cru voir tant d'impérialistes réunis au CDC. Même pour une descente en SR, y'en avait pas autant.
Malgré la faiblesse et la douleur, je suis quand même d'humeur taquine. Ben vi, j'ai décidé à la troisième cuve rebelle de prendre ça à la rigolade, sinon je n'avancerais pas. L'humour est un puissant remède.
Que vois-je au dessus de moi, des visages connus même si les noms me sont inconnus : les rebelles. Ils nous ont déjà trucidés, mon époux et moi et encore dans notre sommeil, ça devient une habitude. Je tends la main vers mon ironix, je suis encore ensommeillée, je me redresse et hop je me réveille au CDC. Ils sont rapides, putain ! Même pas eu le temps de leur assener un coup, c'est hyper frustrant.
Je sors, sonnée, plus faible qu'à l'accoutumée. Ben oui, il faut dire qu'à chaque fois que je me fais cuver, c'est par les rebelles et dans mon sommeil. Je vais mettre une pancarte sur ma porte
" hé les mecs, au lieu de nous tuer quand on dort, prenons rendez vous qu'on se fasse un bonne baston, promis vous venez au nombre que vous voulez, je serais seule mais au moins j'aurais le temps de voir vos gueules et surtout que vous vous présentiez, on est des connaissances à force!"
Bon, je sors en titubant et que vois-je ? Incroyable ! Je n'aurais jamais cru voir tant d'impérialistes réunis au CDC. Même pour une descente en SR, y'en avait pas autant.
Malgré la faiblesse et la douleur, je suis quand même d'humeur taquine. Ben vi, j'ai décidé à la troisième cuve rebelle de prendre ça à la rigolade, sinon je n'avancerais pas. L'humour est un puissant remède.
- Dites ! Vous n'étiez pas obligés de venir aussi nombreux pour m'accueillir, hein.
C'est là qu'on me raconte le massacre qui a eu lieu cette nuit. Là, je ne rigole plus. La colère me prend mais je ne dis rien, une colère froide que je dois refouler.
Un BO. Le BO annoncé depuis plus d'une heptade, il est là. On a rien pu faire contre lui. J'ai envie de tout casser et de péter la gueule à... A qui ? Nous sommes tous coupables.
Coupables de ne penser qu'à nous, bien sur j'ai été glané mais qu'est-ce que deux neuvos ?
Coupables d'avoir perdu notre cohésion.
Coupables de trop dormir;
Coupables de se contenter de ce qu'on a,
coupables d'avoir oublié les dogmes d'Imperator qui disent que l'Empire passe avant tout.
et je pourrais encore allonger la liste mais à quoi bon ?
Je demande simplement ce qu'on peut faire et pourquoi je suis si faible. On m'explique que ça vient du BO, le clone a juste le minimum vital.
Je regarde alors la foule, les rebelles sont dehors me dit-on. Et alors ? Qu'est-ce que je risque ? La mort définitive ? Ils m'ont déjà tout pris. Je hoche et je sors.
Il n'y a personne dehors, je rentre chez moi sans être inquiétée. Je m'affale sur mon lit, je ne puis rien faire d'autre, alors je hurle, je hurle ma rage, mon impuissance. C'est ça le plus frustrant c'est de sentir son impuissance.
Les heures passent et ma forme remonte doucement, je suis les évènements sur mon deck. Le BO est interrompu, il faut mettre des objets dans les cuves. Mes vitrines s'ouvrent, je prend quelques objets premium dont je n'ai pas l'utilité immédiate. Je n'ai pas de concentré, il est interdit d'en garder. Avant, j'avais une vitrine pleine au cas où, le cas-où est arrivé et ma vitrine est vide. On prévient sur le deck que les rebelles tuent à vue. Et alors ? Le Bo est interrompu, je dois y aller, qu'importe la cuve, ils ne peuvent pas me faire plus de mal, de toutes les façons.
C'est là qu'on me raconte le massacre qui a eu lieu cette nuit. Là, je ne rigole plus. La colère me prend mais je ne dis rien, une colère froide que je dois refouler.
Un BO. Le BO annoncé depuis plus d'une heptade, il est là. On a rien pu faire contre lui. J'ai envie de tout casser et de péter la gueule à... A qui ? Nous sommes tous coupables.
Coupables de ne penser qu'à nous, bien sur j'ai été glané mais qu'est-ce que deux neuvos ?
Coupables d'avoir perdu notre cohésion.
Coupables de trop dormir;
Coupables de se contenter de ce qu'on a,
coupables d'avoir oublié les dogmes d'Imperator qui disent que l'Empire passe avant tout.
et je pourrais encore allonger la liste mais à quoi bon ?
Je demande simplement ce qu'on peut faire et pourquoi je suis si faible. On m'explique que ça vient du BO, le clone a juste le minimum vital.
Je regarde alors la foule, les rebelles sont dehors me dit-on. Et alors ? Qu'est-ce que je risque ? La mort définitive ? Ils m'ont déjà tout pris. Je hoche et je sors.
Il n'y a personne dehors, je rentre chez moi sans être inquiétée. Je m'affale sur mon lit, je ne puis rien faire d'autre, alors je hurle, je hurle ma rage, mon impuissance. C'est ça le plus frustrant c'est de sentir son impuissance.
Les heures passent et ma forme remonte doucement, je suis les évènements sur mon deck. Le BO est interrompu, il faut mettre des objets dans les cuves. Mes vitrines s'ouvrent, je prend quelques objets premium dont je n'ai pas l'utilité immédiate. Je n'ai pas de concentré, il est interdit d'en garder. Avant, j'avais une vitrine pleine au cas où, le cas-où est arrivé et ma vitrine est vide. On prévient sur le deck que les rebelles tuent à vue. Et alors ? Le Bo est interrompu, je dois y aller, qu'importe la cuve, ils ne peuvent pas me faire plus de mal, de toutes les façons.
Je sors et deux pâtés de maison, hop je suis engagée. Deuxième cuve. Quand j'en sors, il y a moins de monde. Je fonce directe aux STV, allez, on va se prendre une troisième ? Je commence quand même à avoir les nerfs en pelote mais quand il faut y aller, il faut.
Il y a du monde au STV, des impériaux. Je mets mes objets et je rentre chez moi, faible, épuisée, démoralisée et toujours en colère, contre moi, contre tout le monde.
Mon mari me rejoint et enfin je suis apaisée.
Il y a du monde au STV, des impériaux. Je mets mes objets et je rentre chez moi, faible, épuisée, démoralisée et toujours en colère, contre moi, contre tout le monde.
Mon mari me rejoint et enfin je suis apaisée.
Informations sur l'article
Une anonyme parmi les anonymes.
18 Octobre 2020
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